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Qu'est-ce que c'est que cette mascarade ?

La vidéo Mesures du taux d’oxygène avec ou sans masque a suscité un débat mettant en jeu 5 personnes contre le masque et 3 en faveur du masque.

Le premier contradicteur a posté ceci :

Le test est défectueux. Il ne vérifie le taux d’oxygène qu’à certains endroits à l’intérieur du masque… ça ne détermine PAS l’absorption d’oxygène. Il vous faut une machine comme celle-ci pour déterminer l’absorption réelle d’oxygène avec et sans masque.

Cette remarque contient un argument très correct : le test ne vérifie le taux qu’à certains endroits à l’intérieur du masque.

Effectivement, le technicien de la vidéo aurait dû placer un double embout à hauteur des narines, car on inhale couramment l’oxygène par le nez, alors qu’on expire le gaz carbonique par la bouche.

Mais ça signifie aussi que la machine dans la vidéo sur le cardio-training est inadéquate pour ce test, car elle mesure aussi bien l’air inspiré qu’expiré, en faisant une moyenne des deux.

Cet argument utilise cet impressionnant appareil de mesure pour le cardio-training afin de passer un point de vue qui n’en reste pas moins illogique.

Quand on veut être scientifique, on doit être rigoureux et ne pas jouer sur le visuel ou l’émotionnel.

L’autre contradicteur s’appuyait sur la vidéo du premier, en y ajoutant des termes ronflants, à caractère scientifique, comme VO2 ou Mécanique des fluides, sans les définir, de façon imprécise et hors de propos, si bien que c’était plus de l’esbroufe qu’un raisonnement logique.

Cette imprécision se retrouvait dans le fait qu’il comparait le masque sanitaire avec un tuba de plongée. Ces deux ustensiles sont peut-être similaires, on respire à travers, mais certainement pas identiques.

L’erreur la plus classique en logique, c’est de considérer comme identiques des éléments qui ne sont que similaires.

Pour finir, la seule personne qui m’ait contredit de façon simple, honnête et intelligente, a dit ceci :

Et qu’en est il alors des chirurgiens anesthésistes et infirmiers qui le portent continuellement en bloc opératoire?? N’importe quoi !!

Effectivement, c’est un argument de poids, qui se vérifie dans la pratique sur une longue période de temps.

Alors, j’ai décidé de poursuivre mes recherches pour en avoir le cœur net.

Voici pour commencer des extraits traduits du site World Health Organization [Organisation Mondiale de la Santé], Conseils au public sur la maladie à Coronavirus [COVID-19] : briser les mythes (sauvegardé ici en PDF) :

Est-ce que les gens peuvent porter un masque en faisant de l’exercice ?

Les gens ne devraient PAS porter de masque en faisant de l’exercice, car les masques peuvent réduire la capacité à respirer confortablement.

La sueur peut faire que le masque s’humidifie plus rapidement, ce qui entrave la respiration et favorise la prolifération des micro-organismes. La règle importante, durant l’exercice, est de maintenir une distance physique d’au moins un mètre, les uns avec les autres.

L’usage prolongé de masques médicaux, quand ils sont portés correctement, NE CAUSE PAS d’intoxication au CO2 ni de déficience d’oxygène.

L’usage prolongé des masques médicaux* peut être inconfortable. Cependant, ils ne provoquent pas d’intoxication de CO2 ni de déficience d’oxygène. Lorsque vous portez un masque médical, assurez-vous qu’il soit correctement ajusté et suffisamment serré pour vous permettre de respirer normalement. Ne réutilisez pas un masque jetable et changez-le dès qu’il devient humide.

* Les masques médicaux (aussi appelés masques chirurgicaux) sont plats ou plissés ; il sont fixés à la tête avec des lanières ou des attaches d’oreille.

Maintenant, en lisant ce qui précède, vous avez deux attitudes possibles : soit vous faites partie de ceux, dociles, qui s’en remettent aux « autorités », soit vous êtes plutôt un libre-penseur, un esprit indépendant qui ne s’en remet pas à d’autres pour penser à sa place.

Après tout, il s’agit de l’OMS, un organisme financé par Bill Gates, dont la présentation n’est plus à faire, et dirigée par un obscur ex-dictateur africain qui n’est pas médecin.

Rappelons que l’OMS est une succursale de l’ONU, organisation où la corruption règne en maître (voir Les violeurs de l’ONU).

Je vous propose donc un petit exercice de logique avec les informations dispensées par l’OMS

Les gens ne devraient PAS porter de masque en faisant de l’exercice, car les masques peuvent réduire la capacité à respirer confortablement.

QUESTION 1 : Que signifie ce « peuvent réduire », ils réduisent la capacité à respirer ou ils ne le font pas ?

QUESTION 2 : S’ils ne réduisent pas la capacité à respirer, pourquoi les déconseiller de façon aussi ferme pour faire de l’exercice ? (les gens ne devraient PAS porter de masque en faisant de l’exercice)

QUESTION 3 : S’ils réduisent la capacité à respirer, pourquoi ne le font-ils pas lors d’activités courantes, comme la marche, les efforts que l’on fait au travail, des activités domestiques ?

La sueur peut faire que le masque s’humidifie plus rapidement, ce qui entrave la respiration et favorise la prolifération des micro-organismes.

QUESTION 4 : Elle le fait où elle ne le fait pas ? La sueur, c’est de l’eau, donc, l’eau de la sueur va-t-elle oui non humidifier le masque ?

QUESTION 5 : Si un masque humide entrave la respiration, sachant que l’expiration contient de la vapeur d’eau, combien de temps doit s’écouler avant de considérer que le masque a été « humidifié » ?

QUESTION 6 : Porter un masque, lorsqu’il fait doux ou chaud, fait transpirer la partie couverte du visage, cette humidité ne se rajoute-t-elle pas à la vapeur d’eau expirée pour « humidifier » davantage le masque ?

QUESTION 7 : Puisqu’un masque humide favorise la prolifération des micro-organismes, et sachant que le dictionnaire nous donne cette définition de micro-organisme, être vivant microscopique, peut-on ranger les bactéries et virus dans la définition de « micro-organisme » ?

L’usage prolongé des masques médicaux peut être inconfortable.

QUESTION 8 : Pourquoi l’usage prolongé des masques médicaux serait-il inconfortable ? Parce que, comme dit précédemment, ils peuvent réduire la capacité à respirer confortablement ?

QUESTION 9 : L’usage prolongé des masques médicaux serait-il inconfortable parce qu’une fois humidifié par la vapeur d’eau expirée, ce qui prend quelques minutes, ils favorisent la prolifération des micro-organismes ?

QUESTION 10 : Si les masques empêchent effectivement de respirer, au point de les déconseiller pendant l’exercice, comment peut-on dire que leur « usage prolongé ne cause pas de déficience d’oxygène », n’est-ce pas contradictoire ?

QUESTION 11 : Si la télé, les médias et des experts financés par des lobbies vous affirment avec autorité que NON, les masques ne réduisent pas l’apport en oxygène, mais que vous ressentez l’inverse, en qui aurez-vous le plus confiance, eux ou vous ?

QUESTION 12 : Combien de contradictions pouvez-vous relever dans ces deux courts extraits du site de l’OMS ?

Ayant toujours à l’esprit la remarque pertinente de l’internaute sur les chirurgiens, j’ai poursuivi mon enquête et trouvé une source qui a le mérite d’être une étude neutre, hors de la polémique « coronavirus », effectuée dans l’environnement hospitalier : une étude sur les répercussions sanitaires du port de masque chirurgical, par les chirurgiens.

Le très officiel PubMed.gov dont je vous traduis l’article ci-dessous.

Rapport préliminaire sur l’hypoxie induite par les masques chirurgicaux durant les opérations chirurgicales majeures

(Sauvegardé ici en PDF)

Résumé

Objectifs : Cette étude a été entreprise pour déterminer si la saturation en oxygène de l’hémoglobine des chirurgiens était affectée par les masques chirurgicaux durant les opérations majeures.

Méthode : Des mesures répétées, dans le cadre d’une étude longitudinale et prédictive ont été effectuées sur 53 chirurgiens en utilisant un oxymètre à pulsations, avant et après les opérations.

Résultats : Notre étude a révélé une baisse de la saturation d’oxygène des pulsations artérielles (SpO2) et une légère augmentation du pouls, comparées aux valeurs obtenues avant les opérations dans tous les groupes de chirurgiens. La baisse fut plus importante chez les chirurgiens âgés de plus de 35 ans.

Conclusion : D’après nos découvertes, le pouls augmente et le SpO2 baisse après la première heure. Ce changement précoce dans le SpO2 peut être dû au masque facial ou au stress opérationnel. Comme une très petite baisse de saturation à ce niveau reflète une importante baisse de PaO2**, nos découvertes peuvent avoir une valeur clinique pour la santé des travailleurs et des chirurgiens.

[* Sp02 – La fraction d’hémoglobine saturée en oxygène relative comparée à la totalité de l’hémoglobine non saturée dans le sang.

** PaO2 – pression partielle de l’oxygène au niveau de la mer (160 mmHg, dans l’atmosphère, 21 % de la pression atmosphérique de 760 mmHg) dans le sang artériel, ce qui correspond entre 75 mmHg et 100 mmHg.]

Nous avons donc une faible baisse de saturation de l’oxygène dans l’hémoglobine, ce qui se traduit par une importante baisse de pression d’oxygène dans le sang artériel. Regardez les 21 % cités sur la page PaO2* de Wikipédia, ce sont les 21 % mesurés par l’appareil du technicien de la vidéo Mesures du taux d’oxygène avec ou sans masque.

Bien sûr, il y a plus simple : utiliser son sens de l’observation… pour ceux qui ont en un.

Mais le premier prix de ce débat revient au dernier contradicteur, Sonlamhan, qui vient de poster ceci :

Encore une magnifique fake news probablement répandue ici par un groupe américain anti confinement qui y voit une atteinte à sa liberté… https://factuel.afp.com/non-lutilisation-du-masque-de-protection-nentraine-pas-un-manque-doxygene

Le lien dirige ver une article de l’AFP. au design de tabloïd de supermarché, avec des photos chocs et un énorme FAUX rouge vif.

L’AFP est financée par l’État.

Il y a encore des Français qui font confiance au gouvernement, comme source d’informations fiables ?!

Quelqu’un croit une seconde que l’AFP va contredire le gouvernement, mordre la main qui les nourrit ?

Comment ne pas voir dans un confinement arbitraire une atteinte à la liberté ?

Le dictionnaire nous donne ces synonymes de confinement : isolement, enfermement, incarcération, internement, détention, captivité, séquestration, emprisonnement, prison, réclusion, emmurement, encagement.

Mais qui, de nos jours, ouvre encore un dictionnaire pour vérifier le sens des mots qu’il utilise ?

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Masque à gaz carbonique… le test

(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)

Maintenant, si vous montrez cette vidéo à vos proches et qu’ils vous disent que ce n’est pas vrai, parce que la télévision a dit le contraire, ne déprimez pas.

Félicitez-vous plutôt d’être plus intelligents qu’eux.

Plus éveillés, mais aussi plus intègres.

C’est une bonne nouvelle, non ?

Finalement, il aura fallu que la planète parte en vrille comme jamais auparavant pour que vous découvriez enfin à quel point vous étiez quelqu’un de génial et tellement au-dessus de la moyenne.

Bon, d’accord, vous vous sentez un peu seul… beaucoup, même.

Ne vous inquiétez pas, nous sommes des millions, peut-être plus, et chacun d’entre nous en vaut 1000 autres.

On vous traite de conspirationniste, prenez-le comme un compliment, parce que c’en est un.

En voici d’ailleurs la vraie définition.

Conspirationniste [nom masculin & adjectif] : être lucide, capable de penser par lui-même et qui ne répète pas ce que lui dit la télévision en croyant que ce sont ses propres opinions. Exemple : Léon n’est pas conspirationniste, il est doux comme un mouton. Si les conspirationnistes avaient raison, ils en auraient parlé à la télévision. Le conspirationniste est un égoïste irresponsable qui respire de l’air frais en contaminant ceux qui s’étouffent pour protéger la santé de ceux qui s’étouffent pour protéger la santé de ceux qui s’étouffent pour… il les contamine avec ses sales idées de conspirationniste.

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Trump et les marchands de vaccins

(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)

Cette vidéo a valu à un modérateur de groupe Facebook d’être censuré.

Écoutez ce que disent ces « experts » médicaux à propos des vaccins.

Regardez comment Trump fait preuve de désinvolture, voire de mépris, vis-à-vis de leur cirque pharmaceutique.

Que voyez-vous ?

Un président pro-vaccin ou un jeu politique ?

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La "pandémie" sous le microscope d'un spécialiste du renseignement russe

Le colonel Vladimir Kvachkov analyse la pandémie

(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)

À ceux qui douterait de la validité de la traduction, je viens de demander à une amie traductrice russophone de l’écouter et de me confirmer que ce n’est pas une vidéo fake [bidon, fausse]. Elle m’a confirmé que la traduction est fidèle aux paroles du colonel Vladimir Vassilievitch Kvachkov.

Les lecteurs choqués par la déclaration de ce gradé russe, qu’il s’agirait d’une conspiration « sioniste », doivent garder à l’esprit que ce militaire, même s’il est bien renseigné de par ses fonctions de haut responsable de l’espionnage, a ses propres biais politiques. Notamment, il ne serait pas favorable à Trump.

Cela dit, vous trouverez dans les vidéos d’Alexis Cossette de Radio-Québec des analyses très bien faites démontrant qu’une bonne part de la conspiration actuelle a été ourdie par une branche pourrie de la CIA en partenariat avec une branche pourrie du Mossad, ainsi que d’autres agence de renseignement corrompues (France, Italie), les grands médias internationaux, tous vendus à l’État Profond, des banquiers… le Deep State, l’État Profond, est un gigantesque réseau mondial où les notions de nationalité, de culture, d’allégeance à un parti, perdent toute signification.

Ces gens méprisent toutes les cultures et nationalités dont ils sont issus, ainsi que leurs racines religieuses, raison pour laquelle ils veulent les noyer dans la mondialisation en les faisant disparaître. Ils considèrent que le sentiment d’appartenance à une race, une ethnie, une nationalité, etc., est une attitude primitive, dépassée, qui n’a pas sa place dans le monde « idéal » qu’ils veulent créer lorsqu’ils auront fait table rase de l’ancien.

En voulant comprendre la géopolitique de la mondialisation et des psychopathes qui l’organisent, on est constamment bousculé dans ses points de vue parce que ces gens ont eux-mêmes totalement rompu avec les modes de pensée traditionnels, si bien qu’il faut soi-même apprendre à penser autrement.

Tous les « -ismes » d’autrefois s’effacent devant la folie de gens qui sont fondamentalement lucifériens. À haut niveau, ils ont tous été enrôlés dans des confréries occultes avec rites de passage les obligeant à se compromettre dans des crimes odieux, ce qui les rend définitivement vulnérables au chantage et aisément contrôlables.

En tant que lucifériens ou satanistes, ils n’ont qu’une seule patrie, le pouvoir, et qu’une seule religion, l’argent.

Face à autant de malveillance, tous les êtres humains, quelle que soit leur race, origine, religion ou orientation politique deviennent, de par la force des choses, alliés.

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#Covid-19, Victoire au Québec

Cette vidéo vient d’être censurée par YouTube, donc je n’ai pas résisté au plaisir de la publier.

Bon visionnage !

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Foutagedegueule-19

En direct de la Maison-Blanche, bas les masques !

(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)

La vidéo est doublée en français.

YouTube vient de la censurer, mais je viens de la dé-censurer.

Hoax est un mot anglais qui veut dire canular.

Shadow banning se traduit par bannissement furtif, c’est un phénomène de censure appliqué par les réseaux sociaux pour les contenus politiquement incorrects.

En ce qui concerne le contenu de cette vidéo, vous noterez que les journalistes américains terminent leur discussion par un discours anti-Trump.

C’est étonnant de voir à quel point ces reporters sont mal renseignés sur la politique de leur gouvernement.

Pour ceux qui ont suivi l’affaire Coronavirus depuis le début aux États-Unis, Trump s’est accroché un bon moment à son point de vue anti-pandémie, affirmant que le Coronavirus n’était qu’une simple grippe et qu’il suffisait de se laver les mains.

Cette position lui a valu une pilonnage incessant des médias disant qu’il était irresponsable et mettait la vie des citoyens américains en danger.

Pour finir, conseillé par son cabinet politique et médiatique, il a dû changer son fusil d’épaule et se ranger au discours de l’OMS et des autres pays, tout en utilisant ce confinement abusif pour profiter des pouvoirs accrus par l’état d’urgence, mener des opérations militaires (sauvetage sanitaire des enfants esclaves, victimes de trafic humain),  financiers (prise de contrôle de la Federal Reserve), juridiques (poursuite des enquêtes et constitution des actes d’accusation FISAgate, etc.).

Depuis le début de son mandat, Trump a utilisé plusieurs fois cette stratégie, typique de L’Art de la guerre de Sun Tzu, qui consiste à utiliser le mouvement d’attaque de son adversaire pour le retourner à son avantage.

Voir l’article Tout ce que vous avez besoin de savoir sur Trump…

Maintenant, que ces deux journalistes lui reprochent le confinement qui a été poussé et promu par les médias auxquels ils appartiennent, alors que ce confinement a étouffé son travail d’expansion économique, est bien sûr injuste.

C’est d’ailleurs l’une des raisons clefs de ce confinement, détruire l’expansion économique américaine qui était la meilleure chance pour Trump d’être réélu.

Malgré cette info contradictoire, je publie quand même cette vidéo, car elle montre surtout la fausseté des médias et l’hypocrisie des journalistes.

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Arrêtez de vivre si vous ne voulez pas mourir

(Cliquez pour agrandir l’image)

Les gouvernements du monde entier, à l’exception de quelques pays comme la Suède et la Hollande, ont décrété le confinement général et l’arrêt quasi intégral des activités humaines à cause d’une grippe « à coronavirus ».

N’essayez pas d’expliquer aux gens que toutes les grippes sont « à coronavirus », vous perdriez votre temps. Autant essayer d’expliquer la relativité d’Einstein à un patient psychiatrique qui vient de se faire lobotomiser.

Même des gens qui se disent « éveillés » sont tombés dans ce piège grossier tendu par les médias à la solde de l’État profond.

Trump n’a pas eu le choix, sous peine d’être totalement rejeté par 90 % de la population mondiale, même par ses partisans, il a dû suivre ce mouvement ridicule et bêler avec le troupeau, puis se servir de ce coup bas pour torpiller son économie et sa campagne électorale en rebondissant avec un agenda militaire, en plus de son programme économique. Merci à Sun Tzu et son Art de la guerre.

Là non plus, n’essayez pas d’expliquer toutes ces subtilités et complexités aux neuneus qui ont un masque sur le visage et se lavent les mains pour ne pas attraper ce virus qui était tout aussi présent les années précédentes, alors qu’ils s’en fichaient comme de leur première télé.

Bon, comme vous pouvez le voir, je suis un peu remonté… j’ai passé la nuit à traduire des vidéos qui montraient, entre autres insanités, une fausse équipe de décontamination en train de terroriser de pauvres gens à propos d’un mort qui, à l’heure où je vous parle, doit être en train de cuver son vin ou sa bière, et une « médecin » corrompue et illettrée qui récitait mal son texte « Alerte à la pandémie ». On peut voir dans ses hésitations et la façon robotique dont elle caquette son discours qu’elle l’a appris comme un perroquet, mais qu’elle n’a pas le niveau intellectuel pour en comprendre le sens.

Toute cette opération médiatique n’est pas sans rappeler le vent de panique qui charriait les mêmes relents de fin du monde : « Alerte au réchauffement climatique » par Greta Thunberg.

Est-ce qu’on vous a demandé de porter un masque ou de vous laver les mains, les années précédentes, pour la grippe saisonnière qui tuait 5 fois plus de gens ?

Est-ce qu’on vous a demandé d’arrêter de travailler, de vous déplacer… de vivre ?

Non ?

Pourquoi ?

Ah ! oui, mais tu vois, ce virus-là… NON !

Je l’ai dit et redit dans les précédents articles… quelqu’un a eu ces mêmes symptômes grippaux dans mon entourage, la crédulité en moins.

La seule différence c’est l’hystérie des 35 % de personnes suggestibles qui réagissent à l’effet placebo ou l’effet nocebo. Des personnes dans un état de faiblesse mentale qui les fait obéir inconsciemment aux suggestions, d’autant plus si ces suggestions sont répétées, comme les injonctions d’un hypnotiseur.

Je sais de quoi je parle, j’ai pratiqué l’hypnose.

La plupart des gens ont gobé ce lavage de cerveau, même ceux qui se prétendent éveillés et immunisés, ha ! contre la désinformation des médias grand public.

Non seulement ils le gobent, mais ils le relaient sur les réseaux sociaux !

Allez dans les hôpitaux et constatez par vous-même ce qui se passe. Mieux, filmez et postez les preuves sur Facebook ou YouTube.

Comme je l’ai dit, nous avons une infirmière à la maison. Elle et ses collègues (elles sont trois à travailler ensemble, échanger des patients) n’ont toujours pas vu un seul cas de « coronavirus » ! Sur un total de cinquante patients par jour, pour les trois infirmières concernées.

À une amie qui se plaignait du temps que les gens mettaient à se réveiller, j’ai plaisanté en lui conseillant d’essayer les paires de baffes.

Ce n’est peut-être pas une si mauvaise idée, finalement.

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Non-assistance à hôpitaux en danger

Julie, 16 ans, morte coronavirus

« On n’aura jamais de réponse » : Julie, 16 ans, morte du coronavirus en France.

Vous pouvez la télécharger ici

Quant à la photo, j’ai juste rajouté un gros plan du visage de « Julie, 16 ans » !

Ce qui ne veut pas dire qu’une jeune fille n’est pas décédée dans un hôpital, ce qui est bien sûr très triste…

Mais tapez dans un moteur de recherche : Julie coronavirus « on n’aura jamais de réponse »

Ces mots exacts, avec les guillemets.

Vous allez voir défiler par dizaines le même talking point dans tous les journaux, de Libération à Ouest-France en passant par le journal La Croix.

C’est quoi, un talking point ?

C’est du jargon de journaliste et de responsable marketing [publicité] et ça se définit ainsi :

(arguments de discours) souvent au pluriel, talking points, sont des messages ou formules préétablies, utilisés dans la communication politique, communication de vente, commerciale ou la publicité. Le message est coordonné à l’avance pour rester invariable quel que soit le média qui transmet le message. De telles déclarations peuvent être indépendantes ou en réponse aux talking points de l’opposition et sont souvent utilisés en relations publiques, dans les débats politiques ou le marketing.

Puisque tous ces médias ont repris en chœur la phrase de la maman de Julie, « On n’aura jamais de réponse », on peut conclure que c’était l’explication fournie par les médecins pour cette tragédie inexplicable.

Dans ce cas, puisqu’ils n’avaient pas de réponse, comment les journaux peuvent-ils dire que la cause du décès de cette jeune fille de 16 ans, à l’hôpital Necker pour enfants, est bien la grippe ?

Comme expliqué dans cette vidéo de Radio Québec, COVID-19, hécatombe en Italie ? le Conseiller Italien pour la Santé a rapporté que la majorité des cas décédés en Italie étaient atteints d’une ou plusieurs AUTRES pathologies.

En fin de compte, la réponse, n’est-ce pas Julie elle-même qui l’a donnée, avant de quitter son corps : « J’ai mal à mon cœur ! »

Et si la vraie cause du décès de Julie était une erreur de diagnostic, commise par des médecins surmenés, débordés, dans un service de soins gravement handicapé par la réduction d’effectifs et de financement… mais aussi, des médecins influencés, perturbés dans leur travail par une campagne de presse abusive.

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Une bouteille de Corona à la mer

(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)

Message in a bottle 
Une bouteille à la mer

Just a castaway, an island lost at sea, oh
Juste un naufragé, sur une île perdue dans la mer, oh

Another lonely day, with no one here but me, oh
Un autre jour de solitude, avec personne à part moi, oh

More loneliness than any man could bear
Plus de solitude qu’aucun homme ne pourrait supporter

Rescue me before I fall into despair, oh
Sauvez-moi, avant que je sombre dans le désespoir

I’ll send an S.O.S to the world
J’envoie un SOS au monde

I’ll send an S.O.S to the world
J’envoie un SOS au monde

I hope that someone gets my
J’espère que quelqu’un recevra ma

I hope that someone gets my
J’espère que quelqu’un recevra ma

I hope that someone gets my
J’espère que quelqu’un recevra ma

Message in the bottle, yeah
Bouteille à la mer, ouais

… … …

Il y a une vingtaine de jours, l’une de nous (pas moi, je ne suis jamais malade) a attrapé une grippe carabinée : fièvres, courbatures douloureuses, toux, extrême fatigue…

Ironie du sort, c’était mon infirmière de femme qui l’a attrapée, celle qui se fait applaudir tous les soirs par le quartier, mon héroïne personnelle.

Je ne suis pas médecin, mais mon travail a cette particularité de gérer les facteurs psychosomatiques qui affectent les gens dans leur vie courante.

Je raconte cette histoire parce que c’est un parfait exemple de grippe à coronavirus et que nous avons été trois à le vivre en étant aux premières loges.

La malade a pris quelques tisanes ayurvédiques Immune support et des comprimés de vitamine C naturelle (acérola).

De mon côté, j’ai fait ce que je fais toujours, j’ai utilisé une technique de remise en communication corporelle, histoire de soulager son stress physique, après quoi je l’ai fait parler des pensées toxiques qu’elle avait eues, par inadvertance, avant que ne se déclenchent les premiers symptômes.

Deux séances d’environ une demi-heure. Chacune un jour différent.

La première fois, nous sommes passés à côté du véritable déclencheur, si bien que les symptômes grippaux n’ont réduit que légèrement.

Le lendemain, je lui ai fait passer en revue les jours précédant la grippe de façon plus précise et elle a trouvé LA pensée toxique, l’idée fausse, dévalorisante, qui avait crashé ses défenses immunitaires.

Le jour suivant, la plupart des symptômes étaient partis : elle riait, plaisantait, sa forme était revenue, elle toussait encore un tout petit peu, mais à peine.

Le surlendemain, plus rien.

Durée de l’opération, 3 jours.

Médicaments : aucun.

Comme je l’ai dit, je ne suis pas médecin et quand mes clients viennent me voir, c’est pour résoudre d’autres problèmes que leur santé physique.

Cependant, par un phénomène de ricochet, je me retrouve à les remettre sur pieds sans le faire exprès.

Explication : les grippes, angines, rhumes, bronchites dont ils sont victimes se dissipent naturellement en résolvant les situations de stress qui sont le motif de leurs visite.

Je travaille uniquement sur les « pensées toxiques », et s’il se trouve que les gens guérissent dans la foulée, ce n’est pas ma faute.

J’ai 40 ans d’expérience dans ce domaine.

Aujourd’hui, je jongle avec ces troubles physiques aussi facilement qu’un prestidigitateur avec ses cartes.

Bien entendu, je n’en fais pas la publicité. Il est illégal de promouvoir la guérison en dehors de la Sainte Église du corps médical. Hérésie ! Blasphème ! Au bûcher médiatique, et plus si affinités.

Je me contente d’utiliser ce savoir-faire en cercle très restreint.

Maintenant, comparez ce qui précède avec la psychose actuelle : les gens qui se tiennent à distance d’un mètre cinquante dans les magasins, ceux avec des masques ou des gants, l’arrêt total de l’économie mondiale, une mesure qui n’avait même pas été prise lors de l’épidémie de « grippe espagnole » de 1918, alors qu’elle avait fait entre 20 et 50 millions de mort.

Dans l’un des magasins bio où nous allons faire nos courses, le patron et les employés refusent l’argent liquide, exigent de passer du désinfectant sur les mains des clients, à l’intérieur ET sur le dessus.

L’autre soir je regardais la petite place visible depuis la fenêtre de notre cuisine : il y avait trois personnes, elles se tenaient chacune à un coin opposé de la place.

Même la plupart des Anons qui participent à ce mouvement, Q Anon, censé provoquer un « Grand Réveil », ont été infectés par cette propagande « pandémique » de l’OMS, relayée par les médias.

Le seul objectif de cette « pandémie » ratée (en réalité une opération psychologique et médiatique) était d’enrayer le boom économique des États-Unis et d’empêcher à tout prix la réélection de Trump.

Certes, j’ai posté un clip parodique sur le sujet, Kung Flu Fighting, mais son seul but était de faire rire et d’alléger l’atmosphère inutilement sinistre.

Je ne crois pas que le coronavirus d’un pauvre diable qui mangeait de la soupe de chauve-souris ait infecté la planète entière, ni qui que ce soit d’autre d’ailleurs.

Je ne crois pas non plus que les maladies rapportées par le gouvernement chinois et le bureau de propagande du parti communiste sont dues à ce virus. Je pourrais développer plus, mais ce serait trop technique pour ce billet d’humeur. Je crois plus à une immuno-déficience due à un choc psycho-traumatique causé par la politique sociale répressive de ce gouvernement. Le système de crédit social a généré une « épidémie » de fausses accusations pour des crimes non commis, ce qui est, comme j’en ai fait l’expérience des milliers de fois dans mon travail, le pire poison mental, et un réel danger pour la santé. Il n’y rien de plus toxique, de plus délétère, que d’accuser quelqu’un d’une faute dont il est innocent, ou de s’accuser soi-même à tort.

Pour l’Italie, je n’y crois pas plus. Consulter la PREUVE N°18 du document Théorie De La Conspiration Mon Q. La vidéo d’Alexis Cossette contient des avis de médecins et spécialistes qui dévoilent la supercherie.

Bref, je ne crois rien de tout cela, parce que je sais avec une certitude totale, pour l’avoir expérimenté durant des dizaines de milliers d’heures, que les maladies « virales » ou « microbiennes » sont une mauvaise interprétation des pathologies.

Je pense que notre science médicale est aussi arriérée que l’astronomie à l’époque où la terre « était plate ». Les équipements, que l’on doit au travail des ingénieurs et des physiciens, sont modernes, sophistiqués, mais la connaissance de l’humain et de l’énergie vitale est primitive, en plus d’être gangrenée par des fausses théories .

Avec Claude Bernard, et peut-être avec Pasteur qui l’aurait confessé sur son lit de mort, je pense que les microbes ne sont rien et que le terrain est tout.

Les microbes, bactéries et virus cherchent à survivre et se nourrir, à l’instar des micro-organismes et vers qui parasitent un hôte dès lors que la vie (vitalité) se retire de l’organisme, suite à un choc psychologique.

Raison pour laquelle vous trouverez des gens qui « attrapent » un virus ou un microbe, et d’autres, soumis au même environnement, qui ne l’attrapent pas.

La personne dont j’ai parlé plus haut n’a pas « transmis le virus » aux deux autres. Nous avons continué de vivre normalement en ne prenant aucune précaution : ni distance, ni gant, ni masque, utilisant les mêmes serviettes, mangeant à la même table, durant des semaines.

Je ne divulguerai jamais la méthode que j’ai utilisée pour venir à bout de cette grippe.

Quand on voit l’opposition et le harcèlement médiatique que doit affronter le professeur Didier Raoult, pour faire accepter un remède simple, basique, connu et utilisé depuis longtemps, on comprend que la vraie maladie dont souffre l’espèce humaine, la vraie pandémie, ce n’est pas la grippe.

Alors, pourquoi j’en parle ?

Que feriez-vous si vous viviez une expérience et sachiez que quoi que vous disiez, quelles que puissent être vos explications ou preuves, personne ne vous croirait jamais ?

Que feriez-vous si vous étiez seul, perdu sur une île de vérité, entouré par un océan de mensonges ?

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Connerivirus, vaccin et rappels

(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)

La vidéo que j’avais postée ici ayant été censurée, j’en mets une autre, encore plus radicale, qui prouve sans le moindre doute que cette pandémie n’est pas une pandémie, mais un test de QI !

Vous trouverez aussi le glossaire de cette vidéo dans le ce fichier PDF Théorie de la conspiration mon Q.

1. Éteignez la télévision.

2. Répétez avec moi…

C’est juste une grippe

C’est juste un grippe

C’est juste une grippe

C’est juste une grippe

C’est juste une grippe

C’est juste une grippe

C’est juste une grippe

C’est juste une grippe

C’est juste une grippe

C’est juste un grippe

C’est juste une grippe

C’est juste une grippe

C’est juste une grippe

C’est juste une grippe

C’est juste une grippe

C’est juste une grippe

C’est juste une grippe

… … …

(Continuez de répéter jusqu’à vous sentir parfaitement réveillé)

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Malades d'inquiétude

(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)

Message du Professeur Gilbert DERAY, Hôpital Pitié Salpêtrière

Coronavirus, attention danger, mais pas celui que vous croyez.

Depuis 30 ans, de mon observatoire hospitalier, j’ai vécu de nombreuses crises sanitaires, HIV, SRAS, MERS, résurgence de la tuberculose, bactéries multi-résistantes, nous les avons gérées dans le calme et très efficacement.

Aucune n’a donné lieu à la panique actuelle.

Je n’ai jamais vécu un tel degré d’inquiétude pour une maladie infectieuse et d’ailleurs pour aucune autre.

Et pourtant, Je ne suis pas inquiet quant aux conséquences médicales du Coronavirus. Rien dans les chiffres actuels sur la mortalité et la diffusion du virus ne justifie la panique mondiale sanitaire et surtout économique.

Les mesures prises sont adaptées et efficaces et elles permettront le contrôle de l’épidémie. C’est déjà le cas en Chine, foyer initial et de loin le plus important de cet agent infectieux, ou l’épidémie est en train de s’éteindre.

L’avenir proche dira si je me suis trompé.

Par contre,

• Je suis inquiet des vols de masques et que ceux nécessaires à la protection des personnels soignants et des personnes à risque, nos anciens et celles déjà malades, en particulier les patients immunodéprimés, soient distribués pour une efficacité nulle dans les aéroports, les cafés et les centres commerciaux.

• Je suis inquiet des vols de gels nettoyants.

• Je suis inquiet de ces rixes pour acheter du papier toilette et des boîtes de riz et de pâtes.

• Je suis inquiet de cette terreur qui conduit à faire des stocks obscènes de nourriture dans des pays où elle est disponible dans une abondance tout aussi obscène.

• Je suis inquiet pour nos anciens déjà seuls et qu’il ne faut plus ni voir ni toucher de peur de les tuer. Ils mourront plus vite mais seulement  de solitude. Nous avions l’habitude de ne pas rendre visite à nos parents et grands-parents si nous avions la grippe, pas de les éviter « au cas où » et pour une durée indéterminée, ce n’est en rien différent pour le coronavirus

• Je suis inquiet que la santé ne devienne un objet de communication belliqueuse et de conflit comme un autre, alors qu’elle devrait être une cause ultime de lutte dans le rassemblement.

• Je suis inquiet que notre système de santé, déjà en grandes difficultés, soit prochainement débordé par un afflux de malades au moindre signe de syndrome grippal. Ce sont alors toutes les autres maladies que nous ne pourrons prendre en charge. Un infarctus du myocarde ou une appendicite ce sont toujours des urgences, un virus rarement.

La couverture médiatique sur le coronavirus est très anxiogène et elle participe à l’affolement de chacun.

Cela conduit aux théories du complot les plus folles du genre, « ils nous cachent quelque chose ». Rien n’est obscur, c’est impossible en médecine dans ce monde du numérique ou la connaissance scientifique est immédiate et sans filtre.

Le coronavirus ne tue (presque) que les organismes déjà fragiles.

Je suis inquiet que ce minuscule être vivant ne fasse que dévoiler les immenses fractures et fragilités de nos sociétés. Les morts qui se compteront alors par millions seront ceux de l’affrontement des individus dans l’indifférence totale de l’intérêt collectif.

Gilbert DERAY, Hôpital Pitié-Salpêtrière, Paris.

Le point de vue de cet expert médical, habitué des épidémies, est ce que j’ai trouvé de plus proche de la thèse développée dans l’article Pharmarketing.

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Pharmarketing

La carte animée ci-dessus, datée du 5 mars 2019, est sur la page anglaise de Wikipedia intitulée Déclenchement du Coronavirus 2019-2020

En dessous de cette carte, on peut trouver les informations suivantes :

Maladie : Maladie du Coronavirus 2019 (COVID-19)

Souche virale : Syndrome aigu respiratoire sévère coronavirus 2 (SARS-CoV-2)

Localisation : mondiale

Premier cas : 1 décembre 2019

Cas confirmés : 100 000

Guéris : + 55 000

Morts : + 3 400

Territoires : 96

Cependant, l’article Wikipédia sur la grippe [ordinaire] nous dit :

La grippe grave ne doit jamais être méconnue du fait de la possibilité de décès : il faut savoir que la grippe est la seconde cause de mortalité par maladie infectieuse en France (2 000 à 4 000 décès par an en France, derrière la pneumonie à pneumocoque). Ce tableau clinique particulier associe des signes spécifiques de grippe avec une insuffisance respiratoire aiguë, et parfois défaillance multi-viscérale. Elle est toujours consécutive à l’infection d’un sujet fragilisé.

Ainsi, avant la vague médiatique « coronavirus » 2019, chaque année, la grippe courante tuait 2000 à 4000 personnes en France.

Cherchez grippe, statistique mondiale : dans le monde entier, avant la récente campagne de matraquage sur le coronavirus, la statistique annuelle de décès par la grippe courante approchait les 500 000 morts (470 000), cela fait 1283 morts par jour, soit un décès toutes les 67 secondes.

Alors, pourquoi la panique actuelle ?

Le dictionnaire donne cette définition de l’hystérie : (PATHOLOGIE) Ensemble de symptômes neurologiques qui ont l’apparence d’affections organiques malgré l’absence de lésions organiques décelables.

Si vous consultez l’article Wikipédia sur l’hystérie, vous lirez que le psychisme d’une personne, sans aucune affection organique diagnostiquée, peut provoquer les symptômes physiques suivants : anesthésies, paralysie, cécité, contracture, crises épileptiques, comas…

À preuve de cette influence de l’esprit sur le corps, il y a le phénomène des stigmates, ces marques des plaies du corps de Jésus de Nazareth crucifié qu’ont portées certaines personnes au cours de leur vie. Le phénomène, signalé à partir du XIIIe siècle, est d’ordre mystique en religion. Pour la médecine moderne, il serait d’ordre psychosomatique, sans certitude quant aux différentes hypothèses proposées.

Ces personnes, dites « stigmatisées », auraient présenté, à partir du XIIIe siècle, des marques semblables à celles du Christ sur diverses parties de leur corps :

– sur les mains ou les poignets, rappelant les plaies causées par les clous lors de la crucifixion ;

– sur les pieds ou les chevilles, rappelant les plaies causées par les clous ;

– sur la tête, rappelant les plaies causées par la couronne d’épines ;

– sur le dos, rappelant les coups de fouet ;

– sur le côté droit du thorax, rappelant la plaie causée par le coup de lance ;
– sur les épaules, rappelant les blessures causées par le poids de la croix que le Christ a portée en cheminant vers le mont Golgotha.

La psychiatrie a collé de nouvelles étiquettes sur ces phénomènes qu’on qualifiait autrefois d’hystérie. Des termes ronflants qui font plus sérieux : trouble de conversion, trouble de la personnalité histrionique et trouble somatoforme.

Conversion signifie qu’un phénomène de l’esprit se convertit en une réalité physique. On s’en était aperçu, merci bien.

Histrionique est l’adjectif dérivé du nom histrion qui signifie « bouffon » ou « comédien ». Donc, « trouble de la personnalité histrionique » est une façon scientifique de dire « faire le bouffon » ou « jouer la comédie ».

Enfin, somatoforme, du grec soma, le corps. Pour dire qu’un phénomène de l’esprit prend forme sur le corps, même idée que conversion.

Quid de la valeur scientifique de ces diagnostics ?

Le 13 mai 2013, le journal Le Monde publiait un article qui jetait un sérieux discrédit sur la validité du DSM, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, bible des psychiatres, sorte d’encyclopédie des maladies et troubles mentaux :

Pétitions, appels au boycott, déclarations et livres-chocs de spécialistes dénonçant un ouvrage “dangereux” qui fabrique des maladies mentales sans fondement scientifique et pousse le monde entier à la consommation de psychotropes… Aux États-Unis et dans de nombreux autres pays dont la France, la tension monte dans les milieux psy, à quelques jours de la présentation officielle de la nouvelle édition du DSM* (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux), prévue au congrès annuel de l’Association de psychiatrie américaine (APA) qui se tient du 18 au 22 mai à San Francisco.

L’interaction psychosomatique [du grec psukê, âme et soma, corps], l’influence de l’esprit sur le corps, est si habituelle qu’on ne la remarque plus. C’est la forêt cachée par les arbres.

Si on lui annonce le décès d’un être cher, une personne pleurera ; à partir d’une simple idée, ses glandes lacrymales entreront en action pour verser des larmes… même si cette nouvelle s’avère être fausse par la suite : « Nous sommes désolés, il s’agit d’une erreur, votre mari n’était pas dans l’avion, il avait décommandé son billet la veille du crash. »

Si on leur annonce une nouvelle terrifiante, comme par exemple « les États-Unis viennent de déclarer la guerre à l’Iran, ça va être la 3e guerre mondiale », les gens qui croient ce mensonge auront des réactions physiologiques de peur ou d’anxiété.

Dans ces deux cas précédents, le processus physique a été actionné par une information, pas une cause matérielle.

On retrouve cette interaction psychosomatique lorsque des patients réagissent en bien ou en mal à des médicaments placebo, une substance inactive administrée à un malade en lui faisant croire que celle-ci va le guérir.

Un placebo se présente sous la forme d’un médicament, mais il est tout à fait neutre, c’est-à-dire qu’il n’a aucune action biologique. Il peut toutefois permettre à une personne à qui il est prescrit de développer des changements physiques et mentaux, dus à la seule idée d’être soignée. Les placebos sont utilisés dans le cadre d’essais thérapeutiques pour offrir une comparaison avec les effets du médicament testé : certaines personnes se voient prescrire le médicament en question, d’autres un placebo.

Le mot placebo vient du verbe latin placere et peut se traduire par « je plairai ».

Lorsque ce médicament fictif a des effets négatifs, il convient plutôt de l’appeler nocebo, « je nuirai ».

De nombreux tests effectués par des scientifiques ont démontré que 35 % des patients réagissent positivement à un médicament placebo.

Plus d’un tiers des êtres humains voient leur corps obéir à une suggestion les informant qu’ils vont aller mieux.

Ce pourcentage de 35 % d’effet du placebo a été publié dans le JAMA (Journal of American Medical Association) de 1955 (THE POWERFUL PLACEBO, LA PUISSANCE DU PLACEBO). Sur cette première page accessible sans abonnement, on peut lire :

Par exemple, en 1946, le physiologiste et biostatisticien Morton Jellinek, en étudiant 199 patients souffrant de migraines, découvrit que 79 ne furent jamais soulagés avec un placebo, tandis que 120 furent soulagés.

120 sur 199, cela fait 60,30 % de patients souffrant de migraines, soulagés avec des placebos !

Ces comptes rendus d’expérience ont été publiés par le respectable Journal de l’Association Médicale Américaine, pas un magazine de médecine parallèle.

Le nocebo étant une variante du placebo, on peut s’attendre à ce qu’un pourcentage équivalent de sujets développe des pathologies, si on leur fournit une suggestion adéquate en leur faisant ingérer un médicament inactif : « Je vous préviens, ce médicament a des effets secondaires, vous aurez peut-être des nausées, des migraines, des réactions cutanées ou des difficultés respiratoires… »

Le pouvoir hypnotique de la peur

L’hypnose se caractérise par les phénomènes suivants :

– réduction du champ de conscience (hyperfocalisation) ;

– introspection (l’attention se fixe sur des idées ou images visualisées, plutôt que sur l’environnement du temps présent) ;

– développement d’hallucinations, de rêves (comme précédemment, l’esprit est centré sur des images, plutôt que la réalité extérieure) ;

– un sentiment d’absence, de dissociation, une perte des repères spatio-temporels (conséquence du précédent, la personne perd peu à peu contact avec l’environnement extérieur).

Le mot suggestion désigne :

l’influence d’une idée sur le comportement, la pensée, la perception, le jugement ou la mémoire. Une personne peut accomplir un acte ou élaborer une pensée de son propre chef, ou parce que cet acte ou cette pensée lui sont dictés par une idée.

L’hypnose est provoquée en répétant un message visuel ou auditif, ce qui provoque une hyperfocalisation avec réduction du champ de conscience, déconnecte peu à peu la personne du réel et la centre sur la suggestion répétée par l’hypnotiseur.

Répétez le même stimulus, auditif ou visuel, et vous obtiendrez des degrés d’hypnose légère sur les sujets les plus réceptifs.

Un hypnotiseur ayant un but thérapeutique (si l’on omet les illusionnistes de spectacle), ses suggestions sont positives. Elles visent à ce que la personne se détende, se sente bien, dorme, s’imagine dans un endroit agréable et sécurisant.

Il est cependant possible d’induire un type particulier de transe possédant une part des caractéristiques de l’hypnose thérapeutique : réduction du champ de conscience, introspection, développement d’hallucinations, sentiment d’absence, dissociation.

Si l’on répète une suggestion menaçante encore et encore, l’attention de la personne se fixera dessus à l’exclusion des autres repères spatio-temporels.

D’autre part, le trouble panique est une forme aiguë de l’anxiété, marquée par quelques spécificités. Causé par une hausse subite de stress, le trouble panique peut mener à un comportement d’évitement. On parle de trouble panique seulement en présence d’au moins quatre symptômes de l’anxiété.

– Transpirations

– Nausées

– Impression d’étouffer

– Douleurs dans la poitrine

– Accélération du pouls

– Respiration plus rapide

– Fourmillements dans les bras et les jambes

– Sensation de chaleur ou de fraîcheur soudaine

– Sentiment d’irréalité

– Peur de perdre le contrôle

– Crainte de la mort

– Interprétation erronée de toute situation perçue comme dangereuse

Notez que les quatre items en italique peuvent être assimilés à des symptômes grippaux.

On peut s’attendre à ce qu’une personne vulnérable au bourrage de crâne médiatique ressente certains de ces symptômes, contribuant ainsi à l’amorce d’un phénomène nocebo chez les sujets les plus suggestibles.

Depuis le début de la campagne marketing sur la maladie à coronavirus 2019 [COVID-19], nous avons vu des personnes être contaminées par cette psychose : elles font des stocks de désinfectant et de nourriture, se lavent les mains jusqu’à en avoir des gerçures, regardent les informations sur le coronavirus (dites covid-19, ça fait plus scientifique, plus contagieux) en état de transe…

Science rigoureuse versus flou artistique

Cependant, si vous cliquez sur ce lien coronavirus, l’article Wikipédia vous dit qu’il s’agit d’un groupe de virus responsables de maladies bénignes comme le rhume.

Ce qui caractérise une science, c’est la rigueur, la certitude des résultats, l’invariabilité des axiomes, la précision des équations. La gravitation universelle est une loi. Si une pomme tombe d’un arbre, elle va obligatoirement être attirée vers le bas. Ce n’est pas « peut-être », « probablement » ni « il se pourrait que ».

Dans l’article maladie à coronavirus 2019 [COVID-19], vous trouverez ces passages au ton incertain, peu scientifique :

« Le SARS-CoV-2 semble donc bien très proche d’un virus dangereux. »

« Le virus pourrait s’introduire dans le liquide céphalo-rachidien des contaminés. »

« La période d’incubation semble être le plus souvent comprise entre quatre et sept jours et très certainement inférieure à quatorze jours. »

« L’OMS estime que la période d’incubation dure probablement autour de cinq jours, entre deux et dix jours. »

« Le 30 janvier 2020, une infectiologue de l’hôpital Cochin (Paris), Odile Launay, déclare : on peut être contagieux avant même d’avoir des signes cliniques… »

« Le 6 février 2020, selon une étude chinoise supervisée par Zhong Nanshan, le médecin à l’origine de la découverte du virus du Sras [Syndrome Respiratoire Aigu Sévère] en 2003 et menée sur près de 1 100 patients, le temps d’incubation du virus pourrait varier entre 0 et 24 jours, avec une durée médiane de 3 jours… »

Tout le long de l’article, vous avez droit à ces expressions douteuses : semble, pourrait, estime, probablement, peut être, pourrait…

Sur son lit de mort, Louis Pasteur aurait confessé que « c’était Claude Bernard qui avait raison, que le microbe n’était rien, que le terrain était tout ».

Dans les faits, le SIDA, la maladie de la vache folle et le H1N1 n’ont jamais abouti aux pandémies qui nous avaient été prédites par les médias.

Selon certains médecins et biologistes, dont des prix Nobel, le virus du SIDA n’existe pas. Ce serait d’autres pathologies, qui du fait de cette erreur de diagnostic appelée SIDA, ne reçoivent pas le traitement approprié : certains types d’hépatites, leucémies ou contamination radioactive engendrant de l’immunodéficience.

Extrait de Wikipédia, Syndrome d’immunodéficience acquise :

Les signes cliniques de l’infection par le VIH [Virus de l’Immunodéficience Humaine] varient selon le stade de la maladie. Dans son livre Des Virus et des Hommes, le professeur Luc Montagnier indique que cette maladie n’a aucun symptôme spécifique constant.

… … …

Le diagnostic de l’infection par le VIH fait appel à la détection dans le sang des patients des anticorps dirigés contre le VIH. C’est la recherche de séropositivité au VIH, qui est un signe de l’infection ; mais l’absence de séropositivité au VIH ne veut pas dire qu’il n’y a pas eu une contamination (ce qui peut être le cas au tout début de l’infection).

En résumé, si l’on détecte que votre corps fabrique des anticorps contre un virus qu’on n’a pas localisé, mais qu’on suppose être présent, vous êtes déclaré séropositif. Sans compter que si vous n’êtes pas séropositif, ça ne veut pas dire que vous n’êtes pas malade.

Pile, t’as perdu, face, tu perdras quand même.

Lisez l’article Wikipédia, Syndrome d’immunodéficience acquise, section HISTOIRE, les paragraphes Reconnaissance d’une épidémie et Contestation du lien entre VIH et sida, ils sont édifiants.

Vous trouverez aussi un article sur la Contestation de la responsabilité du VIH dans le SIDA.

Regardez aussi cet autre article, Origine de l’immunodéficience humaine, vous y apprendrez que les premiers cas infectés par le SIDA remontent à 1959 !

Vous y lirez aussi que les scientifiques ne sont pas d’accord sur l’origine de cette infection. Ils ont proposé divers scénarios hypothétiques intitulés Théorie du chasseur de viande de brousse ou Théorie du vaccin anti-polio ou encore Autres voies de passage, ces dernières allant d’expériences médicales sur le paludisme aux relations sexuelles d’un homme de Los Angeles avec un chimpanzé, son « animal de compagnie ».

Devant tant d’incertitudes et d’ignorance camouflée sous des termes incompréhensibles pour le public, on peut aussi bien avancer la Théorie d’une erreur de diagnostic officialisée par les médias, permettant d’œuvrer pour la dépopulation, tout en faisant un profit pharmaceutique non négligeable.

Lisez aussi, dans ce même article de Wikipédia, la partie intitulée RÔLE DES MÉDIAS.

Facteurs cachés de l’immunodéficience

Il y a d’autres facteurs, non viraux, pour la baisse des défenses immunitaire :

1. la pollution radioactive (tapez radiation et immune system dans un moteur de recherche, ou consultez un livre de vulgarisation sur la physique nucléaire) ;

2. le THC [TétraHydroCannabinnol], substance psychoactive du cannabis.

Notez que ces deux facteurs sont en augmentation constante dans notre société, ce dernier étant promu par les médias et les libéraux.

Certains articles prétendent que les défenses immunitaires ne sont affectées qu’en cas d’exposition importante à des radiations, ce qui témoigne d’une ignorance des bases de la physique nucléaire, puisque l’exposition par contamination est un processus cumulatif dans les tissus. Une irradiation faible, mais permanente, comme celle que provoque un environnement pollué par les fuites non divulguées des centrales et l’absence d’éthique dans la gestion des déchets nucléaires aura des conséquences évidentes sur l’immunodéficience et les statistiques de cancer. Les deux pathologies étant en augmentation croissante.

Ajoutez à cela les carences vitaminiques, propres à notre alimentation moderne, notamment l’absence quasi systématique de vitamine C dans nos fruits et légumes.

Nous avons appris que la Chine a fait importer des tonnes de vitamine C à la suite de l’épidémie « liée au coronavirus ».

COVID-19 Made in China, approuvé par l’OMS

Le « coronavirus », cette généralité approximative, désigne en fait le SARS-CoV-2, définit ainsi par Wikipédia :

Le coronavirus du syndrome aigu respiratoire sévère 2, en abrégé SARS-CoV-2, est le coronavirus à l’origine de l’épidémie de coronavirus de 2019-2020 de la forme de pneumonie dénommée maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), déclarée urgence de santé publique de portée internationale par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) le 30 janvier 2020.

Dans cet article sur l’Organisation mondiale de la santé (OMS), je vous suggère de lire attentivement le passage intitulé Collusion ou conflit d’intérêt avec l’AIEA, concernant les pratiques louches de l’OMS, en relation avec l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique.

Des critiques ont notamment visé l’OMS pour sa gestion non transparente de l’information :

Collusion ou conflit d’intérêts avec l’AIEA

Ses détracteurs reprochent à cet accord (avec l’AIEA) … d’imposer la confidentialité sur des « renseignements spéciaux » et certains sujets (à la discrétion de l’AIEA pour ce qui concerne le secteur du nucléaire), ceci afin de « sauvegarder le caractère confidentiel de renseignements qui leur auront été fournis ».

À votre avis, quelles informations sur la santé et le nucléaire l’OMS peut-elle bien dissimuler pour faire plaisir à l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique ?

Sur la même page, on trouve aussi :

Entente avec les laboratoires pharmaceutiques

L’OMS a également été critiquée pour sa gestion de la crise du virus H1N1. Selon un rapport de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, « De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer aux égards des principales décisions relatives à la pandémie. »

L’OMS, c’est l’antenne médicale de l’ONU, ils ont d’ailleurs presque le même logo.

Quant à l’ONU, elle a eu comme Secrétaire Général l’ex-nazi Kurt Waldheim, puis élu Faisal Trad, l’ambassadeur de Riyad (Arabie Saoudite) comme représentant du Conseil des droits de l’homme, juste au moment ou ce pays prévoyait notamment d’exécuter et de crucifier un jeune opposant chiite de 21 ans. Et si vous n’êtes toujours pas convaincu de la nature corrompue de cette organisation, tapez ONU et Agenda dans un moteur de recherche.L’ONU et l’OMS, c’est bonnet blanc et blanc bonnet, le serpent en plus… un symbole qui ne nous rassure pas forcément.

Et c’est cette Organisation Mondialiste Mondiale de la Santé, qui nous sort le SARS-CoV-2 de 2019 ?Peut-on valider la fiabilité diagnostique d’une telle organisation qui poste des criminels à sa tête ?

Quant à l’article sur le SARS-CoV-2, voici ce qu’il nous dit, à propos de ce virus :

« … il a été séquencé pour la première fois le 5 janvier 2020 par une équipe de l’université Fudan de Shanghai (Chine) ».

On parle bien de la même Chine où la presse et l’Internet sont muselés, où les citoyens commettant des infractions ridicules comme traverser en dehors des clous perdent des points de crédit social jusqu’à se voir interdire la sortie du pays ou les transports ? Aux dernières nouvelles, en 2018, 23 millions de Chinois étaient interdits de transports : trains ou avions.

Combien en 2019 ? J’ai cherché sur Internet, mais je n’ai pas trouvé… ils ont dû arrêter de compter, il y en avait trop, ou envoyé les responsables de fuites d’informations en camp de rééducation.

Dans un pays où le gouvernement s’efforce de contrôler tous les faits et gestes et paroles de chaque citoyen, lesquels ont des applis sur leurs smartphones pour dénoncer les infractions du voisin, quelle impartialité d’information peut-on attendre des autorités scientifiques chinoises ?

Une chose est sûre, qu’il s’agisse de « réchauffement climatique », où les climatologistes n’arrivent pas à accorder leurs chiffres, ou de « virus » si microscopiques que des équipes de chercheurs peinent à les isoler dans la soupe sanguine, lymphatique ou tissulaire, malgré des années de recherche, les menaces mondiales sont un fonds de commerce rentable, car les combattre exige des financements de la part des gouvernements et des Organisations Non Gouvernementales.

De l’OMS à l’ONU, en passant par les fondations « écologistes » qui mettent le feu aux forêts pour « sensibiliser les gens à la cause climatique », fondation Clinton, Croix-Rouge, pédo-fondation mère Teresa, envois de vivres et matériel « égarés » dans des entrepôts pour décrédibiliser Trump, ou récupérés par les gouvernements des pays sinistrés pour les revendre, etc., nous en apprenons chaque jour un peu plus sur les dessous sordides de ces ONG OFG… Organisations de Foutage de Gueule. Excusez mon français.

Marchand de chaos, l’entreprise qui ne craint pas la crise.

Recherchons chercheurs, non tenus en laisse par le profit

Dans la Grèce Antique, arpentant les rues d’Athènes avec une lanterne allumée en plein jour, le philosophe Diogène « cherchait un homme honnête ».

Ce qui laisse à penser que la corruption généralisée ne date pas d’hier.

La recherche est soumise aux financements, les financements sont soumis aux dures lois du commerce.

Les campagnes « humanitaires » ont pour but de récolter notre argent pour le profit de financiers qui sont rarement des philanthropes.

On me racontait récemment qu’un responsable de laboratoire expliquait à un inventeur, lequel avait trouvé un remède peu coûteux et efficace contre le cancer, qu’il n’était pas intéressé, car il était plus rentable de combattre la maladie plutôt que de la guérir.

Je me souviens aussi de cette entrevue professionnelle avec un pharmacien :

« Prenez-vous des drogues ou des médicaments ? lui demandai-je.

— Ça va pas, je suis pharmacien, me répondit-il avec un sourire goguenard.

— Comment cela ? m’étonnai-je.

— Bah, vous savez, dans la pharmacie, 40 %, c’est du toxique, et 60 %, c’est du placebo… »

Je restais interloqué, tandis qu’il ajoutait, comme pour lui-même :

« Oh, d’ailleurs, même dans le placebo, il y a du toxique. »

Physique quantique versus microbiologie

Pour la plupart des lecteurs, la physique, c’est du chinois, alors j’en donnerai une traduction extrêmement simple.

Quantique, comme « quantité », désigne les plus petites quantités de matière connues des physiciens, les quanta.

Physique, du grec phûsis, la nature, est l’étude de la nature, de l’environnement.

Des expériences de physique ont prouvé que la conscience, le regard d’un observateur, agissait sur les microparticules atomiques et les ondes (vagues d’énergie non solide comme votre wi-fi ou four à micro-ondes).

Qu’est-ce que la physique a à voir avec les virus ?

Un virus est l’organisme vivant le plus proche (en taille) des microparticules.

La physique quantique, inconnue de la plupart des médecins et biologistes, nous apprend que la conscience influe sur la matière, particulièrement dans le domaine de l’infiniment petit, comme les électrons, particules d’électricité.

Si on étend ce principe à la microbiologie, il n’est pas interdit de penser que la conscience d’un sujet interagisse avec les virus, lesquels font en général moins de 250 nanomètres, moins d’1/4 de millième de millimètre. Un virus étant composé d’une ou plusieurs molécules d’ADN ou ARN, protégées par une capsule, une coque.

Si cette quatrième loi de la physique quantique, l’observation influe sur le système observé, est transposable à ces molécules vivantes, les virus, alors plus il y aura de gens qui adhèrent à la coronaviréalité, plus celle-ci deviendra « réalité », tandis qu’un plus un grand nombre de gens développeront des symptômes que les médecins étiquetteront grippes « coronavirus », en prenant un air grave et docte.

La spécialisation à outrance des disciplines scientifiques a produit des « savants » qui sont ignorants des domaines scientifiques échappant à leur spécialité.

Évitez d’avoir peur, ça rend malade

Grippe, les gens s’habituent, donc ce n’est plus très vendeur. Alors, de temps à autre, il faut refaire le packaging : H1N1, grippe porcine, grippe aviaire, COVID-19…

Ça me rappelle cette vidéo de Kate Cooper, Les secrets du marketing alimentaire

« Je vais vous donner quelques secrets sur la façon dont nous vous faisons acheter ce que nous voulons que vous achetiez.
En tant que responsable marketing, quand je lance un nouveau produit, en quoi consiste mon travail ?
Eh bien, mon travail est de faire en sorte que vous le vouliez, le désiriez, que vous en ayez absolument besoin.
Que vous pensiez que c’est la meilleure innovation alimentaire depuis le pain tranché.
Mais comment fait-on au juste ?
Eh bien, je vais vous présenter un exemple édifiant d’ici peu, que je vais analyser pour vous…
Mais commençons d’abord par regarder quelques petites anecdotes amusantes.
Nous avons ici des « Shreddies » [gauffres], un vieux produit très apprécié depuis des années, très populaire au Royaume-Uni et au Canada.
Sans rien changer à ce produit, ils ont modifié l’emballage et l’identité visuelle et l’ont présenté comme un nouveau produit, les « Shreddies Diamant ». Du génie marketing à l’œuvre. … »

Bien entendu, si vous voulez vendre du médical, il ne s’agit pas de donner envie ni de stimuler l’appétit, mais plutôt de faire peur.

L’hystérie collective suscitée par la peur est le premier vecteur de propagation de ces épidémies que les médias nous vendent depuis des décennies, et que la majorité d’entre nous achètent sans se poser de questions.

Le plus effrayant, dans cette histoire, ce n’est pas ce « virus » qui passera comme sont passées les paniques précédentes, mais la naïveté des milliards de gens qui, année après année, continuent d’obéir aux suggestions hypnotiques des médias.

« Regardez l’écran… focalisez votre attention sur les images… Maintenant, vous allez vous sentir malade… vous vous sentez malade… de plus en plus malade… vous êtes malade, très malade… »

Rappelez-vous cet extrait du premier article de Wikipédia sur la grippe [ordinaire], tout au début de ce texte :

[La grippe] Elle est toujours consécutive à l’infection d’un sujet fragilisé.

La peur et l’anxiété ne sont-ils pas des facteurs fragilisants ?