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Du peu que l’on sait, le plus grand prédateur, le plus puissant et le plus féroce, qui ait jamais arpenté cette planète est le tyrannosaurus rex, terme qui signifie « roi des lézards tyrans ».
Notons qu’en dépit de sa force, ce monstre terrifiant n’a pas survécu, faute d’intelligence.
C’est un dilemme auquel nous sommes confrontés, en cas de conflit… faut-il utiliser la force ou l’intelligence ?
Ces deux règles sont enseignées en stratégie et tactique.
Avec de la force, on gagne un combat à court terme.
Avec de l’intelligence, on remporte une guerre sur le long terme.
Les manifestants de Hong Kong sont un bel exemple d’intelligence, mais aussi de capacité d’affronter la force.
On voit beaucoup, sur les réseaux sociaux français, des appels au « pacifisme », notamment pour les manifestations. Pour beaucoup, ce n’est pas de l’intelligence, mais de la peur déguisée en « sagesse ».
Bien sûr, la violence gratuite, comme casser les magasins ou brûler les voitures, n’est pas de la force, mais de la malveillance. Une attitude psychotique.
Une utilisation saine de la force serait forcément défensive, après qu’on a été victime d’une attaque injustifiée, comme les violences policières que subissent les manifestants de Hong Kong dans le régime communiste-nazi de la Chine.
Une force policière ou militaire qui soutient un régime fasciste, comme notre régime actuel, commet une trahison… trahison envers le peuple qu’elle a juré de servir et protéger, trahison envers les idéaux d’ordre et de paix sociale qu’elle prétend défendre.
C’est une trahison similaire que commet l’armée qui a juré de protéger la nation et qui se consacre à des missions étrangères, Afrique ou Afghanistan, en laissant le peuple français asservi et la nation victime de forces hostiles mondialistes, donc étrangères, infiltrées dans la chaîne de commandement.
Quelle déception de voir que les gendarmes commencent à réagir parce que le gouvernement rend la vaccination obligatoire pour eux ! Difficile d’y voir autre chose que l’intérêt égoïste faisant suite à l’irresponsabilité de « suivre des ordres » nuisibles à la France.
À l’opposé de ce comportement, la police suisse vient d’affirmer sa position, en marge de la légendaire neutralité helvète (voir article sur le site Profession Gendarme, La police suisse rejette la « grande réinitialisation » : Nous travaillons pour le peuple, PAS pour l’élite).
Contrairement aux manifestant hongkongais, le peuple français, dans sa grande majorité, a perdu sa capacité à gérer la force : effort, pression, douleur.
Symptomatique de cette faiblesse, la tendance systématique à se jeter sur du Doliprane ou de l’aspirine à la première douleur physique, sans parler des antidépresseurs pour éliminer les émotions inconfortables.
La surconsommation de drogues, légales ou « festives », est la source cachée de la mentalité « baba cool » qui règne dans le troupeau de moutons ramollis. Ne dit-on pas « doux comme un agneau » ?
Il ne s’agit pas de prêcher la violence gratuite ni la malveillance, mais de réaliser qu’il est impossible de survivre dans un univers rempli de forces hostiles sans être capable d’exercer soi-même une certaine force, quand c’est nécessaire.
Tout effort pour vivre en paix, après qu’on a été soumis et vaincu par des forces extérieures et qu’on en soit venu à être effrayé par ces forces, ne fera qu’attirer davantage d’attaques et d’oppression contre le « pacifiste ».
Il est impossible d’avoir la paix, si on n’est pas capable de se battre. Si vis pace, para bellum, si tu veux la paix, prépare la guerre.
Face à des forces supérieures, en armement et capacité de combat, on peut compenser le manque de moyens logistiques par l’intelligence.
Cette règle est démontrée par la disparition du tyrannosaure, tandis que l’homo sapiens, assez ingénieux pour maîtriser le feu et les outils, l’a battu à plate couture dans la compétition des espèces.
Le problème de l’humanité, c’est qu’elle est divisée en deux sous-espèces : l’homo sapiens, la minorité intelligente, et l’homo cretinus, incapable de voir que certains de ses congénères sont des prédateurs dont il doit se méfier et se défendre avec d’autant plus d’acharnement qu’ils sont plus coriaces qu’un T-Rex.
Aujourd’hui, l’homo cretinus appelle l’homo sapiens « complotiste ».
On peut se défendre avec bienveillance, sans haine, pour le plus grand bien du plus grand nombre, comme cette infirmière qui se bat pour protéger les enfants.
Les manifestants de Hong Kong nous offrent une démonstration de combattivité brillante, face à des forces bien supérieures en moyens et capacité de combat, en utilisant juste la force nécessaire, sans excès ni haine, assistée d’une très grande intelligence.