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J’avais rédigé une ébauche de méthode pour parler à l’entourage qui gobe tout des médias, le jaune, le blanc et la coquille, dans Faut arrêter de nous prendre pour des complotistes.
Mais c’est après avoir répondu à un éveillé désespéré dans les commentaires de L’OMS enseigne la masturbation aux bambins de 4 à 6 ans que la grâce du Saint-Esprit m’est tombée dessus comme une météorite.
J’aurais pu crier Eurêka ! mais je n’étais pas dans mon bain, d’ailleurs comment aurais-je pu l’être ? Je ne prends que des douches. J’ai beau être un apostat de la très Saint-Église Écologique (voir Covid-19, l’écoterrorisme), ça ne m’empêche pas de ménager l’environnement.
Mais venons-en au fait…
Beaucoup d’entre vous, les éclairés, ont dans leur entourage ce que certains appellent des « covidistes », tels les membres d’une religion dogmatique, avec ses croyances, ses rituels, son catéchisme et ses sermons diffusés par les médias du haut de leur chaire, exhortant les fidèles à se conformer aux bulles pontificales du pape Emmanuel 1er, dit le poudré.
Las ! s’il en était ainsi, ce serait une bénédiction, mais avec ce troupeau obstiné, nous sommes loin de l’image biblique des pasteurs conduisant leurs ouailles jusqu’à de verts pâturages.
Ces moutons sont tout bêtement malades.
Rassurez-vous, la COVIDE n’est pas contagieuse, c’est une maladie mentale, une paranoïa aiguë, une phobie, une forme virulente de l’hypocondrie qui fait voir au patient des virus tout droits sortis de son imagination fiévreuse.
Le diagnostic est aisé : le malade, facile à reconnaître, porte un masque avec lequel il croit se protéger d’un virus mortel, il se lave les mains avec du gel désinfectant, se tient à distance des autres par crainte d’une contamination, se soumet compulsivement à des tests de dépistage et, d’une façon générale, dramatise un scénario épidémique ou pandémique, mais toujours hallucinatoire.
Cette psychose revêt deux formes hypocondriaques : COVIDE maladive, décrite précédemment, et COVIDE soignante.
Le patient atteint de COVIDE soignante s’imagine qu’il doit protéger, tester et vacciner les patients atteints de COVIDE maladive. Cela pourra prendre diverses formes, comme de tenir des discours persuasifs exhortant les autres à prendre des mesures prophylactiques pour endiguer la terrible épidémie qui n’existe que dans son délire. Les cas particulièrement atteints monteront des tentes dans la rue où d’autres déments viendront faire la queue pour se soumettre à des tests de dépistage.
La COVIDE, Compulsion Virale de l’Imaginaire Délirant Épidémique, peut revêtir des formes bénignes telles qu’une simple névrose, ou des formes malignes, plus aiguës, pouvant générer des épisodes psychotiques où l’aliéné invectivera ceux qui, par exemple, ne portent pas de masque. Des cas de violence ont pu être observés.
Dans les cas aigus, le Rivotril, anticonvulsivant fréquemment prescrit aux cas psychiatriques, pourra s’avérer bénéfique.
Si le malade n’est pas trop atteint, on lui prescrira une psychothérapie, à raison de deux séances par semaine, dont j’exposerai ici l’approche :
— Ne contredisez pas le malade, en aucun cas, n’essayez pas de le raisonner ou de le convaincre de la vacuité de ses illusions, ne vous avisez même pas de suggérer qu’elles ne sont pas la réalité. Vous ne réussiriez qu’à le frustrer et le déstabiliser. Il pourrait même se montrer agressif. De plus, vous perdriez la confiance qu’il a placé en vous, en tant que thérapeute, puisqu’il serait alors persuadé que vous êtes dans le déni.
— N’essayez pas de lui dire que les autres malades qui l’ont conforté dans son délire épidémique avaient tort ou qu’ils étaient eux-mêmes affligés de la même pathologie que la sienne, qu’il s’agisse de personnes ordinaires ou de responsables des médias ou du gouvernement. La gravité de cette maladie est qu’elle touche toutes les catégories professionnelles, nul n’est épargné. Si bien que lorsqu’un porte-parole médiatique ou politique est infecté, la psychose se transmet à un nombre considérable d’individus.
– N’allez surtout pas lui dire, comme certains praticiens l’ont fait, qu’il est victime d’un complot visant à lui faire accepter un vaccin mortel, afin de réduire la population mondiale. Il est déjà effrayé, vous n’allez pas lui rendre sa santé mentale en le terrorisant davantage.
– Ici, l’approche thérapeutique la plus douce est de rigueur. Faites-le parler de ce qu’il croit être la réalité. Écoutez-le, sans l’interrompre ni le contredire en aucune façon. Acquiescez avec bienveillance à tous ses délires. Faites comme si ses hallucinations étaient réelles. Vous remarquerez d’ailleurs que ça l’apaise.
– Après qu’il vous a décrit l’une de ses hallucinations, demandez-lui d’où il tient cette information. Cela vient généralement d’un autre aliéné, lui aussi atteint de la COVIDE.
– Traitez l’évènement au cours duquel il a entendu parler de la COVIDE comme un traumatisme sévère. Faites-le parler, demandez-lui quand c’était, où ça s’est passé, qui parlait, qu’est-ce que la personne disait, de quoi elle avait l’air, comment lui-même se sentait en entendant ces paroles anxiogènes.
– S’il vous décrit l’une de ces crises d’hystérie collective diffusées par des médias ou services hospitaliers infectés par la COVIDE, faites-lui repasser l’incident du début à la fin, pour en extraire tout la charge émotionnelle et les réactions psychosomatiques. Faites-le autant de fois que nécessaire en lui demandant de raconter l’évènement en détail, jusqu’à ce que vous observiez un allègement de sa dramatisation.
– À ce stade, il pourra s’avérer sage de mettre fin à la séance. Vous reprendrez rendez-vous avec le patient un autre jour de la semaine, afin de traiter un autre événement traumatique.
Continuez ainsi, séance après séance, sans jamais brusquer le malade, à son rythme. Ses progrès seront lents, la plupart du temps, mais si vous faites preuve de patience et gardez votre calme même dans ses pires moments de crise, vous finirez par apercevoir les premiers signes d’une rémission.
Par exemple, après avoir écouté ses délires durant des heures sans broncher ni perdre votre contenance, vous serez récompensé de vos efforts en l’entendant vous dire que, tout compte fait, il se pourrait que cette histoire de pandémie ne soit pas tout à fait rationnelle, que peut-être il n’avait pas vraiment évalué la situation comme il aurait dû, ou alors, qu’au fond de lui-même il n’y avait pas vraiment cru, qu’il ne s’agissait pas d’une pandémie mondiale, mais plutôt d’une grave épidémie à l’échelle nationale. Ne sous-estimez pas ce type de résultat, c’est une amélioration majeure.
Et puis, un beau jour, ce sera la guérison. Il enlèvera son masque, vous serrera la main pour vous remercier chaleureusement et vous vous sentirez des ailes, car vous avez sauvé un être. Cet esprit halluciné, égaré dans les ténèbres et la peur, vous l’avez fait sortir en pleine lumière, ce mort-vivant qui n’était pas conscient de l’être, vous l’avez ramené à la vie.
3 réponses sur « Nouvelle thérapie contre la coVIDE »
Superbe article!Je vous nommerai ambassadeur des QAnons.Car vous savez garder votre humour dans cet enfer même (comme vous l'aviez exprimé dans un autre article….) !Pour ma part mon « âme » se trouve pétrifiée de l'état du monde et de sa nature hallucinatoire!Elle s'en vient même à se demander si elle-même n'est pas une hallucination….
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🙂🙏🏻
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Je le poste ici, car c'est l'article récent le plus approprié…En haut de la page ARTIQLES, je viens de rajouter l'impressionnant CV du professeur Didier Raoult.N'hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux (copiez le lien et collez-le dans un commentaire ou une publication) que ce soit sur Facebook ou YouTube.Vous pouvez aussi envoyer le PDF par e-mail.Dans cette guerre de l'information contre les mougeontruches, n'importe quelle munition est bonne pour tirer sur l'ennemi, le Deep State, et ses minions (mot anglais pour « laquais », pas « mignons », surtout que ce sont plutôt des affreux).
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