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Un lecteur vient de me poser cette question sur Mais enfin ! qu’est-ce qui se passe ?
Bien qu’étant conscient depuis des années des plans d’une élite mondialiste (Georgia Guidestones, Aéroport de Denver, Livre jaune… et bien d’autres en 15 ans de recherche), Je me pose quand même une question qui trouvera sans doute sa réponse quand il sera trop tard : Le mouvement Q ne serait-il pas un mouvement de dissidence contrôlée, comme la Résistance de Goldstein, le terroriste suprême du roman 1984, qui se révèle être un personnage imaginaire avec un vrai réseau de dissidence, un vrai livre de foi qui se passe sous le manteau, mais tout cela est organisé par le parti qui crée aussi Big Brother, autre personnage tout aussi imaginaire ? On crée deux partis pour que les gens choisissent et s’opposent alors que les deux servent le même système. Cette structure rappelle d’ailleurs nos élections démocratiques avec des présidents fantoches qui servent le même système. Comprenez bien que je n’affirme rien, mais juste je pose une question, qui mérite une réponse posée et mûrie.
J’ai traité ce sujet dans les articles suivants :
Bons baisers du Pays des Merv… mais c’est quoi, ça ?!
Ne Renoncez Jamais, Président Trump
Quand on perd confiance dans sa capacité à créer la réalité, on finit par croire que c’est la réalité qui dicte nos pensées/croyances, alors que c’est l’inverse. Ce sont nos pensées, croyances qui, associées à celles des autres, contribuent à fabriquer la réalité.
Le problème est rendu plus complexe par le fait que chaque « individu » est lui-même un collectif de plusieurs consciences, esprits, entremêlés.
Si plusieurs chevaux d’un attelage tirent le véhicule dans des directions différentes, il ira dans une direction « moyenne », qu’on appelle la résultante.
Beaucoup d’ouvrages ont été écrits sur ce sujet, mais je vous recommande Le Dictionnaire de l’impossible – L’Intégrale, de Didier Van Cauwelaert, qui traite de ces liens entre chamanisme et physique quantique, où l’auteur parle notamment du professeur Jean Charon, disciple d’Einstein :
… ce grand physicien, continuateur des travaux d’Einstein… Pour Charon, nous sommes tous constitués d’éons, cette catégorie d’électrons, porteurs de mémoire qui, ayant causé, par « besoin d’accroître l’information », les réactions chimiques nécessaires à la vie sur Terre, passent sans fin du règne ondulatoire au minéral, au végétal, à l’animal et à l’humain. Il en déduisait que notre personnalité est comparable à un orchestre composé de musiciens venus d’horizons divers, rassemblés par choix et complémentarité pour jouer ensemble la partition d’une vie.
Évidemment, la figure dominante du chef d’orchestre (le moi conscient) est là pour fédérer toutes ces individualités au service de l’œuvre choisie : la direction musicale impose un style en évitant les dissonances et les fausses notes. Ce qui n’empêche pas certains orchestres de manquer de cohésion. Ni quelques solistes de s’illustrer par leur talent et leur personnalité propre au sein de la formation. Mais tous les instrumentalistes qui nous composent sont au service d’une même partition, mobilisés ici et maintenant, quels que soient les orchestres auxquels ils appartenaient jadis. Si chacun d’eux conserve le souvenir inconscient des concerts antérieurs, cette mémoire encryptée n’est destinée qu’à contribuer à l’expérience présente.
C’est de cet ensemble multi-conscient aux pensées divergentes que naît le doute. Chez une même personne constituée de plusieurs consciences, certaines « tirent » en direction de la victoire, la loyauté, la liberté, la vie. D’autres « tirent » en direction de la trahison, l’échec, la mort.
L’être central, le SOI fondamental, veut avoir une pensée, tandis que les consciences parasites lui soufflent des pensées contraires qui sèment le doute. Ces consciences parasites peuvent être les gens autour de soi, mais aussi des esprits/éons collés à sa propre conscience.
La plupart des jeunes enfants, pas encore abîmés par la vie ou l’éducation, sont positifs, enthousiastes et pensent ce qu’ils veulent penser. Ils ne sont ni divisés ni assaillis par des doutes ou des indécisions.
Les adultes abîmés par « l’expérience » (mauvaise) et parasités par des esprits à la vitalité amoindrie (éons de basse fréquence), considèrent que l’enfant est naïf, en dehors de « la réalité ». La vérité est que l’enfant s’efforce de reprendre le contrôle de son univers pollué par les pensées des adultes.
De ce point de vue, les « arrêtistes » dont je parlais dans Le pape arrêté, exécuté, ressuscite et donne la prière… MIRACULO ! n’ont pas complètement tort, si ce n’est qu’ils s’efforcent de créer une réalité trop éloignée des croyances de la grande majorité, ce qui aboutit à générer plus de scepticisme que de foi supplémentaire.
La façon optimum de transformer une réalité non désirée en une réalité souhaitée, c’est de le faire de façon graduelle, en s’efforçant d’obtenir l’accord d’un maximum d’êtres, en évitant d’être trop en conflit avec cette illusion qu’on appelle « réalité ».
Créer une réalité divergente de la « réalité » est un art subtil. Il faut utiliser les croyances qui sont crédibles pour un groupe suffisamment important jusqu’à graduellement faire changer d’avis ceux qui pensent différemment.
Les satanistes utilisent les mêmes principes pour créer des réalités inverses (voir Quand le monde devient un rituel masqué).
La question qu’une personne en proie au doute devrait se poser, c’est « MOI, le vrai MOI, qu’est-ce que je VEUX croire ? » « Qu’est-ce que JE, le vrai JE, VEUX penser ? »
Cette pensée déterminée, la personne doit réaliser que toute pensée divergente vient d’un autre esprit qui n’est PAS le SOI fondamental.
JE n’ai aucun doute. Les très rares fois où des doutes survenaient de l’extérieur, je les ai écartés comme des pensées ennemies visant à créer la mauvaise réalité, provenant d’êtres qui n’étaient pas MOI.
C’est une GUERRE de l’information.
Il n’y a pas de réalité absolue.
N’est réel que ce à quoi la majorité adhère et qu’elle co-crée.
Penser est un acte CRÉATEUR.
La guerre de l’information est une guerre quantique, une guerre de foi, où les pensées/croyances s’affrontent pour faire basculer vers le rêve ou le cauchemar.
C’est pourquoi on trouve les meilleurs combattants parmi les croyants, religieux, gens de foi, spiritualistes. Leur conscience rebelle est entraînée à désobéir à la « triste réalité ».
L’ironie de la situation veut que les lois qui régissent la réalité s’expliquent par un mélange de physique quantique, de chamanisme primitif et un manuel métaphysique rédigé dans le style littéraire d’un conte de fées, datant d’il y a près de 2000 ans, les Évangiles.
Les humains d’il y a 2000 ans étaient enfantins, naïfs dans leur façon de penser, et pour la plupart illettrés, par conséquent, si on voulait leur inculquer un savoir sophistiqué, il fallait utiliser un langage imagé qui leur corresponde, aisément applicable dans la vie. Le type de langage qu’on emploie avec un enfant.
À celui qui demanderait : « Qu’est-ce qui est vrai, qu’est-ce qui est réel ? »
Je répondrais : « Qu’est-ce que tu voudrais qui soit réel ? »
Et s’il me répondait : « J’aimerais bien que Trump soit au service du peuple, je voudrais que les patriotes soient réels, je voudrais que Q soit réel, j’aimerais que la Terre soit libérée… J’aimerais y croire, mais je n’y arrive pas… »
Alors, je lui dirais : « Comment veux-tu changer le monde, faire que les gens se réveillent si tu ne peux te faire obéir de tes propres pensées, si tu es incapable de commander à ces esprits qui polluent ta conscience ? »
Guerre de l’information… le combat commence à l’intérieur.










