(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)
Comme on peut le voir dans cette vidéo, les habituels résidents de la fosse sceptique ont mis en doute la qualification de cette infirmière.
Savourez sa réponse, éclatante de sincérité.
Mon infirmière perso et femme de ma vie a été catégorique : « Non, mais c’est évident qu’elle est infirmière, sa façon da parler, les mots qu’elle emploie… comme « cotations », on voit bien que ça sort tout seul, sans la moindre hésitation. »
Je suis d’autant plus persuadé qu’elle est infirmière qu’à un moment de sa vidéo, sous le coup de l’émotion, elle fait un lapsus révélateur, elle dit l’ordre des infirmiers au lieu de l’ordre des médecins. L’ordre des infirmiers est un organisme parasite qui prétend soutenir, promouvoir et défendre les infirmiers(ères), mais qui, en réalité, fait de son mieux pour leur mettre des bâtons dans les roues. Bref, passons…
Cette crise soi-disant sanitaire – en réalité, une crise sociale, même pas « politique » – nous met face à de cruels dilemmes.
D’un côté, un plan de dépopulation reposant sur une thérapie génique qui a la double propriété de stériliser la population et d’en éliminer une partie.
Quel pourcentage ?
Difficile à dire, pour l’instant, puisque ce « traitement » est en phase d’expérimentation.
Parallèlement, nous avons la mise en place d’une dictature à côté de laquelle le nazisme d’Hitler était plutôt brouillon, balourd.
Imaginez qu’Adolphe ait disposé de la technologie numérique pour tracer et surveiller les gens, avec des drones, des caméras à chaque coin de rue, partout en Europe, et qu’en prime, ses efforts de domination n’aient rencontré qu’une opposition mollassonne, gnian-gnian, « pacifique », que même les soldats des armées alliées aient eu peur de l’affronter, et qu’il ait bénéficié, par-dessus le marché, de dix fois plus de collabos qu’à l’époque…
Bienvenue dans la dictature sanitaire : « Pour votre santé, soyez muselés, testés, fliqués, piqués et repiqués et rata-piqués… et sans manifester, car nous afons les moyens de fous reconfiner ! »
Conclusion : seule une quantité suffisante d’invalides, handicapés ou malades à vie et autres morts pourra enrayer cette montée d’un fascisme sournois qui est injecté goutte à goutte dans nos vies.
Et puis, et surtout, comme le dit cette infirmière, il y a les enfants…
Et là, quand on y pense, ça vous enlèverait toute compassion pour les inconscients qui se sont jetés sur ce poison comme des cafards sur du gel anti-blattes.
Alors, bien sûr, « les gens meurent », mais pas assez. Il en faudrait beaucoup plus, et vite.
Je ne sais pas ce qu’ils font, avec leurs lots de thérapie génique, probablement trop de sérum phy, placebos, vieux stocks de vaccin antigrippe à écouler pour noyer le poison, mais du coup, ça traîne en longueur.
Comme dit Sylvestre, dans LE BUSINESS PLAN DE LA GRIPPE : « Parce que les pauvres, ça a une vie de merde, mais ça veut pas mourir, hein ! C’est la grande interrogation que j’ai, ça… »
Tant qu’on n’entendra pas des gens agoniser dans les habitations voisines, Le Reich En Marche, cette peste brune plus mortelle que tous les virus du monde, ce nazisme paternaliste faussement doucereux, continuera de mettre en place sa solution finale discrète, parce qu’on le vaut bien et que « chacun a le droit de faire ce qu’il veut ».
Soit, chacun a le droit de se suicider, mais pas si cela contribue à la mort de tous et de tout, les enfants y compris.
À force de lire et recenser des témoignages de vaccinés à la santé détruite ou décédés, j’ai failli compatir… mais la vidéo de cette infirmière m’a réveillé.
Comme quoi, rien de tel qu’une bonne baffe pour se remettre les idées en place.
Glossaire de la vidéo
Chaîne Telegram de Claire, l’infirmière : https://t.me/klereclaire
PIMS : Pediatric Inflammatory Multi-disciplinary Syndrome, syndrome multidisciplinaire infammatoire pédiatrique
AMM : Autorisation de Mise sur le Marché























