Cela fait des décennies que les médias grand public agitent le spectre de la guerre nucléaire pour terroriser les foules et les persuader qu’un gouvernement mondial est leur seule planche de salut.
Au plus fort de la Guerre froide, le stock d’armement nucléaire cumulé des deux blocs est et ouest avoisinait les 60 000 ogives, de quoi vitrifier la surface planétaire plusieurs centaines de fois.
Comme si ça ne suffisait pas, la puissance de certaines armes était calculée pour percer la croûte terrestre, atteindre le cœur magmatique et désintégrer la Terre. L’explosion résultante, telle une nova, aurait arrosé le système solaire d’une mitraille de débris comme l’aurait fait un shrapnel.
Pourquoi une telle démesure ?
Les bombes atomiques n’ont aucune valeur stratégique. Elles ne permettent d’envahir aucun territoire, puisqu’ils sont dévastés et radioactifs, et elles ne protègent personne, ni les généraux ni les membres des gouvernements, ni leurs proches, familles, amis…
Dissuasion, d’accord, mais si vous menacez de détruire le système solaire, c’est pour dissuader qui ?
Depuis Hiroshima et Nagasaki en 1945, en dépit des menaces et crises d’hystérie médiatique, la frappe nucléaire malencontreuse qui aurait déclenché la fin du monde ne s’est jamais produite.
Sachant le nombre d’armes disséminées depuis 1945, avec leurs équipements de lancements multiples, rampes de missiles, sous-marins, avions bombardiers… et si on tient compte des psychopathes qui se sont succédés à la tête des puissances nucléaires, le fait que nous soyons toujours là tend à démontrer, statistiques à l’appui, que quelque chose ou quelqu’un impose un contrôle implacable sur ces armes et empêche leur utilisation.
Pour plus d’informations sur qui, quoi et où, consultez l’article OVNIs – Lorsqu’il n’y a plus rien à prouver, en n’oubliant pas que l’exopolitique est le sujet le plus nié, le plus ridiculisé par les médias, tout en étant soumis au plus haut niveau de classification du secret militaire.
Mais revenons dans le présent, avec cette crise ukrainienne qui fut l’occasion d’une rencontre burlesque entre Poutine et Macron au Palais du Kremlin.
Avez-vous vu le traducteur-interprète que Poutine a fourni à Macron en cadeau de bienvenue ?
C’est un transsexuel qui porte une veste et une robe de la même couleur que le costume de Macron.
Était-ce un message adressé par Poutine, suite à l’affaire Jean-Michel Trogneux, largement ébruitée dans le monde, comme quoi madame Macron serait en vérité un homme ?
D’ailleurs, la journaliste Natacha Rey vient d’être attaquée en justice par l’époux(se) présidentiel(le) non pas pour diffamation ou calomnie, mais pour « atteinte à la vie privée », « intrusion dans l’intimité » et « atteinte au droit à l’image ». Pratiquement un aveu.
Et que devient la liberté de la presse si les célébrités et personnages publics interdisent qu’on parle d’eux, car cela constitue une « atteinte à la vie privée », une « intrusion dans l’intimité » et une « atteinte au droit à l’image » ?
Tous les journalistes pourraient faire l’objet de plaintes répétées.
Cependant, qu’en est-il de la responsabilité d’un membre du gouvernement qui occupe une place politique et médiatique majeure en mentant sur son état civil ?
N’y a-t-il pas, d’un point de vue légal, escroquerie ou faux et usage de faux ?
Après tout, le sexe est mentionné sur les cartes nationales d’identité françaises.
Le débat n’est ni la théorie du genre ni la vie privée d’un personnage public, mais celui de la vérité et du mensonge, à une heure où le peuple français en a plus qu’assez qu’on lui mente à tout propos : passe sanitaire ou vaccinal, obligation vaccinale, vaccins qui ne sont pas des vaccins, promesses jamais tenues, contradictions de la politique « sanitaire », etc., etc., et voilà qu’il découvre que le couple présidentiel est une mise en scène.
Maintenant, observez le visage de Poutine sur la vidéo, il se retient de rire.
On pourrait croire que Macron avait emporté son propre traducteur personnalisé dans ses bagages, mais à sa descente d’avion, juste avant de rencontrer le comité d’accueil russe, il était on ne peut plus seul.
La sobriété de cette réception frisait l’injure : ni fanfare ni tapis rouge (juste une bande de bitume peint), pas le moindre signe protocolaire de respect ou bienvenue.
Quant à la longue table qui séparait Poutine de son interlocuteur français mondialiste, il paraît que c’était parce que le führer à la voix douce avait refusé de se soumettre à un test PCR…
Faites ce que je dis, pas ce que je fais, mais ça aussi, on a l’habitude, avec les fêtes et rencontres de nos politiques, sans aucun respect pour ces gestes barrières qu’ils imposent aux gueux.
Cette entrevue entre Poutine et Macron fut prétexte à moult rigolades sur Internet.



Ne vous y trompez pas : lors de ces « négociations », Emmanuelattali Macrothschild était juste venu transmettre les propositions de ses maîtres.
Réponse de Poutine ?
Le 16 février, 9 jours après la rencontre ci-dessus, le général et ministre de la défense russe, Sergueï Choïgou, s’est rendu à Damas (Syrie) pour envoyer un message à l’OTAN (voir Le Chef de la défense russe envoie un message aux États-Unis, à l’OTAN, avec une visite en Syrie – anglais)

Cette visite coïncidait avec des manœuvres militaires de grande envergure, à l’est de la Méditerranée, impliquant 15 navires de guerre et les flottes russes du Pacifique, du Nord et de la Mer Noire, équipées de missiles de croisière et de navires anti-sous-marins, ainsi que de 30 avions de la Force Aérospatiale Russe.
La crise ukrainienne a démarré parce que la Russie ne peut plus tolérer une présence grandissante de l’OTAN à sa frontière occidentale. L’adhésion de l’Ukraine au sein de l’alliance occidentale signifierait que des missiles US pourraient frapper Moscou en 5 minutes, ce qui rendrait les systèmes de défense anti-aérienne russes inopérants et obsolètes.
Avons-nous des raisons de nous inquiéter ?
Souvenez-vous…
1962, la Crise des missiles de Cuba : pas de guerre mondiale.
1984, le face à face russo-américain en Méditerranée, les deux flottes séparées par une centaine de kilomètres, avec des menaces proférées par le chef d’État russe, Iouri Andropov, laissant supposer que la guerre était imminente, mais Andropov est mystérieusement décédé juste avant que le conflit n’éclate : pas de guerre mondiale.
1987, la Crise des euromissiles : pas de guerre mondiale.
Sans compter les crises diverses, Corée du Nord, Iran, comme celle de janvier 2020 qui servit de prétexte à Ricky Gervais pour ouvrir la cérémonie des Golden Globes sur le thème de la fin du monde : puisqu’on va tous mourir, j’en ai plus rien à battre et je balance les pédophiles d’Hollywood (voir la vidéo dans Ricky Gervais met le feu à Hollywood, juste avant la fin du monde).
L’incident diplomatique qui devait déclencher la Troisième Guerre mondiale, ce 3 janvier 2020, avait été l’exécution du général iranien Qassem Soleimani, tué par un drone américain sur l’aéroport de Bagdad…
Qui s’en soucie aujourd’hui ?
On doit tous mourir un jour.
Avoir peur n’empêche pas de mourir, mais ça empêche certainement de vivre.
Une réponse sur « La Troisième Guerre mondiale n’aura pas lieu »
Il y avait un bug qui empêchait de lire la vidéo de l’entrevue Poutine-Macron, il a été réparé.
J’aimeJ’aime