Que ceux qui sont capables de réfléchir le fassent.
Quant aux autres, les Télétubbies, hypnomédiatisés, perroquets covidistes recyclés en ukrainistes, vous pouvez continuer d’agiter le drapeau ukrainien.
Ce ne sont pourtant pas les pièces à conviction qui manquent. De nos jours, pour être mal informé ou non informé, il faut vraiment le vouloir.
Cela fait des décennies que les médias grand public agitent le spectre de la guerre nucléaire pour terroriser les foules et les persuader qu’un gouvernement mondial est leur seule planche de salut.
Au plus fort de la Guerre froide, le stock d’armement nucléaire cumulé des deux blocs est et ouest avoisinait les 60 000 ogives, de quoi vitrifier la surface planétaire plusieurs centaines de fois.
Comme si ça ne suffisait pas, la puissance de certaines armes était calculée pour percer la croûte terrestre, atteindre le cœur magmatique et désintégrer la Terre. L’explosion résultante, telle une nova, aurait arrosé le système solaire d’une mitraille de débris comme l’aurait fait un shrapnel.
Alors que le Convoi de la Liberté se met en branle, le gouvernement a déployé un dispositif de police et gendarmerie pour le bloquer…
On pourrait dire que les forces de l’ordre sont venues prêter main force à la résistance en créant plus de bouchons, devenant ainsi les forces du désordre.
Avec le Convoi de la Liberté et les contre-mesures gouvernementales, nous avons une situation amusante.
Plusieurs témoins du groupe Effets Indésirables ont rapporté que leurs tentatives pour obtenir une autopsie du corps de leur parent défunt était mission impossible.
Il est stupéfiant de voir que tant de médecins sont complices d’une omerta digne de la mafia.
Par chance, il existe une faille dans la chaîne professionnelle qui dispose des corps, après que les hôpitaux ont déclaré le décès : les employés des pompes funèbres.
Lorsque Mark Zuckerberg a annoncé que Facebook s’appellerait Meta, tout le monde s’est focalisé sur le fait que ce mot signifiait « Morte », en hébreu.
Si bien que le premier sens de meta- en anglais est passé inaperçu : au-delà, au-dessus.
Le transhumanisme est un mouvement intellectuel et culturel, je rajouterais industriel, qui a l’intention, sous prétexte d’améliorer l’homme, de le transformer peu à peu en machine.
En 1985, suite à un rhume qui avait glissé vers la gorge en angine, puis était descendu vers les bronches en bronchite, je suis resté pendant deux semaines à sentir une odeur écœurante de café brûlé.
En ce temps-là, le covid-19 n’existait pas. Les médias étaient focalisés sur le sida. Je me demande d’ailleurs où sont passés les malades du sida, aujourd’hui.
Toujours est-il que je ne me suis pas soigné. Je n’ai pas été mis sous respirateur. Je n’ai pris ni chloroquine, ni Azithromycine, ni Doliprane, ni Efferalgan ni aucun de ces antalgiques dont les gens se gavent aujourd’hui. Ces antidouleurs qui réduisent la sensibilité nerveuse, amoindrissent les perceptions essentielles à la vivacité d’esprit.
Le but de cet article n’est pas de terroriser davantage les victimes de ces injections, alors que beaucoup d’entre elles sont déjà rongées par l’anxiété ou en état de choc.
Cet article repose sur le principe, évident en mathématiques et en sciences, qui veut que pour résoudre un problème, il faut trouver toutes ses inconnues.
Si l’on en croit ce brillant chimiste, le Docteur Andreas Noack, les victimes d’effets indésirables ne sont pas malades. Les cristaux d’hydroxyde de graphène leur infligent, de façon aléatoire et étalée dans le temps, une myriade de blessures d’une taille si microscopique qu’aucun examen courant ne les détecte.
« Ne chantez pas la mort, c’est un sujet morbide. Le mot seul jette un froid, aussitôt qu’il est dit. Les gens du show-business vous prédiront le bide, C’est un sujet tabou, pour poète maudit. La mort… la mort… je la chante et dès lors, miracle des voyelles, Il semble que la mort est la sœur de l’amour. La mort qui nous attend est l’amour qu’on appelle, Si lui, il ne vient pas, elle viendra toujours… »
C’est par ces vers émouvants que Léo Ferré évoquait la grand faucheuse dans sa chanson Ne chantez pas la mort.
Poésie à part, j’aimerais adresser un message à ceux qui ont songé ou songent encore à mettre fin à leurs jours en ces temps difficiles.
Stayin’ Alive, la chanson qui introduisait le film Saturday Night Fever [La Fièvre Du Samedi Soir], était un hymne à la survie dans la jungle impitoyable de New York.
Ce fut le coup d’envoi du Disco, la Danse Music.
La danse est mouvement, symbole de vie, de vitalité.
Un être vivant est en aussi bonne santé, mentale et physique, qu’il est capable de se battre.
C’est à croire que le système immunitaire et tous les systèmes de défense du corps obéissent à l’état d’esprit de la personne face aux agressions extérieures, qu’elles soient psychologiques ou physiques.
Cela fait deux ans que le peuple se fait agresser, opprimer, piétiner : suppression des libertés, interdiction de travail, destruction des liens familiaux, destruction de la santé (masques, « vaccins », privation d’air pur, de soleil, confinement), informations anxiogènes et mensongères, surpression des loisirs, destruction de l’économie, appauvrissement continuel, destruction de l’éducation et des rapports sociaux…