
Durant la Seconde Guerre mondiale, un soldat rentra chez lui pour une courte permission. Alors qu’il arrivait près de l’immeuble où se trouvait son appartement, il vit une pile de cadavres et des hommes qui les chargeaient sur le plateau d’un camion garé le long de la rue.
Il réalisa que les Allemands avaient bombardé son quartier. Le camion transportait des dizaines de cadavres et des militaires les emportaient pour les déverser dans une fosse commune.
Le soldat s’arrêta devant les cadavres empilés pour leur jeter un dernier regard, mais c’est alors qu’il remarqua une chaussure sur le pied d’une femme qui ressemblait à des chaussures qu’il avait achetées pour son épouse.
Il courut chez lui pour voir où se trouvait celle-ci, mais retourna vite au camion pour constater qu’elle se trouvait bien parmi les cadavres entassés.
Le soldat était en état de choc, mais il refusait que sa femme soit enterrée dans une fosse commune, alors il demanda à l’un des soldats qu’elle soit retirée du camion pour pouvoir lui offrir une sépulture décente. Après une brève dispute, le camarade céda et lui remit le corps de sa femme.
Alors qu’il la prenait dans ses bras, le soldat réalisa qu’elle respirait encore, lentement et difficilement. Il la transporta jusqu’à leur appartement où il la ramena peu à peu à la vie.
Huit années après cet incident, à la fin de la guerre, cette femme, qui devait être enterrée vivante, tomba enceinte et donna naissance à un garçon nommé Vladimir.

2 réponses sur « Ne jamais renoncer »
C’est une histoire très émouvante, mais la version a-t-elle pu être vérifiée? Dans ce cas, Vladimir Poutine a été choisi pour accomplir une mission.
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J’ai vérifié cette histoire en long, en large et en travers, avant de la publier, car elle était bien trop romanesque pour que je ne me méfie pas.
Par contre, je n’ai pas mis tous les liens des mainstream medias qui la relatent ou la confirment (si tant est que ces menteurs pathologiques puissent être considérés comme une source fiable), parce que je voulais conférer à l’article son aspect « conte », pour le plaisir de la saveur littéraire.
De toute façon, comme pour tout ce qui est publié sur ce blog, les lecteurs sont invités à ne pas prendre ce que je relaie pour parole d’Évangile et à faire leurs propres recherches en croisant et comparant les sources.
Cela dit, cette histoire est même confirmée sur les sites anti-Poutine, pour démontrer que sa « haine antinazie » est pathologique ou le fruit d’une éducation familiale obsessionnelle suite à ce traumatisme paternel et maternel. 😏
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