Je viens encore de poster un lien Amazon (dans les commentaires de l’article précédent), ce qui m’a valu des critiques… comme d’utiliser Wikipédia et Larousse.
Si l’on veut être cohérent, je suppose qu’il faut aussi boycotter Apple, Google, Facebook et bien sûr Microsoft.
Ceux qui possèdent un iPhone, poubelle. Si votre ordinateur tourne sous Windows, vous êtes priés de le désinstaller et de le remplacer par Linux. Ce système d’exploitation est gratuit, mais il va vous coûter cher en aspirine. Non, pas de Mac non plus, c’est Apple qui fait partie des GAFAM, donc c’est caca-boudin mondialiste.
Mais un vrai résistant, un authentique puriste de la consommation responsable, devrait arrêter d’acheter chinois.
Donc, adieu ordinateur, électroménager, smartphone ou iPhone, adieu ustensiles domestiques de toutes sortes, appareils électroniques, textiles, pièces de véhicules (voitures, motos), etc., près de 80% de notre industrie actuelle. Tout ces produits sont truffés de pièces Made in China, quand ce n’est pas l’appareil dans son intégralité.
La Chine a piraté l’élection présidentielle américaine en faveur de Biden, est partenaire de Blackrock, Rockefeller, Soros, Clinton, Biden, Obama pour instaurer la dictature communiste mondiale et pousser le plandémie destructeur de l’économie occidentale.
La Chine est en train de perpétrer le génocide des Ouïghours (non, Weakypedia, ce génocide n’est pas « culturel », avec tortures, camps de concentration, extermination), la Chine pratique le génocide de ses propres bébés, notamment les filles, maintient sa population sous une dictature féroce qu’elle exporte aux pays étrangers dont la France.
Alors que les écologistes ont reproché à Trump ses choix économiques privilégiant la reconstruction d’une nation détruite par les démocrates, ils se sont abstenus de critiquer la Chine qui, à elle seule, produit plus de CO2 et de destruction environnementale que n’importe quel autre pays, même en tenant compte de sa surpopulation.
Le Monde, qui a pourtant une ligne éditoriale pro-communisme et pro-Chine, publie ici une vidéo qui montre les résultats catastrophiques de la politique environnementale du gouvernement chinois.
(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)
Et si cette vidéo date un peu, cet article de Paris-Match montre que la situation n’a fait qu’empirer les années suivantes : Pollution : La Chine défigurée.
Encore plus troublante, cette autre vidéo de France24 qui vante les bienfaits écologiques de la « pandémie » et de son black-out économique sur la pollution en Chine.
(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)
On comprend pourquoi les technocrates mondialistes considèrent que la réduction du pouvoir d’achat (appauvrissement), la privation des libertés et la vaccination génocidaire de la population ne sauraient tolérer de contestation.
Par contre, cet article du site World Economic Forum [Forum Économique Mondial] montre que la Chine a repris ses bonnes vieilles habitudes d’avant la pandémie.

La réhabilitation verte de la Chine est mise en danger et non pas privilégiée – Photo Reuters.
Pour en revenir à nos choix de consommation, acheter chinois, c’est participer à l’enrichissement et la destruction environnementale du pire monstre politique et économique qui soit, une entité à côté de laquelle Amazon fait figure d’œuvre de bienfaisance.
Et paraphrasant un orateur célèbre, je dirais : « Pourquoi vois-tu la paille achetée sur Amazon qui est dans l’œil de ton frère, et n’aperçois-tu pas la poutre chinoise qui est dans ton œil ? »
Sans parler de nos impôts et charges qui ont financé la Fondation Clinton de trafic d’enfants, acheté des drones et flashballs pour renforcer la dictature et mutiler les manifestants.
Et quid de ces marques qui nous vendent des objets confectionnés par des esclaves dans des ateliers de misère, en Inde, au Brésil, en Afrique où des enfants meurent dans les mines de métaux, pour les batteries et composantes des téléphones ?
1 % de sociopathes possède 99 % de l’économie et finance mondiale. Quoi qu’on achète ou produise, on enrichit l’ennemi…
Notre guerre de l’information n’est pas simple, car la géopolitique actuelle est d’une extrême complexité. Dans un tel contexte, extrémiste rime avec simpliste.
Dans cet article, j’ai utilisé des articles et vidéos de médias corrompus, vendus à l’ennemi mondialiste, des médias que je ne lis jamais, en exploitant leurs propres contradictions pour les retourner contre eux.
Je trouve qu’il y a une élégance stratégique et une ironie amusante, à se servir des outils et structures de l’ennemi pour le combattre de l’intérieur.















































