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La grippe qui cause la fin du monde… peut s'arrêter demain

(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo.)

Le Docteur Roger Hodkinson est l’ancien président de la commission COVID du Collège Royal des Médecins et Chirurgiens d’Ottawa.

Il a été PDG d’un grand laboratoire médical à Edmonton, dans l’Alberta et a occupé durant 20 ans le poste de président d’une société de biotechnologie médicale en Caroline du Nord, laquelle vend actuellement un test de COVID-19.

Il est aussi spécialisé en pathologie, virologie et a été formé à l’Université de Cambridge, au Royaume-Uni.

Le déclaration que vous entendez dans cette vidéo a été faite lors d’une réunion de la Commission des Services au Public et à la Communauté, le 13 novembre 2020.

Le docteur Roger Hodkinson s’adresse ici au Président de la Commission, Aaron Paquette.

Voici une transcription, avec une traduction légèrement corrigée, de la vidéo :

« Monsieur le Président, je suis le Dr. Hodkinson. Je veux juste vous faire savoir que je suis prêt.

— Oh, d’accord. Nous serions ravis de vous entendre. La parole est à vous.

— Merci beaucoup. J’apprécie d’avoir l’opportunité de m’adresser à vous sur cette grave question. Ce que je vais dire sera dans un langage profane et direct. Cela va à l’encontre du discours habituel. Et par conséquent, pour que vous ne pensiez pas immédiatement que je suis un charlatan, je vais brièvement résumer mes références, afin que vous puissiez comprendre mes origines et la base de mes connaissances en la matière.

Je suis médecin en pathologie, ce qui inclut la virologie. J’ai été formé à l’Université de Cambridge, au Royaume-Uni. Je suis l’ex-président du Département de pathologie de l’Association Médicale.

Auparavant, j’étais professeur adjoint à la Faculté de médecine où j’ai longuement enseigné. J’ai été président du Collège Royal des médecins du Comité d’Examen des Pathologies, à Ottawa.

Mais de façon plus pertinente, je suis actuellement le président d’une société de biotechnologie en Caroline du Nord, laquelle vend un test pour le COVID-19, et je pense que vous pourriez dire que j’ai quelques connaissances dans ce domaine.

Il faut se rendre à l’évidence : il existe une hystérie du public totalement dépourvue de fondement, provoquée par les médias et les politiciens.

C’est scandaleux ! C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance.

Il n’y a absolument rien qui puisse être fait pour contenir ce virus, à part protéger les personnes âgées plus vulnérables.

Cela ne devrait pas être pris pour autre chose qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas ebola. Ce n’est pas le SARS. C’est la politique qui joue au docteur. Et c’est un jeu très dangereux.

Aucune action d’aucune sorte n’est nécessaire, autre que celles effectuées l’année dernière, quand on ne s’est pas senti bien. Nous sommes restés à la maison, nous avons pris de la soupe de poulet vermicelles, nous n’avons pas rendu visite à grand-mère et nous avons décidé nous-mêmes quand nous retournerions au travail. Nous n’avons pas eu besoin que qui que ce soit nous le dise.

Les masques sont complètement inutiles. Il n’y a aucune preuve de leur quelconque efficacité. Les masques de papier et de tissu sont simplement des symboles de vertu. Ils ne sont même pas portés efficacement, la plupart du temps. C’est complètement ridicule de voir ces malheureuses gens, sans instruction, et je ne dis pas ça dans un sens péjoratif – de voir ces gens qui vont et viennent comme des lemmings, obéissant sans la moindre base de connaissance pour mettre ce masque sur leur visage.

La distanciation sociale est tout aussi inutile, parce que le COVID est répandu par des aérosols qui voyagent sur une distance de 30 mètres avant de se déposer.

Les confinements ont eu des conséquences inattendues si terribles. Tous les lieux devraient rouvrir demain, comme il était indiqué dans la Déclaration de Great Barrington, que j’ai diffusée avant cette réunion.

Et un mot sur les tests. Je tiens à insister sur le fait que je travaille dans le domaine des tests pour le COVID. J’insiste sur le fait que des résultats de test positifs ne signifient PAS (souligné en rouge) une infection clinique. Cela ne fait que provoquer une hystérie généralisée et tous les tests devraient être arrêtés. À moins que vous vous présentiez à l’hôpital avec des problèmes respiratoires.


(passage absent de la vidéo, mais présent dans la transcription anglaise)

Tout ce qui devrait être fait devrait l’être pour protéger les personnes vulnérables et leur donner, dans tous les établissements infirmiers qui sont sous votre contrôle… donnez-leur à tous 5000 unités internationales de Vitamine D chaque jour, ce qui s’est avéré réduire radicalement les risques d’infection.


Je voudrais vous rappeler que selon les statistiques de la province, les risques de décès pour les personnes de moins de 65 ans, dans cette province, sont de 1/300 000 ! Vous devez intégrer ça.

L’ampleur de la réponse que vous entreprenez sans aucune preuve à l’appui est complètement ridicule, étant données les conséquences des actions que vous proposez. Toutes sortes de suicides, fermetures d’entreprises, funérailles, mariages, etc. c’est tout simplement scandaleux.

C’est juste une autre mauvaise grippe et vous devez vous rentrer ça dans le crâne. Laissez les gens décider par eux-mêmes. Vous devriez vous retirer complètement du domaine de la médecine. Vous êtes en train d’être menés en bateau par le responsable sanitaire en chef de cette province.

Je suis absolument scandalisé que cela ait été aussi loin. Tout cela devrait s’arrêter demain.

Merci beaucoup.

Source : Peter Moore

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Nouvelle thérapie contre la coVIDE

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J’avais rédigé une ébauche de méthode pour parler à l’entourage qui gobe tout des médias, le jaune, le blanc et la coquille, dans Faut arrêter de nous prendre pour des complotistes.

Mais c’est après avoir répondu à un éveillé désespéré dans les commentaires de L’OMS enseigne la masturbation aux bambins de 4 à 6 ans que la grâce du Saint-Esprit m’est tombée dessus comme une météorite.

J’aurais pu crier Eurêka ! mais je n’étais pas dans mon bain, d’ailleurs comment aurais-je pu l’être ? Je ne prends que des douches. J’ai beau être un apostat de la très Saint-Église Écologique (voir Covid-19, l’écoterrorisme), ça ne m’empêche pas de ménager l’environnement.

Mais venons-en au fait…

Beaucoup d’entre vous, les éclairés, ont dans leur entourage ce que certains appellent des « covidistes », tels les membres d’une religion dogmatique, avec ses croyances, ses rituels, son catéchisme et ses sermons diffusés par les médias du haut de leur chaire, exhortant les fidèles à se conformer aux bulles pontificales du pape Emmanuel 1er, dit le poudré.

Las ! s’il en était ainsi, ce serait une bénédiction, mais avec ce troupeau obstiné, nous sommes loin de l’image biblique des pasteurs conduisant leurs ouailles jusqu’à de verts pâturages.

Ces moutons sont tout bêtement malades.

Rassurez-vous, la COVIDE n’est pas contagieuse, c’est une maladie mentale, une paranoïa aiguë, une phobie, une forme virulente de l’hypocondrie qui fait voir au patient des virus tout droits sortis de son imagination fiévreuse.

Le diagnostic est aisé : le malade, facile à reconnaître, porte un masque avec lequel il croit se protéger d’un virus mortel, il se lave les mains avec du gel désinfectant, se tient à distance des autres par crainte d’une contamination, se soumet compulsivement à des tests de dépistage et, d’une façon générale, dramatise un scénario épidémique ou pandémique, mais toujours hallucinatoire.

Cette psychose revêt deux formes hypocondriaques : COVIDE maladive, décrite précédemment, et COVIDE soignante.

Le patient atteint de COVIDE soignante s’imagine qu’il doit protéger, tester et vacciner les patients atteints de COVIDE maladive. Cela pourra prendre diverses formes, comme de tenir des discours persuasifs exhortant les autres à prendre des mesures prophylactiques pour endiguer la terrible épidémie qui n’existe que dans son délire. Les cas particulièrement atteints monteront des tentes dans la rue où d’autres déments viendront faire la queue pour se soumettre à des tests de dépistage.

La COVIDE, Compulsion Virale de l’Imaginaire Délirant Épidémique, peut revêtir des formes bénignes telles qu’une simple névrose, ou des formes malignes, plus aiguës, pouvant générer des épisodes psychotiques où l’aliéné invectivera ceux qui, par exemple, ne portent pas de masque. Des cas de violence ont pu être observés.

Dans les cas aigus, le Rivotril, anticonvulsivant fréquemment prescrit aux cas psychiatriques, pourra s’avérer bénéfique.

Si le malade n’est pas trop atteint, on lui prescrira une psychothérapie, à raison de deux séances par semaine, dont j’exposerai ici l’approche :

— Ne contredisez pas le malade, en aucun cas, n’essayez pas de le raisonner ou de le convaincre de la vacuité de ses illusions, ne vous avisez même pas de suggérer qu’elles ne sont pas la réalité. Vous ne réussiriez qu’à le frustrer et le déstabiliser. Il pourrait même se montrer agressif. De plus, vous perdriez la confiance qu’il a placé en vous, en tant que thérapeute, puisqu’il serait alors persuadé que vous êtes dans le déni.

— N’essayez pas de lui dire que les autres malades qui l’ont conforté dans son délire épidémique avaient tort ou qu’ils étaient eux-mêmes affligés de la même pathologie que la sienne, qu’il s’agisse de personnes ordinaires ou de responsables des médias ou du gouvernement. La gravité de cette maladie est qu’elle touche toutes les catégories professionnelles, nul n’est épargné. Si bien que lorsqu’un porte-parole médiatique ou politique est infecté, la psychose se transmet à un nombre considérable d’individus.

– N’allez surtout pas lui dire, comme certains praticiens l’ont fait, qu’il est victime d’un complot visant à lui faire accepter un vaccin mortel, afin de réduire la population mondiale. Il est déjà effrayé, vous n’allez pas lui rendre sa santé mentale en le terrorisant davantage.

– Ici, l’approche thérapeutique la plus douce est de rigueur. Faites-le parler de ce qu’il croit être la réalité. Écoutez-le, sans l’interrompre ni le contredire en aucune façon. Acquiescez avec bienveillance à tous ses délires. Faites comme si ses hallucinations étaient réelles. Vous remarquerez d’ailleurs que ça l’apaise.

– Après qu’il vous a décrit l’une de ses hallucinations, demandez-lui d’où il tient cette information. Cela vient généralement d’un autre aliéné, lui aussi atteint de la COVIDE.

– Traitez l’évènement au cours duquel il a entendu parler de la COVIDE comme un traumatisme sévère. Faites-le parler, demandez-lui quand c’était, où ça s’est passé, qui parlait, qu’est-ce que la personne disait, de quoi elle avait l’air, comment lui-même se sentait en entendant ces paroles anxiogènes.

– S’il vous décrit l’une de ces crises d’hystérie collective diffusées par des médias ou services hospitaliers infectés par la COVIDE, faites-lui repasser l’incident du début à la fin, pour en extraire tout la charge émotionnelle et les réactions psychosomatiques. Faites-le autant de fois que nécessaire en lui demandant de raconter l’évènement en détail, jusqu’à ce que vous observiez un allègement de sa dramatisation.

– À ce stade, il pourra s’avérer sage de mettre fin à la séance. Vous reprendrez rendez-vous avec le patient un autre jour de la semaine, afin de traiter un autre événement traumatique.

Continuez ainsi, séance après séance, sans jamais brusquer le malade, à son rythme. Ses progrès seront lents, la plupart du temps, mais si vous faites preuve de patience et gardez votre calme même dans ses pires moments de crise, vous finirez par apercevoir les premiers signes d’une rémission.

Par exemple, après avoir écouté ses délires durant des heures sans broncher ni perdre votre contenance, vous serez récompensé de vos efforts en l’entendant vous dire que, tout compte fait, il se pourrait que cette histoire de pandémie ne soit pas tout à fait rationnelle, que peut-être il n’avait pas vraiment évalué la situation comme il aurait dû, ou alors, qu’au fond de lui-même il n’y avait pas vraiment cru, qu’il ne s’agissait pas d’une pandémie mondiale, mais plutôt d’une grave épidémie à l’échelle nationale. Ne sous-estimez pas ce type de résultat, c’est une amélioration majeure.

Et puis, un beau jour, ce sera la guérison. Il enlèvera son masque, vous serrera la main pour vous remercier chaleureusement et vous vous sentirez des ailes, car vous avez sauvé un être. Cet esprit halluciné, égaré dans les ténèbres et la peur, vous l’avez fait sortir en pleine lumière, ce mort-vivant qui n’était pas conscient de l’être, vous l’avez ramené à la vie.

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L'infirmière PCR, Pas Crétine qui Réfléchit

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Si quelqu’un a des doutes sur l’authenticité de cette jeune infirmière, qu’il réécoute cette vidéo en portant attention au jargon médical typique de celles qui l’utilisent à longueur de journée et pour qui cela devient un automatisme, comme lorsqu’elle dit « négs », au lieu de « tests négatifs ».

Je suis bien placé pour le savoir, j’en ai une comme ça à la maison : « une perf » (perfusion), « des aiguilles de sous-cut » (injection cutanée), une « ordo » (ordonnance), une « IM » (injection intramusculaire)… j’ai fini par apprendre les expressions à force de les entendre.

Cette jeune femme de la vidéo, à l’esprit vif, intègre, est digne d’admiration dans un milieu médical gangrené par la corruption, les pots-de-vin, l’obéissance veule à des consignes aussi imbéciles que nocives, l’abandon de la déontologie au profit de l’hystérie médiatique et la manipulation politique.

Combien de fois des amis ou des proches m’ont rapporté que dans les magasins, les gens leur répétaient,  pour imposer le port du masque, comme un mantra obsessionnel récité par un adepte lobotomisé de la pire secte : « Macron a dit… Macron a dit… »

Je sais d’autant plus que cette infirmière dit vrai que ma chère et tendre et ses collègues n’ont pas vu un seul cas de COVIDE depuis le début de cette psychose, en décembre 2019.

On a un chat à la maison. Une adorable princesse, mais dès l’instant où elle a peur de quelque chose, même d’aussi absurde qu’une amie qui craque complètement en la voyant et dit : « Minou ! Minou ! Minou ! Oh ! Qu’est-ce qu’elle est belle !!! » Rien ne peut lui faire entendre raison.

Elle prend un air terrorisé, commence à opérer une retraite prudente tout en nous lançant des regards mi-supplique mi-reproche : « Et vous ne faites rien pour me protéger, vous ! »

Chez nous, on en rigole souvent en disant qu’elle a un petit pois dans la tête. Parfois, je l’appelle Rantanplan, comme le chien crétin de la bande dessinée Lucky Luke, mais bon sang ! C’est un chat…

Alors, s’apercevoir que la majorité des Français ont une capacité de réflexion qui n’est pas plus élevée que celle d’une bête, et une bête pas bien maligne, en plus… ça donne envie de rester confiné chez soi, tiens !

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Il est libre masque

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J’ai bientôt fini l’article et la vidéo de Le mystère d’Isaac Kappy – Partie 4.

Pour vous aider à patienter un peu plus, voici de quoi booster votre système immunitaire, puisque le rire a cette faculté miraculeuse.

Petit clin d’œil à la chanson Il est libre Max, ce tube des années 80 d’Hervé Cristiani, lequel a quitté ce monde, probablement plus assez libre pour lui, en 2014.

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Quand le masque se paie votre tête

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Si une radio grand public comme France-Inter tourne le masque en ridicule, diriez-vous que le monde se réveille ?

Un pro-masque pourrait objecter : « Non, non, non, ils ne se moquent pas du masque, ils ridiculisent les règles et décrets absurdes de notre gouvernement quant à la façon de le porter, dans quel endroit et à quel moment’. »

Certes, mais à quoi sert cet ustensile, si les instructions d’utilisation sont si contradictoires qu’il en devient inutile ?

D’ailleurs, si vous pensez que cette mascarade n’est due qu’à l’incompétence de notre gouvernement, amusez-vous à faire des recherches en tapant « OMS masque régulations règles ».

C’est un festival d’incohérences.

En attendant, même les plus conformistes finissent par grogner, à mesure que cette dictature sanitaire impacte leur train-train de citoyen soumis : une amende par-ci, un enfant victime par-là, des vacances gâchées, une respiration de plus en plus laborieuse, encore moins de travail, plus de pauvreté, plus de répression absurde… et puis, ça dure, ça dure, ça dure. Alors au bout d’un moment, les endormis commencent à entrouvrir une paupière.

L’inconscience et le déni servent à protéger son petit confort et ses illusions de « tout cela est normal et si vous n’êtes pas d’accord, c’est que vous êtes complotistes », mais si la dure réalité s’acharne à piétiner, piétiner, piétiner ce confort, à quoi bon entretenir des illusions ?

Par ailleurs, n’avons-nous pas vu Macron retirer son masque avant de tousser à la figure d’enfants qui lui on fait la leçon, à Ajaccio, puis dans un lycée de Clermont-Ferrant, retirer à nouveau le masque en se plaignant qu’il étouffait, toujours face à des enfants, se moquant éperdument des gestes « barrières » ?

Pourtant, les pro-masques pourraient lui expliquer que ce n’est pas vrai, on respire très bien sous un masque.

Quoi qu’il en soit, je dirais que Macron est un excellent ambassadeur Qanon, à faire ainsi la tournée des établissements scolaires en postillonnant au visage des élèves, en crachant à la figure des Français.

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Immunité collective bientôt atteinte, vidéo censurée de Sylvano Trotta

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Cette vidéo de Sylvano Trotta a été censurée au bout de 20 minutes par YouTube.

Je continue de poster sur ce blog des vidéos censurées sur les réseaux sociaux.

Ce blog est en train de devenir un véritable musée des informations censurées par la dictature mondialiste.

Mise à jour 24 novembre 2021

Ce qui ne veut pas dire que j’adhère à 100% avec tous les médias censurés que je relaye.

Par exemple, dans le cas de la vidéo de Sylvano Trotta, qui a par ailleurs toute ma sympathie en tant que lanceur d’alerte, je pense que cette histoire d’immunité collective, c’est du flan, tout comme ce « covid-19 » dont ladite immunité est censée nous protéger.

En accord avec le Docteur Roger Hodkinson (La grippe qui cause la fin du monde… peut s’arrêter demain), le Professeur Astrid Stuckelberger (Covillusion), ainsi que d’autres médecins et lanceurs d’alerte comme l’ex-colonel spécialiste du renseignement russe Vladimir Kvachkov (La « pandémie » sous le microscope d’un spécialiste du renseignement russe) je pense que cette maladie soi-disant différente des affections respiratoires traditionnelles est une fraude au diagnostic et une opération militaire psychologique [PsyOP].

Le plus grave, dans cette histoire, et la raison pour laquelle le Coronacircus continue sans fin, c’est que la majorité des « lanceurs d’alerte » sont dupes de cette escroquerie, après des dizaines d’années de lavage de cerveau télévisé et cinématographique, merci CIAllywood.

Inversement, la vérité fait disparaître les situations les plus inextricables… ce qui est la raison d’être de ce blog.

Dans ce contexte, bon nombre de résistants opposés au vaccin sont de l’opposition contrôlée et ne réalisent même pas qu’ils sont la marionnette Guignol qui s’oppose au Vaccigendarme : Raoult et ses supporters, partisans et promoteurs des traitements anti-covid (chloroquine, ivermectine, etc.), médecins allopathiques et thérapeutes de médecine naturelle promouvant des remèdes similaires, complotistes dénonçant la Chine et son virus de Wuhan, Trump et consorts qui ont porté des accusations semblables (It comes from China, il vient de Chine) quelle qu’ait pu être la raison stratégique de ces accusations, porteurs de masque par conviction, laveurs de mains au gel, complotistes et lanceurs d’alerte « dénonçant » le virus génocidaire (« Qu’est-ce qu’y vont encore pas nous sortir pour nous exterminer ») et bien sûr, les vaccinateurs zélés et leurs ouailles encore plus crédules que les précitées, etc., etc., etc., tous, tous, tous sans exception participent à la Covillusion, justifient la dictature sanitaire et créent en permanence ce problème qu’ils s’efforcent de combattre, alors qu’en fait, ils font partie du problème.

Masques, gel, remèdes anti-covid, distanciation sociale… ne sont pas des mesures sanitaires, ce sont des techniques répétitives de suggestion. Et elles marchent du feu de Dieu.

Dit en des termes plus simples : si vous croyez au « covid-19 », vous vous tirez une balle dans le pied. Sans parler du mal que vous faites aux autres, au monde.

Ça me rappelle cette technique de chasse, pratiquée dans certains contrées d’Extrême Orient, pour capturer les singes. En Chine, notamment, la cervelle de singe vivant est un mets très apprécié.

Les chasseurs prennent une noix de coco, l’évident, y percent un trou de quelques centimètres de diamètre et l’attachent au tronc d’un cocotier avec une liane.

Ensuite, ils placent une cacahouète dans la coque de noix de coco, puis ils attendent…

Le singe arrive, repère la cacahouète dans la noix de coco, y plonge la main, saisit la cacahouète, mais quand il tente de retirer sa main, son poing refermé sur l’arachide est trop gros pour le trou, si bien qu’il reste coincé.

On pourrait supposer que le singe va lâcher la cacahouète pour regagner sa liberté…

Eh bien, non.

Le covid, c’est la cacahouète, le covidiste, c’est le singe.

Qu’est-ce qu’un covidiste ?

Quelqu’un qui croit au covide.

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The Washington Times qualifie le Coronavirus de "plus gros canular politique de l'histoire"

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L’article original anglais sur la Page du Washington Times.

L’article du Washington Time sauvegardé en PDF.

(Traduction de l’article du Washington Times)

LE BATTAGE SUR LE CORONAVIRUS EST LE PLUS GROS CANULAR POLITIQUE DE L’HISTOIRE

ANALYSE/OPINION

Le nouveau coronavirus est réel.

La réponse faite au coronavirus est un battage médiatique. Et le moment venu, ce battage sera révélé comme une supercherie politique.

En fait, le COVID-19 sera finalement l’une des réponses du monde politique à une question sanitaire parmi les plus démesurées, les plus honteusement exagérées, surmédiatisées, monstrueusement et irrationnellement grossies et carrément erronées de façon trompeuse de toute l’histoire de l’Amérique, et cette réponse reposa trop largement sur les paroles de professionnels de la médecine qui n’ont aucune compétence pour diriger une économie nationale ou un gouvernement.

La vérité est celle-ci : le COVID-19 est une vraie maladie qui rend certains malades, s’avère fatale pour d’autres, surtout les personnes âgée – et qui est sans effet sur la vaste majorité.

C’est tout.

Voilà, en résumé, ce que c’est.

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Conseils de la Direction Générale de la Santé pour les masques

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Enfin, des conseils clairs sur le port du masque.

Il était temps, je commençais à ne plus m’y retrouver.

J’espère que ceux qui ont passé des vacances sous la muselière n’auront pas trop de regrets.

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Docteur Fauci, plus malhonnête que ça, tu meurs… du covid-19

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Le Docteur Fauci est le responsable de la gestion de crise COVID-19 à la Maison-Blanche.

Observez ce grand expert médical, ce responsable sanitaire qui occupe l’un des postes de gestion de la crise du COVID-19 le plus important au monde.

Notez le niveau de sournoiserie, de malhonnêteté, de duplicité abjecte.

Cet « éminent spécialiste » joue l’anguille pour ne pas répondre à une simple question, élémentaire, à laquelle n’importe quelle personne, médecin ou non, pourrait répondre.

Cet homme est visiblement complice des émeutes et du plan sournois visant à créer du chaos aux États-Unis.

Je plains Trump qui doit endurer cette fouine, ce serpent constamment collé à ses basques pour infecter la politique sanitaire américaine de son venin.

Quand on regarde cette vidéo, on voit clairement que COVID-19 et Black Lives Matter font partie du même plan machiavélique pour détruire l’Amérique et que, dans ce plan, la France et les autres pays du monde ne sont que des dommages collatéraux.

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Moins de morts en 2020 qu’en 2017… Alors, elle est où la pandémie ?!

Ce que vous voyez est la statistique comparative des morts en France, année après année, sur le site de l’INSEE.

Les mentions en rouge vous montrent que le nombre de décès en 2017, avec l’épidémie de grippe saisonnière, était supérieur au nombre de morts durant la soi-disant pandémie de COVID-19, en 2020.

C’EST MATHÉMATIQUEMENT IMPOSSIBLE S’IL Y AVAIT EU UNE PANDÉMIE.

Par sécurité, je vous mets ici le lien de la page du site de l’INSEE, Institut National des Statistiques et des Études Économiques.

Au cas où la page viendrait à être supprimée, j’ai sauvegardé la page Web de l’INSEE au format PDF. Je vous conseille de faire de même et de la partager sur les réseaux.

Ce simple graphe est une preuve irréfutable que cette déclaration de pandémie est une escroquerie.

Par conséquent, comment le gouvernement peut-il justifier d’avoir arrêté l’économie, supprimé les libertés constitutionnelles, mis en faillite 65 000 commerces et petites entreprises, obligé les gens à porter des masques et appliqué toutes ces mesures dictatoriales, fascistes, et envisager le traçage ou la vaccination obligatoire ?

Mise à jour 26 novembre 2021

Notez cependant la hausse de mortalité depuis la campagne de vaccination. No comment.

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Des médecins américains se rebellent contre la paranoïa covid-19

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Voici le sens courant du mot science dans le dictionnaire Le Petit Robert :

(1559) Corps de connaissances ayant un objet déterminé et reconnu, et une méthode propre ; domaine organisé du savoir et fondées sur des relations objectives vérifiables.

Traduction : du savoir applicable dans un domaine précis et qui se vérifie dans la pratique.

La science qui étudie les sciences, et détermine si ce sont oui ou non des sciences exactes, s’appelle l’épistémologie.

Du point de vue de l’épistémologie, la médecine n’est pas une science, mais un ART.

Le bourrage de crâne publicitaire et médiatique visant à faire vendre un maximum de médicaments, vaccins et produits pharmaceutiques a fait oublier cette définition de la médecine au fil des décennies.

L’article Pharmarketing explique avec des arguments scientifiques, rationnels, statistiques et extraits de définitions encyclopédiques à l’appui, que cette « pandémie » est une fraude au diagnostic qui regroupe les affections respiratoires habituelles, rhume, grippe, angine, pneumonie, détresse respiratoire d’origine cardiaque, pleurésie, ainsi que des maladies comme les cancers, leucémies, septicémies et toutes sortes de maladies courantes, sous l’étiquette fallacieuse « COVID-19 ».

Pour créer cette illusion de pandémie, l’OMS, en collusion avec le CDC et les médias, tous corrompus et achetés par l’archi-milliardaire Bill Gates, ont distribué des primes pour les cas déclarés COVID-19, falsifié les chiffres, mis en circulation des tests dépourvus de fiabilité, préconisé l’usage des masques et respirateurs dans des cas inappropriés, si bien que le « remède » s’avérait souvent pire que le mal.

Tout cela amplifié par une hystérie de masse qui a contribué à hypnotiser le grand public, mais aussi le personnel médical qui en a oublié sa méthodologie et ses pratiques classiques : puisqu’il s’agissait d’une « nouvelle maladie », différente.

Symptomatique de cette dérive, la chloroquine qui, bien qu’ayant été utilisée depuis des lustres avec succès sur ce type d’affections, devenait tout à coup hérétique.

Bien sûr, vous trouverez des gens pour clamer « Nan ! nan ! nan ! ma belle-sœur est morte du COVID-19 et c’est la chloroquine qui l’a tuée, gnagnagna ! »

Parce que contrairement à la croyance courante, la médecine n’est PAS une science.

Une vraie science, au sens strict, produit des résultats invariables dans des conditions d’expérience égale.

Les médecins honnêtes le savent : un coup, ça marche bien, une autre fois, ça marche un peu, puis ça cesse de fonctionner, et des fois, le même traitement qui a produit une guérison miraculeuse sur un patient et fonctionne sur un pourcentage de cas va s’avérer inefficace sur d’autres, voire provoquer des effets secondaires néfastes.

Regardez le cancer dont les statistiques de guérison sont fausses, car le corps médical se garde bien de dire que la majorité de ces « guérisons » sont des rémissions, guérisons momentanées, et que ces coûteux traitements, dans bien des cas, ne font que reculer pour mieux sauter.

Il y a quelques mois, je discutais avec un médecin cancérologue qui me vantait la valeur des traitements qu’il utilisait contre le cancer et de ses succès avec cette maladie… quand j’ai prononcé le mot « rémission », il m’a lancé un regard désemparé, presque rancunier, puis il a changé de sujet. Tout son enthousiasme l’avait déserté.

Qu’est-ce qu’une science ?

Exemple : la physique, l’étude et l’application des lois naturelles qui régissent les comportements de la matière inerte, non organique, non vivante, et de l’énergie qui est de la matière en mouvement.

L’électricité que vous utilisez chez vous se comporte d’après cette science rigoureuse.

Quand vous appuyez sur un interrupteur électrique, ça s’allume toujours, une fois, dix fois, cent fois, mille fois, cent mille fois. Et si ça ne s’allume plus, vous appliquez le bon remède, vous changez l’ampoule ou le fusible, et ça s’allume à nouveau, de façon invariable.

C’est  scientifique.

Rappelez-vous un moment où vous aviez mal quelque part, où vous étiez malade et où le remède n’a pas fonctionné.

Mieux, pensez à un trouble physique récurrent que vous avez et qu’aucun médicament ne réussit à guérir.

Posez ces deux questions dans votre entourage, les cas d’échecs de la médecine se comptent par milliers, millions, centaines de millions…

La branche « électricité » de la physique serait-elle une science si, lorsque vous appuyiez sur l’interrupteur électrique, un coup, ça s’allumait, un autre coup, ça ne s’allumait qu’à moitié avec une faible lueur, une autre fois, la lumière était bleue, puis rouge, une autre fois l’ampoule prenait feu ?

C’est ÇA, la médecine, pas une science, mais un art.

Un art est aléatoire, capricieux, hasardeux, jamais fiable à 100 %.

À l’inverse d’une science.

Voilà pourquoi vous trouverez des médecins ou du personnel soignant qui, quelle que soit la pathologie, auront un avis et d’autres qui vous diront le contraire.

On l’entend souvent autour de nous :

« Mon médecin m’a dit que j’ai la rate qui se dilate, il préconise que je me fasse opérer. Il m’a recommandé un éminent chirurgien dans lequel il a toute confiance…

— Ah, bon ? Tu devrais consulter un autre spécialiste, il aura peut-être un avis différent. »

Le drame du « COVID-19 », c’est ce flou artistique de la médecine, cette faille dans la rigueur scientifique, que dis-je ? ce gouffre, qui est utilisé par un escroc richissime dans le but d’accroître sa fortune indécente, en achetant la complicité de gouvernements et médias tout aussi malhonnêtes que lui.

Allez, répétez encore une fois, juste pour le plaisir, vous allez voir comme ça fait du bien : la médecine n’est pas une science, c’est un art.

Et si quelqu’un s’accroche encore à l’idée que que tout ça, c’est du délire de complotiste, faites-lui regarder cette vidéo où le député italien Vittorio Sgarbi dénonce les statistiques falsifiées dans son pays, après que l’Italie a été rapportée par les médias du monde entier comme une zones sinistrée par le COVID-19.

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2000 médecins complotistes européens dénoncent la coronescroquerie en bande organisée

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Je suis le mouvement Qanon depuis novembre 2019… neuf mois, c’est peu.

Pourtant, quand je me souviens du petit nombre de « complotistes » que nous étions au début, à peine 10 %, et quand je vois la déferlante actuelle, il ne fait aucun doute que la vague naissante de 2019 va continuer de croître et d’enfler jusqu’à devenir un tsunami qui emportera tout sur son passage.

Il est intéressant de voir que c’est dans les pays qui ont vécu le nazisme en au plus près, qu’ils sont les premiers à se réveiller et à tirer la sonnette d’alarme.

Il n’y a pas un seul médecin français dans la liste des rebelles, sont-ils tous collabos de la dictature sanitaire mondiale ?

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Les Guignols ne se voilent pas la face

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Le masque de papier est en plastique non recyclable.

En vente partout, et même gratuit, si vous le ramassez par terre.

Alors, n’hésitez pas à vous baisser, c’est une geste facile dont on prend vite l’habitude.

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Non, Jeff, t'es pas tout seul

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Jeff Bezos, PDG d’Amazon, vient de faire don de 10 millions de dollars au mouvement Black Lives Matter.

Cette vidéo est un témoignage de leur gratitude.

Jeff Bezos, ce brillant investisseur qui se considère probablement comme un philanthrope, ne sait-il pas que, chaque jour, 25 000 personnes meurent de faim ?

Ça fait 9 125 000 morts par an.

C’est autre chose que le covid-19.

Et contrairement à cette « pandémie », le remède contre la faim est connu, ça s’appelle la nourriture.

D’ailleurs, l’OMS, Bill Gates et consort, puisqu’ils sont si soucieux de « sauver des vies », pourquoi ne mettent-ils pas leurs milliards de dollars et leur « philanthropie » au service de cette cause sanitaire qui tue près de 10 millions de gens par an ?

En tout cas, Jeff, si jamais tu as besoin d’aide pour protéger tes magasins, sache que t’es pas tout seul… la police est là pour t’aider.

Ah, mais j’oubliais, Black Lives Matter milite pour qu’on cesse de financer la police [Defund The Police].

Tu as quand même de la chance, Jeff, car il te reste les ventes en lignes d’Amazon pour continuer d’engranger des milliards de profit.

Les petits commerçants de Seattle qui ont vu leur commerce pillé, détruit, brûlé (beaucoup de noirs, d’ailleurs, on se demande bien pourquoi) ne peuvent pas en dire autant.

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L'OMS vous dit quand et comment porter un masque

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Vous êtes un professionnel de la santé ?

Vous faites partie du personnel soignant ?

Vous êtes malade, avec de la fièvre, le nez qui coule et de la toux ?

Non ?

Alors, qui vous a dit de porter un masque ?

Lien source relié : WORLD HEALTH ORGANIZATION

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Masque facial, la passoire à virus

Sur cette image, la version simple, intuitive, basée sur les perceptions et le bon sens.

Pour ceux qui préfèrent les maths et la physique, bonne lecture…

La page Wikipédia de virus nous dit qu’un virus mesure entre 0,01 et 0,03 micromètre (millionième de mètre, millième de millimètre), soit environ 2/100 000e de millimètre. Le micromètre est aussi appelé micron.

L’Encyclopedia Britannica nous donne une information plus complète et plus précise sur sa page consacrée au virus :

La plupart des virus varient en diamètre de 20 nanomètres (nm, milliardièmes de mètre, millionièmes de millimètre) à 250-400 nanomètres ;  les plus larges, cependant, mesurent environ 500 nanomètres en diamètre et sont longs d’environ 700-1 000 nanomètres.

En résumé, tous les virus mesurent de 20 nanomètres à 500 nanomètres, soit 0,02 à 0,5 micromètres.

Pour vous donner une échelle de valeur courante, même le plus gros des virus ne mesure que 1/20 000e de millimètre.

Prenez une règle, regardez un millimètre, divisez la taille 20 000 fois, vous avez votre virus.

La partie filtrante des masques est généralement constituée de fibres en polypropylène d’un diamètre de l’ordre de 5 micromètres et formant des pores d’une taille qui varie entre 10 et 20 micromètres, bien supérieure à la taille des virus et bactéries.

Si on se base sur les tailles moyennes de virus et interstices de fibre, on obtient ce tableau de proportions qui montre que les interstices de masque sont 72 fois plus larges que les virus qu’ils doivent arrêter.

À l’appui de ce calcul, voici un article, consacré à la dentisterie et l’hygiène buccale, qui expose des travaux de recherche méticuleux sur le sujet des masques chirurgicaux.

Je vous en traduis uniquement des extraits, car l’article est très long :

Il a été écrit le 18 octobre 2016, bien avant la crise « coronavirus », par John Hardie, BDS [Bachelor of Dental SurgeryDiplômé de Chirurgie Dentaire], MSc [Master of ScienceMaître de Science], PhD [Doctor of PhilosophyDocteur en Philosphie], FRCDC [Fellow of Royal Canadian Dental CollegeMembre de l’Université Canadienne de Dentisterie].

L’objectif de cette étude scientifique n’est pas la polémique, mais d’évaluer l’efficacité des masques chirurgicaux que portent les chirurgiens dentistes.

POURQUOI LES MASQUES FACIAUX NE FONCTIONNENT PAS : UN BILAN RÉVÉLATEUR

Introduction

La citation ci-dessus est attribuée à Justice Archie Campbell, auteur du Rapport Final de Commission SARS du Canada. C’est un rappel sévère que la connaissance scientifique change constamment tandis que les nouvelles découvertes contredisent les croyances établies. Durant au moins trois décennies, un masque facial a été jugé comme un élément essentiel de l’équipement protecteur individuel porté par le personnel dentaire. « Les performances des masques faciaux : êtes-vous protégés ? » donne l’impression que les masques sont capables de fournir un niveau de protection acceptable pour les pathogènes aérobies. Des études sur de récentes maladies telles que le Syndrome Aigu Respiratoire Sévère (SARS), le Syndrome Respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et la crise Ebola, combinées avec ces grippes saisonnières et des tuberculoses résistantes aux médicaments ont développé une meilleure compréhension de la façon dont les maladies respiratoires sont transmises. Parallèlement, avec cette évaluation, il y a eu un certain nombre d’études cliniques sur l’efficacité des systèmes de protection tels que les masques faciaux. Cet article décrira comme les découvertes de telles études nous conduisent à repenser les bénéfices du port de masque durant la pratique de la dentisterie. Il commencera par décrire de nouveaux concepts liés au contrôle de l’infection, tout spécialement les Équipements de Protection Personnels (Personal Protective Equipment).


Les études antérieures de transmissions aérobies furent entravées par le fait que les chercheurs n’étaient pas capables de détecter des petites particules (moins de 5 microns) près d’une personne infectée. Ainsi, ils supposèrent que c’était l’exposition du visage, des yeux et du nez à de larges particules (supérieures à 5 microns) ou « gouttelettes » qui transmettait la condition respiratoire d’une personne à proximité d’un hôte. Ceci devint connu comme « l’infection par gouttelettes » et 5 microns ou plus fut établi comme la taille des grandes particules et la croyance traditionnelle que de telles particules pouvaient, en théorie, être capturées par les masques faciaux. Les anciens chercheurs conclurent que puisque seulement les larges particules étaient détectées près d’une personne infectée, n’importe quelle petite particule serait transmise par les courants d’air, dispersée sur de longues distances, resterait infectieuse durant un temps et pourrait être inhalée par des personnes qui n’avaient jamais été en contact rapproché avec l’hôte. Cela devint connu comme la « transmission aérobie », contre laquelle un masque facial serait de peu d’utilité.

En utilisant des instruments hautement sensitifs, on peut aujourd’hui évaluer que les aérosols transmis depuis l’appareil respiratoire par la toux, les éternuements, la parole, l’exhalaison et certaines procédures médicales et dentaires produisent des particules respiratoires allant des plus petites (moins de 5 microns) aux très grandes (plus grandes que 100 microns) et que toutes ces particules sont capables d’être inhalées par des personnes proches de la source. Cela signifie que les aérosols respiratoires contiennent potentiellement des bactéries d’une taille de 1 à 10 microns et que les virus ont une taille allant de 0,004 à 0,1 microns. On reconnaît aussi que lors de leur émission, les larges « gouttelettes » seront soumises à une évaporation qui produira une concentration de petites particules aisément respirables, autour de la source de l’aérosol.

Structure et ajustage : Les masques faciaux jetables consistent en trois à quatre couches de tissu de fine fibre non tissé, séparées par une ou deux couches de polypropylène séparatrices qui agissent comme des filtres capables de piéger des matériaux plus grands qu’1 micron de diamètre. Les masques sont placés sur le nez et la bouche et fixés avec des lanières habituellement placées derrière la tête et le cou. Qu’importe si le masque est adapté à la forme du visage de la personne, il n’est pas conçu pour créer un joint parfaitement étanche à l’air autour du visage. Les masques seront toujours ajustés de façon lâche avec des interstices considérables le long des joues, le long de l’arête du nez et le long des bords inférieurs du masque sous le menton. Ces interstices ne fournissent pas de protection adéquate, car il permettent le passage de l’air et des aspersions quand la personne qui les porte inhale. Il est important de noter que si les masques contenaient des filtres capables de retenir les virus, les interstices autour des masques continueraient de permettre l’inhalation d’air non filtré et d’aspersions.

Critères de performance : Les masques faciaux ne sont sujets à aucune régulation. […] Pour obtenir l’approbation nécessaire à la vente de masques, tout ce qui est demandé à un fabricant, c’est que la FDA soit satisfaite que tout nouvel ustensile soit en gros semblable à n’importe quel autre masque déjà en vente. Tel que cela a été rapporté ironiquement par l’Agence pour la Santé et la Sécurité des Métiers de Colombie Britannique, « Il n’y a aucun critère spécifique qui prouve que les masques existants sont efficaces et il n’y a aucun test standard ni ensemble de données requis qui permettrait d’affirmer une équivalence de conformité. » […]

Je vous ai épargné les passages plus techniques comme les tests de filtration des virus et gouttelettes, la dynamique des fluides, le tout assaisonné d’une plâtrée de mesures en micromètres et nanomètres, mais ceux qui se sont quand même perdus en route peuvent revenir à l’image en début d’article. Grosso modo, ça dit la même chose. Petits virus, gros trous.

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L’inventeur de l’e-mail, biologiste multi-diplômé du MIT, explique le covid-19

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En 1978, un adolescent de 14 ans, nommé V. A. Shiva Ayyadurai [Vellayappa Ayyadurai Shiva] développa un programme informatique qui reproduisait les caractéristiques d’interoffice, un système de courrier sur papier inter-organisationnel. Il baptisa son programme « EMAIL ». Shiva remplit une candidature pour protéger le copyright de son invention et en 1982, l’United States Copyright Office lui remit un Certificat de dépôt N°. TXu-111-775, pour le programme.

Premier Copyright US pour « EMAIL, programme informatique pour un Système de Courrier Électronique », publié au nom de V.A. Shiva Ayyadurai.

Comme requis par les Règlements du Copyright Office, il déposa des portions du code source original en même temps que le programme. Le mot « EMAIL », qu’il donna au programme, est inséré bien en évidence dans le code. Il reçut un second Certificat de Dépôt, N°. TXu-108-715, pour le « Manuel d’Utilisateur d’EMAIL », qu’il avait préparé pour accompagner le programme et qui enseignait aux usagers non avertis comment utiliser EMAIL.

Une controverse persiste, sur la parternité de cette invention… Fut-il le premier ? D’autres ont-ils déposé des brevets similaires ? En même temps, avant, après ?

Qu’importe, même s’il n’est pas le seul, il a bien inventé l’e-mail, certificats faisant foi.

Plus tard, ce petit génie a décroché bon nombre de diplômes au MIT, dont un en biologie systémique, une nouvelle discipline qui considère un organisme biologique comme un ensemble où les différents processus interagissent, plutôt que la vieille approche où l’on voit chaque discipline, biologie, biochimie, comme des entités indépendantes.

Notez que la démarche pharmaceutique, avec ses vaccins qui ciblent la biologie indépendamment de la biochimie (d’où la longue liste d’adjuvants toxiques), ou les médicaments qui ciblent la biochimie sans tenir compte de biologie, d’où les résultats au petit bonheur la chance suivant les patients, constitue la « vieille » approche.