Ce sont les pensées qui rendent malades.
Dans cette société matérialiste, on nous enseigne que la pensée, comme tout ce qui touche à l’esprit, « c’est du vent »… puisque ce n’est pas solide.
Pourtant, le vent, associé à d’autres vents, peut devenir un cyclone qui arrache des toitures, transporte des bateaux, des machines agricoles et du bétail sur des kilomètres, dévaste des villages.