Dauche contre groite : la vérité si je mens

Comme le terme « complotiste », le mot « extrême droite » est un attrape-couillons.

Ceux qui pensent que Marine Le Pen, Zemmour ou Philippot sont d’extrême-droite confondent la droite et la gauche.

Ce n’est pas parce qu’un candidat se prétend de gauche, qu’il va mener une politique de gauche.

Ce n’est pas parce qu’un politicien se prétend de droite, qu’il va mener une politique de droite.

Pareillement, ce n’est pas parce que tout le monde dit qu’untel est de droite ou d’extrême droite qu’il va suivre une politique de droite.

Pareil pour la gauche.

Trump, que des foules entières d’hypnomédiatisés ont qualifié « d’extrême droite », a mené une politique vraiment populaire, en faveur du peuple, donc de gauche.

N’importe quel candidat peut dire n’importe quoi ou afficher n’importe quelle étiquette bidon, annoncer un programme illusoire, puis faire tout autre chose.

C’est ce qu’a fait Macron : il s’est présenté comme candidat du centre (mort de rire), et il a mené la pire politique d’extrême droite qu’on ait jamais vue dans ce pays depuis le règne de Napoléon.

Par ailleurs, comme expliqué dans l’article Opération « Destruction de la France », ce gouvernement n’est pas incompétent ni animé par des objectifs financiers, il est motivé par de la malveillance. Des pulsions de haine.

Les gens qui utilisent le mot « extrême droite » ne savent pas ce que signifient la droite et la gauche. Ces termes sont définis dans l’article L’éternelle vigilance est le prix de la liberté.

Faire comprendre ces concepts socio-politiques et historiques aux électeurs, c’est mission impossible dans une société où la majorité ne sait presque plus lire (ils vous diront qu’ils n’ont pas le temps) ni écrire sans rédiger un commentaire bourré de fautes d’orthographe.

Cette confusion entre la droite et la gauche va faire que, comme les années précédentes, les électeurs « de gauche » vont favoriser l’élection d’un candidat fasciste, en croyant faire barrage à une candidate d’extrême droite qui est en fait une sorte de gauche (populiste) bâtarde vaguement nationaliste.

Quand Macron sera réélu, à chaque fois que vous verrez quelqu’un se plaindre de la quatrième, cinquième et sixième dose, du passe vaccinal, du re-confinement, de l’essence à 2,50 € le litre, de la pénurie, du RSA supprimé, de la retraite à 67 ans et de nouvelles lois liberticides votées la nuit par une poignée de députés corrompus, demandez-lui pour qui il a voté au second tour.

Mélenchon, fausse gauche, vient d’appeler ses électeurs à voter blanc au second tour : un soutien direct au dictateur mondialiste de la seule vraie extrême droite… comme en 2017.

Frère Mélenchon a été, de son propre aveu, franc-maçon de 1983 à 2018 minimum, date de l’article de Libération sur le sujet.

Quant aux « fact-checkers » qui nient l’appartenance de Macron à la franc-maçonnerie, j’aimerais qu’ils m’expliquent cette photo.

Et si ce signe de la pyramide ne leur évoque rien, ils peuvent combler leurs lacunes avec ce glossaire de symboles ésotériques :

SSORCELLERIE

Ces deux élites, Macron et Mélenchon, travaillent pour l’agenda de George Soros, l’archi-milliardaire nazi dont la mission est de détruire les nations afin de soumettre les peuples à la dictature mondialiste.

Ces élites ne sont ni de gauche ni du centre, des mots vides de sens…

Ils baffraient dans les mêmes restaurants chics privés tandis que vous n’aviez pas le droit de vous asseoir à une terrasse sans passe sanitaire.

Ils sont faussement « vaccinés » par des infirmières auxquelles on remet un flacon de sérum physiologique portant une étiquette prise sur un flacon toxique d’ARNm.

Ils se côtoient dans ces clubs échangistes qui sont restés accessibles pendant que les salles de spectacle, discothèques et cinémas étaient fermés (voir la déclaration provocatrice du député Jean Lassalle).

Comme disait George Carlin : « Oubliez les politiciens. Les politiciens sont là pour vous donner l’idée que vous avez la liberté de choix. Vous ne l’avez pas. Vous n’avez pas le choix… »

Quant à Marine Le Pen, elle n’est là que pour servir d’épouvantail, afin de rabattre les électeurs vers les seuls « choix » restants : abstention = vote blanc = Macron.

Et on peut compter sur tous ceux qui ont une cervelle d’oiseau : ils ne voteront pas pour l’épouvantail.

Détail intéressant, l’épouvantail utilise le même moyen de contrôle de la population que le covid, les masques et le « vaccin » : LA PEUR.

Enfin, pour ceux qui conserveraient le moindre doute sur la connivence entre Macron et Mélenchon, voici un reportage de M6 qui montre leur rencontre, en septembre 2018, sur le vieux port de Marseille.