Les élites mondialistes gèrent deux agendas majeurs pour asservir et/ou réduire la population mondiale.
Les deux « lieutenants » qui gèrent ces agendas sont :
1. Bill Gates, responsable de la dépopulation (pandémie, injections, géo-ingénierie de dissémination des poisons dans l’atmosphère [aluminium, baryyum, strontium], pour refroidir une planète en début de mini-ère glaciaire, réduction du CO2 essentiel à la vie végétale. Destruction des enfants et de la famille. Les mouvements LGBT, féministes et pro-avortement sont au service de l’agenda Gates.
2. George Soros, chargé de détruire les nations (tsunami migratoire à l’échelle planétaire afin de diviser les peuples, parcellisation et atomisation de l’unité culturelle et sociale des pays pour « enrichissement culturel » ; infiltration des systèmes judiciaires, policiers et militaires par des juges ou gradés corrompus, mondialistes, francs-maçons, etc. Le tout afin de protéger ces flux migratoires à fort pourcentage d’éléments criminels, antipathiques ou parasites des peuples autochtones).
Faux gauchisme, vrai mondialisme
La « gauche », extrême ou pas, qu’il s’agisse de socialistes, communistes ou « démocrates » aux États-Unis, a trahi et abandonné le peuple (ouvriers, paysans, classes défavorisées compatriotes) pour se mettre au service des migrants que les mondialistes font rentrer en masse dans les pays occidentaux.
Les membres du tiers état, durant la Révolution française où furent inventés les termes « gauche » et « droite », auraient envoyé les gauchistes à l’échafaud pour trahir le peuple français au profit des étrangers.
Le plus absurde, c’est que ces « gauchistes » poussent cet agenda mondialiste au détriment de leurs propres revendications sociales et salariales, puisque leur pays ne cesse de s’appauvrir sous le poids de ces « chances pour la France » qui bénéficient du favoritisme économique et judiciaire mis en place par les young global leaders formés par Klaus Schwab, l’ex-gourou de la secte mondialo-nazie des bâtisseurs d’une pyramide sociale à deux étages : les élites à la pointe, et les gens qui ne sont rien tout en bas. Une stratégie qui inclut la destruction de la classe moyenne française.
Les arguments du gauchiste pour justifier cette contradiction : « Arrêtez de dire que le pays est en déficit à cause des millions d’immigrés qui vivent aux crochets de la CAF, chômage, RSA, logements sociaux, sécurité sociale… des broutilles. Les vrais parasites sont les élites, patrons, politiques, qui se gavent sur le dos du bas peuple. »
Qu’est-ce qui est le plus nuisible pour un pays, un petit nombre de gros parasites ou un très grand nombre de petits parasites ?
La question que devrait se poser le gauchiste, c’est pourquoi les gros parasites font-ils entrer les petits parasites en si grand nombre ? Quelle est leur stratégie ? Et cette stratégie est-elle bénéfique ou nuisible pour les habitants et travailleurs déjà installés dans l’espace vital ?
Le gauchiste ne comprend pas que s’il a autant de mal à trouver un logement ou payer son loyer, c’est aussi parce que les places sont attribuées en priorité au étrangers, et non à ceux qui ont cotisé et payé des impôts (ainsi que leurs parents) pour financer la construction de ces mêmes logements sociaux qu’on devrait plutôt appeler logements mondiaux.
Il ne comprend pas non plus que l’augmentation du pourcentage de malhonnêteté et d’irrespect croissant des locataires fait que de plus en plus de propriétaires rechignent à louer leurs biens, quitte à perdre de l’argent, par peur de se retrouver avec des squatters ou locataires irrespectueux des lieux, perturbateurs du voisinage.
En pleine période BLM, une colocation d’un étudiant français et d’Africains s’est installée au-dessus de nos têtes dans notre immeuble. Ils ont tout d’abord menti au gérant sur leur nombre, puis une fois installés deux fois plus nombreux, se sont mis à faire fête sur fête sur fête bruyante presque chaque nuit. Musique à fond, hurlements devant les matchs de foot, cris avinés, parties de jambe en l’air avec un défilé de filles différentes dont on entendait les cris et les grincements de sommier chaque nuit. Nous sommes montés, avons demandé gentiment moins de bruit, ils ont répondu par des promesses mensongères tout en faisant constamment plus de bruit. Certains vomissaient dans les escaliers, tellement ils étaient ivres. On en retrouvait d’autres titubant, presque comateux, à quatre heures du matin devant notre palier. À mesure que le ton est monté, ils ont laissé tomber le masque faussement amical et civilisé, pour devenir de plus en plus hostiles. L’un d’eux, un géant de deux mètres, à brutalisé ma fille dans les escaliers. Même l’étudiant blanc, signataire du bail, a fini par fuir les lieux. Il a menti aux Africains en leur disant qu’il partait à l’étranger, pour se débarrasser d’eux et résilier le contrat de location. Ne pouvant plus fermer l’œil, je partais dormir chez mon beau-père. Une autre voisine a protesté, menacé en vain. Au bout de plusieurs mois de cet enfer, nous avons déménagé.
Appeler la police ? Ils ne se dérangent plus, ou s’ils le font, les fêtards qui les voient arriver depuis les fenêtres ouvertes baissent le son. C’est vous qui prenez l’amende pour les avoir dérangés sans raison.
Maintenant, là où je vis, 3000 gens du volage voyage débarquent chaque été.
L’année dernière, étonné que la caissière, d’habitude amicale et confiante exige que j’ouvre mon sac, je lui demande :
« Dites-moi, c’est nouveau que vous demandez d’ouvrir mon sac. J’ai remarqué aussi, dans d’autres magasins, il y avait le même changement d’attitude avec les caissières… »
Et de m’expliquer qu’ils n’ont pas cessé d’avoir des vols, depuis l’arrivée des gens du voyage sur la région… pas plus tard que l’autre jour, un couple, avec une poussette équipée de compartiments, remplis de produits volés.
Et moi, naïvement :
« Mais vous ne pouvez pas appeler la police, quand ça arrive ?
— Mais mon pauvre monsieur, ils se déplacent même plus. Ils disent qu’ils peuvent rien faire », qu’elle me répond avec des trémolos d’émotion dans la voix.
Là, le gauchiste me sort le couplet sympathie pour les criminels : « Ah, bah, oui, mais c’est normal. Les gens, y s’en sortent plus, tu vois, c’est de plus en plus dur pour tout le monde. Et faut bien qu’y mangent. Et t’inquiète, ces magasins, y s’font suffisamment de blé, c’est pas un peu d’bouffe qui va ruiner le patron du magasin. »
Franc-parler
Un jour, dans le métro parisien, j’ai assisté à une scène qui m’a laissé perplexe…
Une rom (à l’époque il y en avait plein le métro), circule au milieu des passagers et des sièges en tendant la main, l’air suppliant, le ton geignard, le visage tordu par une grimace de souffrance :
Et quand les gens ne donnaient rien ou tournaient la tête, embarrassés, son visage se métamorphosait avec un rictus de dégoût et un regard haineux qui lançait des éclairs meurtriers.
Aucun des Français présents dans le wagon ne pipait mot.
Par contre, un Arabe, j’aurais dit un beur de première génération, hochant la tête de désolation :
« Ah, là, là, là, elle va où la France, ma parole ! »
Un autre homme, un siège plus loin, avec un accent slave qui roulait des « r » à couper au couteau :
« Chez nous, là-bas, en Rrroumanie, on les fout dehorrrs avec coup de pied au cul ! »
Personne n’a renchéri ni même vaguement acquiescé. Juste ces deux-là qui exprimaient leur déception de voir le pays qui les avait accueillis eux, et que visiblement ils aimaient, se dégrader sous leurs yeux en laissant entrer n’importe qui sans aucune discrimination ni respect pour ses habitants.
Le peuple français n’a jamais été aussi aisé ni aussi libre que durant les Trente Glorieuses, sous le gouvernement du Général de Gaulle qui, au vu de ses déclarations, serait aujourd’hui traité de facho et raciste par la gauche :
« Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » C’est le 5 mars 1959, dans son bureau de l’Élysée, que le général de Gaulle tient ces propos définitifs à l’adresse d’Alain Peyrefitte, jeune député gaulliste de Seine-et-Marne.
« Qu’on ne se raconte pas d’histoires ! Les musulmans, vous êtes allé les voir ? Vous les avez regardés, avec leurs turbans et leurs djellabas ? demande de Gaulle à Peyrefitte. Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. » Et le Général de servir sa célèbre parabole : « Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. »
Depuis 1944, de Gaulle considère – et il le dit à plusieurs de ses interlocuteurs – que l’Algérie est un boulet qu’il faut détacher le plus vite possible de la métropole. Il est obsédé par le « coût » de la colonisation et, surtout, par la démographie galopante des musulmans. Si on laisse ces derniers s’installer sans limite en métropole, ce qui serait la conséquence logique de l’Algérie française, « mon village, dit-il, ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises mais Colombey-les-Deux-Mosquées ».
« L’intégration est, dit de Gaulle, une entourloupe pour permettre que les musulmans, qui sont majoritaires en Algérie à dix contre un, se retrouvent minoritaires dans la République française à un contre cinq […]. Avez-vous songé que les musulmans se multiplieront par deux, puis par cinq, pendant que la population française restera presque stationnaire ? C’est un tour de passe-passe puéril ! […] Vous voyez un président arabe à l’Élysée ? »
C’est le socialo-communisme franc-maçon qui fait disparaître la classe moyenne au profit des élites, en désintégrant le tissu national unitaire sous l’immigration, créant une division de fait dans une population aux intérêts socio-culturels divergents. Raison pour laquelle lorsqu’on regarde les photos et vidéos de manifestations Gilets Jaunes, on voit une écrasante majorité de Français de souche, quelques rares beurs bien intégrés, et une minorité encore plus faible d’autres immigrés.
Le mythe du Français paresseux
L’argument « Oui, mais ils viennent faire le travail que les Français ne veulent pas faire » est d’une malhonnêteté vertigineuse.
De tout temps, quand ils ne trouvaient pas dans leur branche d’activité, les Français prenaient ce qu’ils trouvaient. C’était vrai pendant les deux Guerres mondiales (14-18 et 39-45) et c’est encore vrai aujourd’hui à l’ère post-covid.
En voici un témoignage, qu’une amie m’a envoyée la semaine dernière.
La devise du Nouvel Ordre mondial, build back better (reconstruire en mieux), implique de détruire l’ancien monde pour en faire un neuf.
L’Obersturmführer pour le IIIe Reich européen, Ursula von der Leyen, a participé à l’agenda de Soros en imposant le Mercosur qui privilégie les agriculteurs étrangers au détriment des fermiers français. Au lieu de faire entrer des agriculteurs migrants pour prendre les terres des autochtones, on donne les systèmes de distribution de leurs produits aux fermiers étrangers. Ce qui les met (passez-moi l’expression) sur la paille.
Une stratégie destructrice de mondialisation ou « dénationalisation ».
Ces fermiers sont submergés d’emprunts, contraints comme ils le sont depuis des décennies de s’enferrer dans un piège de rendement, mécanisation agricole, encadré de régulations contraignantes qui les étouffent.
Pourtant, au plus fort des manifestations paysannes, des écologistes de gauche ont pris parti contre les agriculteurs français : « Bien fait pour eux, y z’avaient qu’à pas utiliser des engrais chimiques et z’avaient qu’à se mettre au bio. »
La France a longtemps été, et l’est encore malgré les nombreux suicides de fermiers, un pays rural. Un paysan se lève à 4 heures du matin, fait un travail éprouvant physiquement, n’hésite pas à plonger ses mains dans la boue de ses champs, le cambouis de son tracteur, le fumier ou la bouse de ses vaches. Être paysan demande beaucoup de courage.
Par conséquent, présenter les Français comme paresseux, rechignant à la tâche, ou faisant la fine bouche face à certains travaux, pour justifier l’afflux de migrants qui vont venir pendre les emplois que les Français auraient été bien contents d’occuper, là encore, c’est un mensonge.
Ce qui est vrai, par contre, c’est que des employeurs malhonnêtes préfèrent embaucher un étranger à un salaire moindre, là où un Français demandera plus de respect, un contrat correct.
C’est une des raisons pour lesquelles l’élite pousse le libéralisme et la mondialisation, car en accroissant la compétition au sein d’une main-d’œuvre trop nombreuse, il peuvent baisser les salaires, réduire les avantages sociaux, faire taire les revendications, acheter les syndicats, jongler comme ils veulent avec les employés sans se soucier de leur stabilité d’emploi.
Les frontières d’un pays sont comme les murs, la porte et les fenêtres d’une maison, elles protègent d’influences extérieures qui nuisent au confort, au bien-être et à la sécurité de ses habitants.
Qui aurait l’idée de vivre dans une maison sans mur, sans porte et sans fenêtres ?
De façon paradoxale, en étant partisans d’une immigration outrancière, les gauchistes se rendent complices de cette dégradation du marché du travail.
Le nazisme 2.0, anti-nationaliste
Par un tour de passe-passe subtil, la vraie, la seule extrême droite, les nazis, autrefois « nationalistes », sont devenus mondialistes.
Les nazis n’ont pas disparu après la Libération, en 1944.
Ils sont devenus souterrains et se sont infiltrés partout, à des positions de pouvoir, pas seulement à la CIA, à la NASA ou au commandement de l’OTAN.
L’Opération Paperclip s’est déroulée à une plus vaste échelle que ce qu’en dit Weakypedia, financée par Soros, l’empereur de la mondialisation.
La métamorphose du nazi en mondialiste est un camouflage habile.
Si vous mettez en place un plan de contrôle à l’échelle mondiale, pour diriger la planète par le biais des institutions mondiales (OMS, ONU, FMI, Forum Économique Mondiale, etc.) vous n’avez plus besoin du nationalisme, surtout qu’il rentre en conflit avec le fascisme mondialiste.
Rappelez-vous la dictature sanitaire lors de la « pandémie », tous les pays n’étaient pas alignés.
Imaginez le même scénario avec un gouvernement mondial sur le modèle de la Chine, de l’Australie ou d’Israël qui ont appliqué des mesures brutales, fascistes à l’extrême.
Désormais, le IIIe Reich des nazis d’aujourd’hui, c’est le monde dans son entièreté, sous l’égide d’un gouvernement mondial uniforme qui dirige un seul peuple : « Ein Volk, Ein Reich, Ein Führer! [Un peuple, un royaume, un guide !]
Pour le gauchiste d’aujourd’hui, être facho, c’est être patriote. Le Français qui veut que la France reste la France, avec ses caractéristiques, sa culture, sa beauté traditionnelle, ses qualités classiques, sa richesse culinaire dont la charcuterie, ses architectures médiévales ou gothiques, c’est un raciste et un islamophobe.
C’est ce que ses profs, sa famille, ses amis, ses collègues de travail, les journaux, les médias, les films, les artistes, les chanteurs ou musiciens lui rabâchent depuis des décennies, alors il en est convaincu. Il est persuadé que ce sont ses idées à lui. Il ne réalise pas qu’il a été programmé.
Il se croit libre, rebelle, indépendant, lucide, bien informé…
En vérité, c’est un petit soldat du Nouvel Ordre Mondial qui se croit en lutte contre le Nouvel Ordre Mondial, parce que pendant qu’il défend le mondialisme dans sa vie quotidienne, aux cris de « fasciste », « raciste », « extrême droite », « islamophobe », il va poster des injures et des râleries contre les élites mondialistes, Schwab, von der Leyen, Macron et consort.
George Brassens, ce gauchiste extrême, en plus d’avoir glorifié dans ses mornes chansons le cambrioleur qui avait pillé sa maison en laissant sa guitare (« Monte-en-l’air, mon ami »), exprimait ses opinions mondialistes dans « La ballade des gens qui sont nés quelque part » (Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part).
Ce que Brassens appelle « imbécilité », c’est le patriotisme, défini dans le dictionnaire comme l’amour de sa patrie, de son pays.
Pour le gauchiste, le patriotisme, c’est de l’extrême droite, c’est facho, et le gauchiste hait l’extrême droite.
Conclusion, il déteste ceux qui aiment leur pays.
Le gauchiste a une haine cachée de la France traditionnelle, avec ses églises, ses clochers, sa culture ancestrale, ses coutumes. Il se réjouit en secret quand des églises sont brûlées ou vandalisées.
Par contre, ça ne le dérange pas qu’elles soient remplacées par des mosquées. D’autant plus qu’il défend le port du voile.
La gauchiste féministe ne voit aucune objection à ce que les femmes soient traitées comme du bétail sexuel possédé par les hommes. Ce serait de l’islamophobie.
Quelqu’un qui accueille l’effacement ou la destruction de la culture, la disparition des traditions ancestrales de son pays, est quelqu’un QUI N’AIME PAS SON PAYS.
On ne peut pas prétendre aimer quelque chose ou quelqu’un si l’on s’obstine à faire en sorte que ce quelque chose ou ce quelqu’un CHANGE, DISPARAISSE.
Les gauchiste, puisqu’ils n’aiment pas la France ni les vrais Français, les Français de souche, comme les démocrates n’aiment pas l’Amérique et les Américains, devraient en partir et se trouver un pays qu’ils aiment TEL QU’IL EST.
Celui qui n’aime pas sa terre natale TELLE QU’ELLE EST finira par nourrir un mépris et/ou une haine cachée, refoulée, de cette terre et par voie de conséquence, de son peuple, mais comme une telle attitude n’est pas socialement acceptable, il le fera de façon détournée, sournoise, en prétendant qu’il aime bien les gens d’autres cultures, d’autres coutumes, d’autres religions, qu’il souhaiterait en voir plus, que c’est un enrichissement culturel.
C’est une attitude hypocrite qui n’aboutit qu’à la destruction du pays où il vit.
Autrefois « ville lumière », réputée pour son chic et sa beauté, Paris et ses banlieues se sont dégradées de façon phénoménale, ces dernières décennies. Certains quartiers de Paris ressemblent désormais à des quartiers pauvres de villes africaines. La saleté, les rats et les tags en prime.
L’agenda de destruction des nations, comme l’a écrit Philippe de Villiers dans un de ses ouvrages, fut annoncé à une réunion du Bilderberg par Zbigniew Brzeziński, face à un auditoire qui comptait des centaines de personnalités politiques, grands patrons et journalistes : « S’il vous plaît, aidez-moi à détruire les nations. »
Phlippe de Villiers balance Soros sur Sud Radio
En une inversion accusatoire typique des gens de mauvaise foi, les gauchistes accusent les patriotes de haine et de racisme.
Il est donc temps de remettre l’église au centre du village…
Les « gauchistes » ne sont pas de vrais gauchistes, ce sont des mondialistes et, tandis qu’ils prétendent lutter contre la tyrannie mondialiste, ils sont le meilleur soutien du milliardaire George Soros et son agenda de destruction des nations et des cultures.
Une définition qui n’est pas sans rappeler ce cri du cœur qu’un patriote avait posté sur Facebook…
Soros n’est PAS un philanthrope. Par le biais de ses ONG, il gère la section d’assaut social anti-blancs qui a fomenté les manifestations BLM, avec la complicité des démocrates libéraux américains qui s’agenouillaient devant des noirs ou embrassaient leurs chaussures dans la rue (voir Pandémie ratée… plan B, guerre civile et plus si affinités).
Aujourd’hui, Soros est derrière le déchaînement de vandalisme contre les voitures Tesla, en une guerre vicieuse contre Elon Musk et le DOGE. Et tant pis pour les propriétaires des véhicules qui n’y sont pour rien.
Que font Elon Musk et le DOGE, sous la direction de Trump ?
Ils sont en train de reprendre les centaines de milliards volés au peuple par les élites mondialistes pour les redistribuer au peuple.
Pourtant, tous ceux qui se font prendre ou filmer en train de détruire les voitures Tesla de Musk, des actes de haine, sont des démocrates libéraux, des gauchistes.
Royaume-Uni, le cauchemar mondialiste
L’islamisation des pays, portée par le tsunami migratoire, sert un objectif multiple.
L’islam, si prude quant à la vertu des femmes qu’il oblige à porter le voile dès leurs premières règles, est très tolérant sur l’écart d’âge dans les mariages. Témoins, ces vidéos où une pauvre gosse à peine pubère est mariée de force à un vieux barbon de 50 à 60 ans. Dans l’une de ces vidéos que j’ai vue il y a trois jours, l’enfant de 9 ans était traînée de force, hurlant et pleurant, pour signer un contrat de mariage avec la bénédiction des familles. Et une fois voilée, qui peut dire quel âge a la violée, pardon, mariée ?
D’autre part, l’islamisation permet d’éradiquer la civilisation blanche chrétienne, avec sa morale trop puritaine concernant les mœurs sexuels et les péchés de la chair. Une entrave à la sexualisation des enfants et la légalisation de la pédophilie souhaitée par les élites.
Ce qui s’est passé récemment en Angleterre en est un exemple frappant : la police anglaise arrêtait ceux qui protestaient sur les réseaux sociaux contre les crimes d’enfants blancs violés ou tués par les gangs de trafic sexuel pakistanais qui pullulent dans le pays.
Une situation qui rappelle le gang satanique MS-13, spécialiste du trafic de drogue et trafic sexuel d’enfants, lequel a envahi les États-Unis sous la présidence de Biden, pédophile notoire, avant que Trump ne commence les déportations.
Tandis que les démocrates (gauchistes américains) les cachent pour qu’ils échappent à la police, manifestent pour prendre leur défense, utilisent les juges corrompus placés par Soros pour entraver les procédures de déportation.
Les hommes d’origine pakistanaise ont quatre fois plus de chances d’être signalés à la police pour des crimes d’abus sexuel sur les enfants que la population générale d’Angleterre ou du pays de Galles, c’est ce que les données des statistiques de la police nationale ont suggéré la semaine dernière.
Les coupables dans les scandales d’abus sexuels les plus horribles de l’histoire britannique, à Rochdale, Rotherdam et Telford, furent dans une écrasante majorité d’origine pakistanaise.
La majorité des Anglo-Pakistanais sont originaires du Mirpur, une ville du nord du Pakistan. Mais tandis que Mirpur fait partie du Kashmir, ses habitants partagent majoritairement leurs coutumes, langage et culture avec les Punjabis, un groupe ethnique en majorité pakistanais.
Certaines attitudes prévalent au Pakistan. Il y a un mélange sanglant dans ce pays de suprémacisme islamique, de tribalisme primitif et de violence misogyne qui incite certains hommes à s’en prendre aux filles. Que beaucoup de ces filles soient mineures importe peu à ces hommes puisqu’à la fois leurs croyances religieuses et leurs coutumes considèrent toute personne de sexe féminin ayant atteint la puberté comme étant une femme faite. Ceci s’est traduit par une culture du viol qui, dans les dernières décennies, a vu les jeunes Anglaises être violées sans pitié. Les agressions sexuelles par les hommes pakistanais ont aussi été rapportées ailleurs, notamment en Turquie.
La culture sexiste du Pakistan est construite sur des notions dénaturées « d’honneur » et de « moralité », où les femmes sont considérées comme la propriété des hommes, et doivent être sous la supervision ou la surveillance des hommes.
Traditionnellement, les femmes « honorables » restent isolées et limitent leur visibilité en public. Toute transgression de ces codes par les femmes est jugée immorale, et aboutit souvent à de la violence. Les codes de modestie islamiques, qui exigent que les femmes se voilent de façon à ne plus être harcelées, renforcent l’idée que « l’honneur » de la femme est lié à son manque de visibilité. Les traditions islamiques d’esclavage sexuel encouragent aussi la stratégie d’abus du séducteur.
Dans de nombreux cas, les gangs d’abus sexuel pakistanais du Royaume-Uni ciblaient des filles caucasiennes non-musulmanes, parce qu’elles sont inférieures sur l’échelle de « l’honneur ». Un phénomène exacerbé par le « fantasme de la femme blanche » qui prévaut au Pakistan. Les femmes européennes sont souvent fétichisées dans la culture populaire du Pakistan, et souvent dépeintes comme concupiscentes de désir pour les hommes. Beaucoup de romans, film et séries TV montrent la culture occidentale comme étant « libre » et les femmes occidentales « faciles ». De façon similaire, les gangs d’abus sexuel pakistanais ont jugé les filles anglaises comme étant des « proies faciles » et du « gibier autorisé ».
Au Pakistan, la culture du viol et le fait de minimiser les abus sexuels n’est pas le fait des zones rurales ou tribales. L’ancien dictateur militaire Pervez Musharraf a accusé les femmes « d’utiliser le prétexte du viol pour faire de l’argent », tandis qu’Imran Khan, alors Premier ministre, a blâmé la façon dont les femmes s’habillaient et leur choix de style de vie pour l’augmentation des cas de viol dans le pays. Kahn continue de jouir d’une énorme popularité parmi les Pakistanais émigrés, notamment au Royaume-Uni. Son style de vie de playboy alors qu’il était joueur de cricket – et plus tard sa carrière politique en tant que musulman reconverti – est souvent considérée par les jeunes Pakistanais comme un modèle de vie idéal.
Au Royaume-Uni, évidemment, un tollé de protestations perdure du fait que d’horribles abus sexuels ont continué d’être commis sur des enfants pendant des décennies, en partie à cause du politiquement correct et par peur de provoquer des tensions sociales. Ce n’est qu’aujourd’hui que les gangs d’abus sexuels pakistanais sont décrits exactement pour ce qu’ils sont.
Tandis que l’échec des autorités anglaises à protéger les jeunes filles anglaises des abus sexuels des gangs est lamentable, quelque chose est généralement ignoré afin d’empêcher ces crimes dans le futur. Il faut que la communauté pakistanaise réagisse davantage contre ces crimes. Tandis que beaucoup de Pakistanais progressistes et libéraux condamnent la violence sexiste dans les foyers, lorsque ces crimes ont lieu en Angleterre, ils se joignent majoritairement aux membres conservateurs de leur communauté en une conspiration du silence. Soi-disant parce qu’ils ont peur du racisme et de « l’islamophobie ». Pour beaucoup de ces progressistes au Pakistan, entretenir le mythe de l’égalité culturelle est plus important que de rendre justice aux victimes et d’empêcher ces actes monstrueux. Il serait préférable, et de loin, de se prononcer contre ces crimes, au lieu de chercher à reporter le blâme sur d’autres.
Source et auteur : Kunwar Khuldune Shahid, correspondant basé au Pakistan pour le magazine The Diplomat
Si l’auteur de cet article avait été basé en Angleterre, il aurait été arrêté et condamné à une lourde amende assortie d’une peine de prison, car l’Angleterre d’aujourd’hui est devenue une dictature islamique où tandis que de vastes rassemblements de prière musulmane bloquent le trafic dans les rues des villes, sous le regard bienveillant de la police, au son d’appel à la prière des muézines, les prêcheurs chrétiens sont arrêtés et embarqués par cette même police qui trahit son pays, son serment et le peuple qu’elle a juré de protéger.
Le peuple anglais et l’Angleterre sont en train d’être massivement écrasés sous une dictature islamique, probablement à titre d’exemple, je ne vois pas d’autre explication.
Cela faisait des années que je me demandais pourquoi on avait autorisé l’Angleterre à faire un Brexit, au beau milieu d’une Europe sous emprise mondialiste. J’ai eu ma réponse.
White lives m’atterrent
29 juillet 2023 : Le parti noir sud africain chante « Tuez les boers, tuez les fermiers blancs »
Autre reflet de cette guerre de civilisations : les tueries de fermiers blancs en Afrique du Sud, souvent assorties de viols et de tortures, raison pour laquelle Trump vient de rapatrier ces familles de fermiers aux États-Unis, ce qui fait hurler les gauchistes : « Comment ose-t-il accueillir ces Sud Africains blancs alors qu’il déporte les migrants d’Amérique du sud ? C’est du racisme ! »
Réponse : ces familles déjà bien intégrées à la culture anglo-saxonne ont débarqué le visage rayonnant de gratitude en agitant des drapeaux américains, alors que les migrants sud-américains sont majoritairement des criminels, trafiquants de drogues, membres de gang violents comme le MS-13. On les voit mal brandir des drapeaux américains, pas plus que les démocrates dont certains se sont même filmés en train de brûler ledit drapeau.
D’autre part, sachant la dizaine de millions d’illégaux que les démocrates ont fait rentrer aux États-Unis pour faire pencher la balance électorale de leur côté, ces quelques dizaines d’Africains du Sud conservateurs, électeurs républicains potentiels, ne rétablissent certainement pas l’équilibre de la fraude électorale démocrate.
Je pense que c’est aussi, de la part de Trump, un renvoi d’ascenseur à Elon Musk, en échange des sacrifices qu’il a consentis et des épreuves qu’il a endurées dans son travail pour le DOGE : actes de vandalisme contre les voitures Tesla (poussés par Soros qui va d’ailleurs faire l’objet de poursuites à ce sujet), chute dramatique de ses actions et de sa compagnie Tesla, avec une perte de 132 milliards.
On pourrait demander à ces gauchistes : « Si des parents ou des amis à vous vivaient dans un pays où ils risquent d’être victimes de viols, tortures et meurtres, utiliseriez-vous les moyens légaux à votre disposition pour les faire venir dans votre pays ou bien diriez-vous que c’est du favoritisme, qu’il n’en est pas question ? Et vous vous occuperiez plutôt de sauver de parfaits inconnus à l’autre bout de la planète ?
Rappelez-vous le message de ce patriote, plus haut :
« Le gauchiste ? C’est celui qui préfère défendre la planète plutôt que son pays, qui préfère aider l’inconnu qui vient de loin plutôt que son frère dans le besoin… »
Sur X, les gauchistes soi-disant démocrates ont posté des tweets rageurs :
« La cour de justice, le gouvernement, les médias sud africains on déclaré que ce n’était pas vrai, qu’il n’y avait pas de génocide des fermiers blancs… Trump est un menteur et un raciste ! Pourquoi il importe des blancs et déporte les autres qui sont pas blancs, hein ? »
On peut supposer qu’Elon Musk, originaire d’Afrique du Sud, est bien renseigné sur ce qui s’y passe, entre ses nombreux contacts et ses plus de 2000 satellites Starlink.
Maintenant, je ne cesse de voir sur ce même réseau X nombre d’agressions violentes commises par des migrants sur des blancs, surtout des personnes âgées, des femmes ou des enfants. Étrangement, je n’ai pas vu de blancs agressant gratuitement des migrants ou des noirs, ni sur X ni sur Facebook.
Pourquoi cette vague de crimes racistes anti-blancs ?
Serait-ce la « lutte des classes » remaniée à la sauce mondialiste ?
Le descendant de peuples colonisés ou réduits en esclavage, victime séculaire des suprémacistes blancs occidentaux, qui prend prétexte d’une revanche, sachant qu’il n’y a pas loin de la revanche à la vengeance, puis de la vengeance à la haine, comme on le voit dans la vidéo « Tuez les boers ! Tuez les fermiers blancs ! »
Mais c’est une revanche injustifiée, car décalée dans le temps. Ce n’est pas la génération actuelle qui a été colonisée. Et ce n’est pas non plus la génération actuelle qui a colonisé.
Quand au descendant d’esclaves qui veut venger ses ancêtres, il pourrait commencer par s’en prendre aux Africains ou aux Arabes qui ont été les premiers à pratiquer l’esclavage sur des noirs, et ce depuis le XIe siècle.
Tout ça pour dire que ces arguments sont juste un prétexte pour voler ou se comporter en parasite vis-à-vis de gens qui sont une mauvaise cible.
Il a été demandé à Julius Malema, le leader du parti EFF qui appelle à l’extermination des blancs en Afrique du Sud, de promettre sous serment devant un tribunal qu’il n’inciterait plus jamais à l’extermination des blancs. Il a répondu qu’il ne pouvait faire aucune promesse.
Nombre de gauchistes qui s’insurgeaient contre l’accueil des fermiers blancs par Trump ont dit qu’après tout, ce qui se passait en Afrique du Sud n’était que justice, les noirs reprenaient la terre que ces blancs leur avaient volée.
Ils n’ont pas dit si les viols, tortures et meurtres, c’était en paiement des intérêts.
Menu des oppositions : anti-France, pro-Europe ou minoritaire
Pour comprendre la droite, il faut mettre fin au mythe cher aux moutons de France et de Navarre : il n’existe pas d’extrême droite en France, seulement des partis conservateurs, attachés aux valeurs traditionnelles comme le patriotisme, la famille, l’éducation des enfants selon des critères moraux classiques, éventuellement la religion chrétienne, pas toujours.
Qualifier des partis comme le RN, Reconquête ou Les Patriotes d’extrême droite est une manipulation de langage.
Le plus absurde, c’est que même les chefs de ces partis désignés par cette étiquette mensongère, « extrême droite », l’acceptent !
Ils ne savent pas ce qu’ils sont ?
C’est de la naïveté, de la passivité ou ils récitent une feuille de route écrite par d’autres ?
Ces gens et ces partis ne sont ni fascistes, ni d’extrême droite. Ils sont plus ou moins anti-mondialistes, c’est-à-dire contre la destruction de leur pays par la manipulation migratoire de Soros et ses ONG criminelles.
Et Le Pen s’est plutôt ramollie, sur la question de l’immigration et le port du voile.
Par contre, Le Pen, Bardella et Maréchal sont pro-OTAN et alignés avec les mondialistes pour l’Ukraine, contre la Russie, et pour l’Europe de Von Der Leyen.
Or, un européiste EST un mondialiste.
Ce qui fait du RN et Reconquête de l’opposition contrôlée pour la politique extérieure, tandis que la gauche est de l’opposition contrôlée pour la politique intérieure et extérieure.
Cela dit, l’inculpation de Marine Le Pen est survenue juste après que Macron se soit plaint qu’elle l’avait trahi. On ne sait pas trop sur quoi, mais ça laisse supposer qu’il y a un écart entre les positions qu’elle affiche et ses stratégies cachées.
Serait-ce aussi un stratégie d’infiltration que Bardella soit franc-maçon et fricote avec Gabriel Attal ?
On se souvient de la photo où Jordan Bardella et Gabriel Attal échangent ce qui ressemble fort à une poignée de main maçonnique.
Bardella et Attal : poignée de main bizarre, complicité encore plus bizarre
Et le fait qu’aucun de ces soi-disant opposants n’ait voté la destitution de Macron les rend plus que suspects.
Ce qui nous laisse, comme oppositions souverainistes pas trop compromises : Philippot, Dupont-Aignan ou Asselineau.
Ah, bah, ça tombe mal, parce qu’ils sont très minoritaires et ne réunissent pas assez de voix électorales.
Mais n’y a pas plus d’extrême droite ou de fascisme chez Le Pen, Bardella, Maréchal ou Zemmour, qu’il n’y a de communisme chez Mélenchon.
Les joueurs, invisibles, sont au-dessus du plateau
Avec le peu d’influence dont nous disposons, on peut dire que nous, le peuple, sommes des pions sur l’échiquier.
Dotés d’une mobilité supérieure aux pions, on pourrait comparer les politiques à des pièces (roi, reine, fou, cheval, tour).
Mélenchon est franc-maçon. Difficile de faire plus élitiste et plus anti-démocratique que d’être adepte d’un enseignement occulte, sous influence de grands maîtres, dans le secret des loges, selon des agendas secrets dont la population dirigée par ces réseaux d’influence ignore tout.
Ces réseaux d’influence s’accordent avec le lobbying qui prévaut dans les sphères politiques. Ce n’est pas un hasard si l’échiquier noir et blanc est un symbole majeur de la franc-maçonnerie ; un concept qui implique des joueurs, des pièces et des pions.
Frère Mélenchon prétend être communiste, mais dans son sens d’origine, le communisme promettait d’être une organisation sociale démocratique sans classe et sans État où les biens matériels seraient équitablement répartis.
Cependant, la démocratie ou la république sont incompatibles avec le secret maçonnique.
Regardez ce qui s’est passé avec le covid en France : classé secret défense. L’incendie de Notre-Dame, classé secret défense.
Le secret est le premier degré du mensonge : mensonge par omission.
Avez-vous vu les revenus de camarade Mélenchon, publiés dans le Canard Enchaîné ?
Un compte rendu qui ne parle que de sa richesse connue, pas de comptes off-shore ni d’avantages en nature non déclarés, si fréquents dans les milieux politiques.
Mélenchon a dit qu’il n’était plus franc-maçon, qu’il avait arrêté…
Regardez la vidéo, à la fin de cet article, où frère Mélenchon rencontre frère Macron sur le port de Marseille, par « hasard », et observez son attitude obséquieuse, dégoulinante d’une vénération surréaliste, pour grand maître Emmanuel. Portez attention au langage codé concernant l’histoire de la « carte postale ». Regardez aussi la photo, dans cet article, où Mélenchon et Macron rigolent en se tapant sur les cuisses.
Karl Marx, père du communisme, est suspecté d’être franc-maçon parce que son gendre Charles Longuet a été initié à la franc-maçonnerie et qu’il connaissait l’idéologie franc-maçonne. L’encyclopédie Sorospedia affirme que la franc-maçonnerie n’a pas orchestré la Révolution française, que c’est une théorie de la conspiration (voir « La majorité des contributeurs sont de gauche » _ comment Wikipédia a cessé d’être neutre).
Combien de « théories de la conspiration » sont devenues « théorie de la constatation » ? Plandémie, chemtrails, pédophilie des élites… à commencer par l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy qui fut à l’origine de l’invention par la CIA du terme « théoricien de la conspiration » (voir D’où vient le mot « complotiste » ?)
Voici ce que l’IA du moteur de recherche du navigateur Brave dit sur la Révolution française fomentée par des francs-maçons :
La franc-maçonnerie a joué un rôle important pendant la Révolution française, bien que son influence exacte reste largement débattue parmi les historiens. Certains ont vu la franc-maçonnerie comme l’initiatrice secrète de la Révolution française, une théorie largement fantasmée. Sous le Directoire, la franc-maçonnerie a connu un renouveau et beaucoup de frères ont vu ce régime comme une tentative de république modérée gouvernée par la Raison.
Des théories du complot ont été émises selon lesquelles la franc-maçonnerie aurait préparé la Révolution française de manière méthodique. Ces théories ont été principalement propagées par deux auteurs : le jésuite français Augustin Barruel et l’érudit écossais John Robison. Barruel soutenait que les Illuminés de Bavière, une organisation assimilée à la franc-maçonnerie, avaient infiltré la franc-maçonnerie pour renverser les pouvoirs en place.
Au début du XXe siècle, l’historien français Augustin Cochin a désigné la franc-maçonnerie comme l’une des sociétés de pensée qui a préparé la Révolution, bien que d’un point de vue sociologique. En 1926, l’historien maçon Gaston Martin a publié un ouvrage où il nie une direction maçonnique à la révolution mais accepte l’idée d’une influence importante de la franc-maçonnerie dans la diffusion des idées révolutionnaires.
Augustin Barruel : Auteur des « Mémoires pour servir à l’histoire du Jacobinisme », il soutient une théorie du complotselon laquelle la franc-maçonnerie aurait préparé la Révolution française.
John Robison : Érudit écossais, auteur de « Les Preuves d’une conspiration contre l’ensemble des religions et des gouvernements d’Europe », il accuse les francs-maçons de complot révolutionnaire.
Augustin Cochin : Historien français qui, d’un point de vue sociologique, désigne la franc-maçonnerie comme l’une des sociétés de pensée qui a préparé la Révolution.
Gaston Martin : Historien maçon qui publie « La Franc-maçonnerie française et la Préparation de la Révolution », où il nie une direction maçonnique à la révolution mais accepte l’idée d’une influence importante dans la diffusion des idées révolutionnaires.
Il est important de noter que ces théories du complot sont largement remises en question par les historiens modernes, qui soulignent la nécessité de faire preuve de méfiance devant l’idée de l’influence exercée par les francs-maçons dans la dynamique révolutionnaire.
Cette IA admet qu’il y a eu « influence »… Combien d’étincelles faut-il pour mettre le feu aux poudres d’une révolte ?
L’aspect club philosophique gentillet que revendique le menu fretin des adeptes de degré inférieur change radicalement, lorsqu’on s’élève vers les plus hauts degrés d’initiation. Faites des recherches, les vidéos et les livres ne manquent pas sur le sujet.
Le fait que Karl Marx, père du communisme, était franc-maçon est expliqué en détail dans ces films du dissident Juri Lina réalisés à partir d’archives du KGB :
L’extrême droite est une manipulation de langage. La gauche est une manipulation de langage. Tout comme le racisme et l’islamophobie ressassés par les mondialistes.
Ces concepts visent à museler toute résistance à la submersion migratoire dont l’objectif est la destruction des nations, en vue d’instaurer un Nouvel Ordre Mondial qui lui, par contre, est franchement nazi.
On n’est pas islamophobe parce qu’on rejette une culture qui envahit et détruit la sienne, pas plus qu’on est christianophobe parce qu’on s’insurge contre l’Inquisition ou l’extermination des cathares, la pédophilie du pape François et de certains prêtres.
Les Français n’ont pas eu de problème avec les Portugais, n’ont pas eu de problème avec les Espagnols, n’ont pas de problème avec les Asiatiques, n’ont pas de problème avec les Indiens, pas plus qu’ils n’ont de problème avec les protestants ou les bouddhistes, même pas les Témoins de Jéhovah, dont le prosélytisme est pourtant assez lourd.
Ah, oui, mais c’est pas pareil, il y en a beaucoup moins.
On est d’accord. Ça ! c’est un problème.
Les gens qui prennent le soleil ou se baignent en bord de plage n’ont pas de problème avec l’eau salée, même si de temps à autre, il leur arrive de crier parce qu’ils sont éclaboussés ou qu’ils font la grimace quand ils boivent la tasse.
Mais ils ont un gros problème face à un tsunami.
Échange équitable versus criminalité
Si vous revoyez les documentaires de Juri Lina cités plus haut, vous y verrez Karl Marx décrit comme un journaliste aigri, qui nourrissait de la rancœur car il s’estimait sous-payé.
De tout temps, du troc préhistorique en passant par l’argent jusqu’aux cryptomonnaies, les activités humaines ont été basées sur l’ÉCHANGE.
L’échange, pour qu’il soit équitable, nécessite un ACCORD entre les partis sur des valeurs (marchandises, travail, argent). Chacun y trouve son compte.
Si les valeurs sont trop déséquilibrées, du point de vue de l’un ou de l’autre, c’est malhonnête. On ne serait pas malhonnête si l’on ne cherchait pas à tirer avantage pour soi-même ou son groupe aux dépens d’une autre personne ou d’un autre groupe. C’est cela, la malhonnêteté. C’est chercher un avantage illégitime et c’est illégitime, parce que cela porte atteinte à la survie de quelqu’un de façon excessive.
Si une racaille vous arrache votre téléphone dans la rue, sans vous donner quoi que ce soit en échange, c’est criminel.
Si un gouvernement vous fait payer des taxes comme effort de guerre pour soutenir la lutte contre le nazisme (Taxes to bury the Axis, ‘L’impôt pour enterrer les forces de l’Axe », voir OUT OF SHADOWS – Tiré des Ténèbres), mais que 80 ans plus tard, vous payiez toujours cet impôt, augmenté de 200 %, c’est une fraude et, en tant que tel, criminel.
Raison pour laquelle Trump veut remplacer les impôts par les tarifs douaniers. Ce qui fait protester les gauchistes démocrates, soi-disant « communistes ».
Si le peuple n’est plus d’accord de payer l’impôt d’un effort de guerre en temps de paix, ce n’est plus de l’échange, mais de l’extorsion.
Démocratie et république, du pareil au même
Un gouvernement qui pratique l’extorsion sur ses citoyens n’est pas une « démocratie », gouvernement du peuple par le peuple.
Et ce n’est pas non plus une « république », du latin res publica, « chose publique », du latin publicus, relatif au peuple donc synonyme de démocratie.
Les mots républicains et démocrates veulent dire la même chose. Alors pourquoi, aux États-Unis, sont-ils traduits par « conservateurs » et « gauchistes » ? Encore une manipulation du langage.
Une démocratie, ce n’est pas juste un pays où le gouvernement s’abstient d’arrêter, emprisonner, torturer ou tuer des opposants au régime…
Mais même selon cette définition, la Macronie a démontré qu’elle était une dictature lors des manifestations de Gilets Jaunes.
Briser des os à coups de matraques, crever les yeux ou arracher des mains avec des LBD tirés à bout portant, c’est de la torture qui ne dit pas son nom.
Cet ami du peuple qui lui veut du mal
Une bonne moitié des Gilets Jaunes est gauchiste. L’autre moitié a voté RN. Ce qui fait que la « résistance » d’aujourd’hui a un sérieux problème d’oppositions contrôlées.
Dernièrement, j’ai failli poster une vidéo ; je me suis ravisé quand j’ai entendu une des intervenantes y aller de son couplet mondialiste : « Et puis, s’il vous plaît, ne faites pas le jeu de la division… soyez unis, ce n’est pas parce que quelqu’un porte le voile ou prie différemment de vous… »
Elle n’est pas au courant de la catastrophe qui se produit en Angleterre ?
Rejeter l’islamogauchisme mondialiste, ce n’est pas de la division, c’est de la survie élémentaire.
Refuser qu’on accorde les avantages durement acquis par les Français à des étrangers qui n’ont rien fait pour les produire, ce n’est pas de la division, c’est de l’échange équitable.
Dire que c’est une revanche pour la colonisation effectuée par les anciens gouvernements français est une attitude hostile, et la preuve que les gauchiste sont dans une situation de trahison vis-à-vis de leurs compatriotes et leur pays.
Un ennemi est franchement hostile envers une personne ou un groupe.
Un traître prétend être l’ami d’une personne ou d’un groupe, tout en travaillant pour des concurrents ou des adversaires de cette personne ou ce groupe.
C’est exactement ce que sont les gauchistes, des traîtres qui s’affichent comme « amis » du peuple, tout en œuvrant contre le peuple, dans l’intérêt de la dictature mondialiste.
Dans une partie d’échecs, ils seraient des pions noirs peints en blanc qui jouent contre les pions blancs.
Grands maîtres, champions du monde et échec et mat
Certains pensent qu’il n’y a pas de sauveurs, que seul les pions le peuple va pouvoir se sauver lui-même.
Ces gens ne sont pas croyants, ils sont matérialistes et souvent de gauche et, pour cette raison, le concept typiquement chrétien de sauveur ou d’être sauvé leur est antipathique.
En revanche, un majorité de patriotes sont chrétiens, tout comme Trump et Vladimir Poutine.
Le président du Salvador, Nayib Bukele, est né d’un père d’origine palestinienne converti à l’islam et d’une mère chrétienne. Ses opinions religieuses sont l’objet de nombreuses spéculations. Bien que des photos l’aient montré priant dans une mosquée, Bukele a déclaré qu’il n’appartient à aucune religion mais qu’il croit en Jésus-Christ.
Interrogé par Tucker Carlson, Nayib Bukele a déclaré que lui et ses ministres, confrontés au problème insoluble des gangs criminels qui détruisaient son pays, n’a finalement trouvé, comme solution pour se débarrasser d’eux, que de prier avec tous ses ministres. Et que ça a marché.
Si bien qu’au-delà de l’échiquier en trois dimensions, il y a une quatrième dimension, spirituelle.
De ce point de vue, la gauche matérialiste de Marx et Hegels (d’où le « Naaaah ! y a pas de sauveur, seulement nous, les pions…), sous prétexte de laïcité, joue encore dans le camp adverse.
La haine des gauchistes matérialistes pour les racines chrétiennes de notre civilisation sert l’agenda des pédosatanistes.
Les francs-maçons ne croient pas non plus en Dieu, ils croient au Grand Architecte de l’univers. Faute d’une appellation plus précise, ça pourrait aussi bien être Lucifer.
D’anciens francs-maçons le disent. La franc-maçonnerie au 33e degré est souvent associée à des idées lucifériennes par certains auteurs. Serge Abad-Gallardo, ancien franc-maçon, affirme dans son livre « Je servais Lucifer sans le savoir » que la franc-maçonnerie parle d’une « Lumière » qui est en réalité un savoir ésotérique, hermétique et occulte, et qu’elle est symbolisée par le « G » souvent inscrit sur les sigles maçonniques.
Albert Pike, qui a été le « Grand Pontife de la Franc-Maçonnerie Universelle », a déclaré que la religion maçonnique devrait être maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne, ce qui suggère une connexion entre la franc-maçonnerie et Lucifer.
Mais revenons sur terre…
Certains patriotes ont dit que Trump jouait aux échecs en trois dimensions quand ses adversaires jouaient aux dames. Et la réputation des Russes aux échecs n’est plus à démontrer.
À l’heure actuelle, nos deux champions du monde des échecs en trois dimensions sont en train d’infliger aux grands maîtres francs-maçons/illuminatis (chapeaux noirs et noirs chapeaux) échec sur échec sur échec.
Au train où va la partie, certains disent que le Deep State n’est plus très loin de l’échec et mat.
Trump massacre les finances des mondialistes à coups d’ordres exécutifs, tandis que Poutine désarme leur machine de guerre, l’OTAN, qui n’a plus aucune réserve de matériel ni de munitions, mais il enlève aussi les capacités guerrières de ce qui devait devenir le futur bastion nazi de l’OTAN, l’Ukraine.
L’agenda de Bill Gates est en cours de démantèlement et on parle déjà de poursuites judiciaires à son encontre, notamment aux Pays-Bas, où il a refusé de se présenter devant le tribunal de Leeuwarden, en septembre 2024.
En attendant, Soros se dépêche de mettre les bouchées doubles sur son agenda migratoire, dans l’espoir d’achever la civilisation occidentale, avant de se retrouver arrêté pour crimes contre l’humanité.
Trump en fait partie, puisqu’en 2024, Soros fut impliqué dans une affaire où le procureur Alvin Bragg avait été financé de manière secrète pour poursuivre Donald Trump.
Ursula Von der Leyen, l’autre nazie toujours en poste, est de plus en plus attaquée.
Les représentants officiels européens sont convaincus de la « toxicité » de la présidente de la Commission Européenne, Ursula von der Leyen, et ils envisagent sa démission. Ceci fut rapporté le 26 avril 2025 dans le magazine suisse Die Weltwoche.
Peu de temps après l’annonce de la mort du pape pédophile François, le Forum Économique Mondial annonçait que Klaus Schwab se retirait.
Les pièces noires sont éliminées une à une de l’échiquier ou vacillent sur leur case.
Certains se disent : « Oui, mais qu’est-ce que c’est long, je n’en peux plus d’attendre la fin de cette partie interminable… »
Avez-vous déjà assisté à ces tournois d’échecs qui commencent rapidement, avec les adversaires qui jouent coup sur coup à une vitesse stupéfiante ?
Peu à peu, le rythme ralentit et, pour finir, les joueurs n’en finissent plus de réfléchir dans un silence pesant qui s’éternise.
Quelles sont les chances pour qu’un joueur nerveux, pressé, impatient mette son adversaire échec et mat ?
À quoi l’impatient pourrait répondre : « Sauf que là, ça fait vraiment trop longtemps que ça dure ! On en est à presque 6 ans, depuis le coup d’envoi du plandémie en novembre 2019 !
— Bien sûr, mais vous avez vu la taille de l’échiquier ? Vous avez compté le nombre de pions et de pièces qu’il faut déplacer ? Et vous croyez quoi, qu’il n’y a que deux joueurs dans cette partie ? La guerre contre les Anglais dura de 1337 à 1453, plus de Cent ans ! alors qu’elle ne mettait en scène que deux pays, moins de cent mille soldats, quelques rois et deux poignées de vassaux. Estimez-vous heureux que cette Troisième Guerre mondiale évolue aussi vite. »
One reply on “Des joueurs, des pièces et des pions”
Superbe article plein de bon sens et très factuel !
Bravo Clark Kent
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