Le mot shoah est un terme hébreu qu’on peut traduire par catastrophe.
Le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a affirmé qu’Israël était le « laboratoire du monde ».
Il n’a pas précisé laboratoire de quoi.
Le dictionnaire nous dit qu’un laboratoire est un local équipé et aménagé pour faire des expériences, des recherches et des préparations d’ordre scientifique ou technique.
Je suppose que les pesticides ou les rodenticides comme la mort aux rats sont aussi préparés et testés en laboratoire.
Quoi ?! Mais c’est horrible, ce que vous dites, on ne parle pas de nuisibles, là, mais d’êtres humains !
Ce n’est pas l’avis de tout le monde, jetez un œil à l’article Covid-19 : l’écoterrorisme.
J’ai été choqué de voir que des abonnés d’une chaîne YouTube pensaient que ce serait une bonne chose que l’homme disparaisse, pour sauver la planète ! Que ça serait bien fait pour lui…
Par ailleurs, il n’y a jamais eu que deux catégories pour diviser la race humaine : les humains et les inhumains.
Les « élites » ne considèrent pas qu’ils appartiennent à l’espèce humaine.
La non-appartenance est la bretelle de sortie qui conduit à l’absence d’empathie.
La plupart des gens n’ont pas d’état d’âme quand ils mangent une côtelette d’agneau ou marchent dans des chaussures en peau d’animal.
Pourtant, ils sont horrifiés par le cannibalisme ou l’idée que les médecins nazis fabriquaient des abat-jours en peau humaine ou du savon avec de la graisse humaine.
Les élites d’aujourd’hui, comme ces 3000 hyper-riches d’Europe qui organisent le génocide actuel, sont comme vous lorsque vous mangez l’une de ces volailles élevées dans des « camps de concentration » et abattues en masse ou ces porcs qui hurlent quand on les égorge et qui finissent en tranches dans votre assiette… sauf que maintenant, l’animal à abattre, c’est vous.
À une exception près : pour les élites, vous n’êtes pas comestible, mais nuisible. Quoique… Quand ils commencent à mettre des extraits de fœtus avortés dans l’alimentation et les vaccins, je m’inquiète.
Ceux qui ne mangent pas de porc, mais acceptent de se faire injecter ces abominations, devraient penser à revoir l’ordre de leurs priorités. Bref…
Vous détruisez les ressources non renouvelables de leur planète, aux élites, donc s’ils devaient vous ranger dans une catégorie d’êtres vivants, vous seriez plutôt des cafards ou des rats.
Ces gens ne ressentent aucune empathie pour ce que nous appelons respectueusement « le peuple » ou « l’humanité ».
À propos de rats, nous avons été beaucoup à nous interroger sur le fait que les « vaccins » n’estropiaient ou ne tuaient qu’un faible pourcentage de la population à la fois. Une mort discrète, au compte-goutte. Bon, d’accord, au bout de six mois, ça commence à faire tache.
Aussi, la stérilisation des femmes passe pratiquement inaperçue : règles hémorragiques, absences de règles, dérèglement anarchique, fausses-couches, prématurés, morts-nés ou bébés décédés peu de temps après l’accouchement, etc.
Tiens ! je n’entends toujours aucune protestation des féministes, tandis qu’on mutile les femmes dans ce qu’elles ont de plus intime, de plus sacré, donner la vie.
Pour les morts minoritaires, la réponse la plus éclairante a été cette infirmière en chef du centre médical universitaire de Ljubljana, qui a dénoncé les lots d’injection 1, 2 et 3 :
1 .placebo, sérum physiologique (effet placebo ou pas d’effet) ;
2. ARNm, spike protein (thrombose, AVC, embolie, troubles cardiovasculaires, inflammation, infarctus, etc.)
3. segment d’ARN avec un oncogène, lié à un adénovirus, du grec adén, glande, et non ADN (cancers rapides).
Pourquoi si peu de morts, comparativement à la population globale ?
Certes, sur certaines plateformes dédiées aux effets secondaires, on arrive à recenser quelques milliers d’effets indésirables graves ou décès en France (Ils ont testé pour vous le fakecin ! ou Le Grand Réveil… par la douleur), mais quand vous sortez dans la rue ou prenez les transports, vous ne les voyez pas.
Ces malheureux qui souffrent ou meurent dans leur coin passent pratiquement inaperçus.
Pourquoi ?
Prenez l’exemple des rats.

3 à 5 jours, c’est le délai nécessaire pour que les rats ne se rendent pas compte de la toxicité de la mort aux rats et continuent de manger l’appât contenant un anti-coagulant.
Si vous deviez tuer les humains, quel délai de retardement fixeriez-vous pour que, tandis que les premiers commencent à tomber malades, les autres ne fassent pas le lien et continuent de consommer le produit ?
Pour mieux endormir la méfiance, vous avez ce battage médiatique qui affirme que si les effets secondaires surviennent au-delà d’un délai très court, 2 à 3 semaines, c’est que la cause n’est pas le vaccin.
Ce sont les consignes données aux médecins qui ont signé des décharges de non-responsabilité et autres pactes diaboliques, non pas avec leurs sang, mais celui de leur patient… Hé ! Ho ! Primum non nocere*, ça commence par soi-même.
[* D’abord ne pas nuire]
Ce court délai arbitraire protège les laboratoires, les politiques et les médias, au détriment des victimes d’empoisonnement, puisque ce sont des traitements expérimentaux en phase de test et que les règles fixées sur de vrais vaccins éprouvés durant des années ne s’appliquent pas.
De plus, comme l’a dit le Professeur Henrion-Caude : autrefois, le principe de précaution pour un nouveau traitement, c’était trois ans !
Il y a des années, j’ai siégé à un procès de Cour d’Assises pour tentative d’empoisonnement.
L’empoisonnement est défini par l’art 221-5 du code pénal, comme « Le fait d’attenter à la vie d’autrui par l’emploi ou l’administration de substances de nature à entraîner la mort ». L’empoisonnement est un crime formel. Ainsi, il se constitue en attentat lui même, quel qu’en soit le résultat.
Vous comprenez, maintenant, pourquoi 98 % des médecins disent à leurs victimes patients : « Naaaaan ! Ça n’a rien à voir… Un mois ? Pfff ! Aucune chance… c’est dans votre tête, prenez un Doliprane… je vais vous envoyer chez un confrère psychiatre… »
La ☠déshumanisation☠, comme la dératisation, nécessite que les autres nuisibles ne fassent pas le lien entre le poison et ses effets à retardement.
Laurent Alexandre, le déshumaniste transhumaniste, expliquait aux étudiants de Polytechnique et Supelec que le monde était divisé en deux catégories : les dieux et les inutiles.
Quand ils tuent des inutiles, les dieux s’imaginent peut-être qu’ils bénéficient de circonstances atténuantes.
Macron disait plutôt qu’il y avait des gens qui avaient réussi et des gens qui n’étaient rien.
Dans un SMS à Véran, il nous traitait de « connards ».
Tuer des « gens qui ne sont rien » ou des « connards » – j’essaye de me mettre à la place des élites – est-ce vraiment si grave ?
2 réponses sur « Entreprise de déshumanisation »
Bonjour,
Attention! la vidéo ne fonctionne pas.
Merci pour ce texte qui une fois de plus nous rappelle comment les élites nous considèrent.
les rats considérés comme intelligents ont besoin de quelques jours pour prévenir leurs congénères d’un piège ou d’un produit dangereux.
Je ne suis pas sûre que les humains ont la même intelligence en envoyant leurs enfants se faire vacciner.
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Merci, infiniment, Tarchnama, pour m’avoir signalé cette erreur.
J’avais mal rentré le lien. 🤭
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Hier, Rob777 m’a signalé que la vidéo d’Obama, dans l’article « Pour les partisans d’Obama », était un montage (fake news)…
Je l’ai aussitôt supprimée et remplacée par cet article-là :
Dans la famille Obama, je voudrais « l’oncle »
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