Photo NASA AS12-49-7319HR
(Ceux qui n’aiment pas lire peuvent passer l’introduction de cet article et aller tout de suite à la fin pour regarder les vidéos.)
Dans cet article, j’utilise le mot OVNI et non le terme PAN, Phénomène Aérospatiaux Non identifiés. Je trouve cette pudibonderie linguistique, appliquée aux 150 000 000 de témoignages recensés par l’ONU depuis 1947, d’autant plus inutile qu’elle fait l’impasse sur les véhicules observés sur terre et sous l’eau, par des civils ou des militaires.
Je viens de relire un livre intrigant sur la Lune, lequel affirme que c’est un satellite artificiel, creux, habité, pourvu d’eau (tardivement confirmé par la NASA) et d’une atmosphère superficielle. Puis, j’ai cherché ces photos que l’auteur évoque dans son livre, recherche d’autant plus difficile qu’Internet est très pollué sur le sujet des ovnis. Photos et vidéos truquées abondent : mal faites, assorties de musiques inquiétantes à l’ambiance X-Files, commentées par une voix déformée pour créer un effet dramatique.
En parlant de X-Files, cette série télévisée a fait plus de tort à l’ufologie que tous les autres séries et films de science-fiction réunis. Comment discréditer un sujet en 10 leçons, filmée façon kitch, avec des thèmes outranciers et des trucages peu réalistes. Je dis en 10 leçons, mais c’est plutôt en 208 épisodes, de 1993 à 2016 !
Financer une série pareille pendant 23 ans ! Qui a pu faire ça ? Des aliens souhaitant rester incognito ?
J’ai appris que les producteurs avaient donné le rôle du croyant (I want to believe!), Mulder, à l’acteur le plus sceptique, et inversement, le rôle de la sceptique Scully à l’actrice qui aurait été plus convaincante dans un rôle qui s’accorde avec ses convictions. La vérité est ailleurs ! mais pas dans cette série télévisée.
Sur Internet, debunkers (démystificateurs), plaisantins, ufologues et dénonciateurs peu exigeants contribuent à discréditer le sujet, en postant des photos et vidéos qui sont autant de preuves que ceux qui croient à la présence d’ovnis et d’extraterrestres, dans le ciel ou sur terre, sont des naïfs faciles à berner.
Je ne vous ai toujours pas donné le titre du livre, dont j’ai lu la version anglaise, format liseuse Kindle : PENETRATION, THE QUESTION OF TERRESTRIAL AND HUMAN TELEPATHY (Pénétration, la question de la télépathie extraterrestre et humaine), par Ingo Swann. Pénétration, car il s’agit de « pénétrer », percer à jour, les mensonges des gouvernements, des militaires, de la NASA, des autorités scientifiques et des médias.
Il y a quelques années, j’avais lu la version française, PÉNÉTRATION aux Éditions du Sphinx, mais pour ceux qui possèdent une liseuse électronique et un anglais suffisant, je recommande la version originale.
À force de rechercher les documents cités dans ce livre, censés témoigner d’une présence extraterrestre dans notre système solaire, j’ai ressenti le besoin d’effectuer un travail de documentation approfondi, méticuleux.
J’ai un esprit bizarre, pour un auteur de fictions… un esprit cartésien. Même dans un roman de SF ou de fantasy, je tiens à la cohérence et à la vraisemblance de l’histoire. Je me souviens d’une discussion, à ce sujet, avec le directeur d’une maison d’édition.
— La fantasy n’as pas besoin de justification, me disait-il, critiquant le fait que mon histoire commençait dans le monde réel, avant d’aller se perdre dans un autre.
Beaucoup d’excellents romans de fantasy ou fantastiques commencent dans le monde réel (Les neufs princes d’Ambre, La tapisserie de Fionavar, Harry Potter…)
L’écriture imaginaire n’a pas besoin de justification, mais elle ne peut se passer de vérité. Les personnages, les lieux, les situations doivent paraître réels, authentiques, « vrais ». Les univers doivent être cohérents. Sinon, ce n’est plus de la fantasy, mais de la « fantaisie ».
Comme disait Stephen King dans son livre Écriture : « Mentir est en revanche la grande faute impardonnable. »
Autrefois, j’étais fan de SF et fantasy, mais aujourd’hui, je trouve rarement un roman qui me passionne, car depuis des décennies, les auteurs sont poussés à écrire des histoires « originales » par des éditeurs qui veulent du nouveau, nécessité commerciale oblige. Résultat, c’est à qui écrira les histoires les plus invraisemblables.
C’est un paradoxe, mais j’ai besoin qu’une fiction soit réaliste, cohérente, plausible, pour pouvoir m’y plonger.
Dans la préface de son roman Le treizième guerrier, Michael Crichton raconte qu’il avait fait des recherches en bibliothèque sur un manuscrit, jusqu’à ce qu’il se rappelle que ce manuscrit n’existait pas, qu’il l’avait imaginé dans son roman. Voilà un auteur qui mettait de la sincérité dans ce qu’il écrivait.
Si j’ai besoin qu’une fiction soit réelle, autant dire qu’en matière d’ufologie, je n’accorde de crédit qu’à des témoignages très plausibles.
Conspiration ou confidentiel ?
L’ufologie n’est pas seulement polluée par un journalisme bâclé, mais par l’odeur sulfureuse d’une conspiration gouvernementale. Le terme conspiration (comme son synonyme complot) est un abus de langage.
S’entendre à plusieurs, dans le dos de ceux qui ne sont pas « dans la combine », est une activité humaine courante. Tout le monde le fait, de l’école jusqu’à la tombe où l’on emporte ses secrets : secrets de famille, rétention d’informations en entreprise, scandales politiques étouffés durant des années, procès faisant intervenir de nombreux témoins, mais jamais élucidés, évènements historiques aux interprétations contradictoires ou douteuses, etc.
À l’ère de l’information, tandis que l’outil médiatique est devenu l’instrument de pouvoir par excellence, il n’est pas étonnant que la manipulation de ladite information soit au centre des intérêts privés.
Cependant, crier au loup ou à la conspiration sans s’appuyer sur des informations fiables revient à discréditer la cause même qu’on prétend défendre.
D’un autre côté, derrière le debunker (démystificateur) de conspirations se cache souvent, non pas un sceptique, mais un Bisounours qui a placé sa confiance dans les médias, les institutions, les idéaux démocratiques, et qui s’est construit une conception rassurante de la réalité. Si bien qu’il rejette tout ce qui peut ébranler cette vision. Les journalistes des médias officiels aussi ont intérêt à discréditer toute idée de conspiration, car elle braque les projecteurs sur le fait qu’ils ont mal fait leur travail et qu’ils devraient enquêter sur ces lobbies pyramidaux qui financent leur organe de presse, autant dire mordre la main qui les nourrit, à leurs risques et périls.
Du mensonge à la conspiration, ce n’est qu’une question de degré. Quelle est l’importance du mensonge, sa gravité ? Combien de personnes sont dans le secret ? Est-ce qu’il constitue une infraction légale ? Est-ce un mensonge par commission ou omission ? Quels moyens sont utilisés pour imposer l’omerta ? Est-ce que ce sont des moyens légaux ou des pressions abusives, comme celles exercées par la mafia ou les terroristes ? Et si ces moyens sont « légaux », ne constituent-ils pas un détournement de l’appareil juridique à des fins anticonstitutionnelles ? Dans un pays où l’on pratique la torture en cas d’atteinte à la sécurité nationale, que devient la « légalité » ?
« Tout le monde ment », chantaient Bertignac et les Visiteurs. Pas tout le monde, et pas toujours, mais certainement les services secrets, puisque c’est leur métier, et tous ceux qui collaborent avec eux dans les gouvernements et l’armée. Et comme il existe des sociétés militaires privées, autant dire des armées qui n’ont aucun compte à rendre à l’administration gouvernementale, ça ouvre des perspectives de confidentialité peu rassurantes.
Il faudrait faire preuve d’aveuglement pour croire que les mensonges d’État n’existent pas. L’histoire en est remplie. Il y a un mois, j’ai été voir une pièce de théâtre, intelligente et très bien jouée : Trois quarts d’heure avant l’armistice. J’y ai appris un fait troublant, survenu à la fin de la guerre de 14-18.
« L’État-major connaît depuis la veille l’heure exacte de la fin des hostilités : 11 h. Mais parce que les ordres sont d’attaquer l’ennemi jusqu’à la dernière minute de la guerre, des soldats tomberont dans la nuit précédente et la matinée. Qu’à cela ne tienne : on écartera les témoins, on ira jusqu’à déplacer un régiment sur le front d’Orient, on inscrira la date du 10 novembre sur les tombes des derniers fauchés… »
Le 11 septembre 2016, j’avais posté un article sur un autre mensonge d’État qui suscite encore de nombreux débats : le 11 Septembre (World Trade Center). L’article, intitulé Heureux les simples d’esprit, car ils n’y verront que du feu, traitait du film de Massimo Mazzucco.
J’avais aussi réalisé un glossaire du film, car les circonstances de cet évènement sont complexes par leur technicité. Difficile de faire preuve d’intelligence dans un domaine sans connaître le langage spécialisé qui le définit. C’est peut-être la raison pour laquelle les personnes ayant posé des questions pertinentes sur le 11 septembre sont des pilotes et des ingénieurs, tandis que ceux ayant soutenu des thèses incohérentes sont des politiciens et des journalistes.
Sans vouloir faire un mauvais jeu de mots, on pourrait qualifier les avions, impliqués dans cette catastrophe, d’objets volants non identifiés, tant les témoignages sont contradictoires. Par exemple, celui qui s’est enfoncé dans la façade ouest du Pentagone, laquelle venait juste d’être refaite et blindée, aurait pu être piloté à distance, d’après certains pilotes. Un drone.
Mais revenons à la question des OVNIs. Est-il possible que les agences spatiales comme la NASA ou les gouvernements en charge d’un programme spatial nous mentent ?
Jetons un œil sur cet extrait d’article de Wikipédia : Informations classées secrètes.
Secret d’État
L’objectif d’un classement secret est de protéger l’information contre un emploi susceptible de nuire à la sécurité nationale.
Niveaux de secret
Bien que les systèmes diffèrent d’un pays à l’autre, la plupart d’entre eux ont des niveaux correspondants à ceux définis ci-dessous (les termes anglais correspondants sont en italiques). Les niveaux sont classés du plus fort au plus faible.
- Extrêmement secret – Extremely Secret : Le plus haut niveau de secret de l’information. La divulgation publique d’une information pourrait nuire très gravement et de manière irréversible à la sécurité mondiale.
- Très secret – Top secret : La divulgation publique de cette information pourrait causer un dommage grave pour la sécurité nationale.
- Secret – Secret : La divulgation publique d’une information classée secret pourrait nuire sérieusement à la sécurité nationale.
- Confidentiel – Confidential : La publication d’une information classée confidentielle peut nuire ou être préjudiciable à la sécurité nationale.
- Restreint – Restricted : La divulgation publique d’une information classée restreinte pourrait causer des effets indésirables. Tous les pays n’utilisent pas cette classe.
- Non protégé – Unclassified : Ce niveau est utilisé pour les documents gouvernementaux dont le niveau de sensibilité ne correspond pas à une des classes ci-dessus. Leur lecture ne nécessite pas d’habilitation spécifique.
Ces niveaux de classement génériques n’offrant pas la finesse nécessaire à la protection des informations les plus sensibles, ils sont complétés par un système de « protection spéciale », multi-niveaux, composé de « compartiments ».
Peut-on appliquer les idéaux démocratiques et respecter la constitution dans un gouvernement qui décrète toute information qu’il désire dissimuler confidentielle ou très secrète, pour raisons de « sécurité nationale », et peut la protéger par des sentences d’emprisonnement, d’une durée de trente ans, dans une prison militaire ?
L’expression « programme spatial civil » est relative. D’abord parce que l’armée américaine emploie des sous-traitants civils, ce qui inclut la NASA. Ensuite, sachant que l’espace est la position stratégique dominante sur la surface du globe, la coopération entre les agences, NASA, armée, CIA, NSA, est obligatoire, qu’il s’agisse des technologies, comme les satellites de communication, ou des photos.
Qui dit armée dit stratégie. Qui dit stratégie dit secret. Qui dit secret dit mensonge.
Y a pas photo
Ingo Swann évoque des sources relativement fiables, concernant la présence extraterrestre sur la Lune, et il donne des numéros de référence NASA dans son livre. Mais ces photos, tirées de l’ouvrage de George Leonard, Somebody Else Is On The Moon (Il y a quelqu’un d’autre sur la Lune), sont de très mauvaise qualité en impression papier.
Même si on constate qu’il y a, ici et là, une excroissance ou une structure anormale, vu la faible résolution du cliché, ce ne sont pas des preuves. Comme cette photo prise lors de la mission Apollo 14, montrant une tour s’élevant au-dessus du sol lunaire.
Nasa 71-H-781
Ce cliché est référencé dans le livre sous l’intitulé Super Rig 1971 (Super Derrick 1971). La structure est à peine visible (à gauche), mais elle n’est guère plus parlante avec un grossissement (à droite).
Ce qui est étonnant, c’est que la photo originale NASA 71-H-781 ait disparu d’Internet, et que plus personne n’arrive à la retrouver.
Autre contradiction, si vous allez sur l’Apollo Image Gallery, vous ne trouverez aucune des photos mentionnées dans le livre de Swann, tirées du livre de George Leonard, Somebody Else Is On The Moon.
Pourquoi ces rares photos NASA qui traînent sur Internet, supposées montrer des structures sur la Lune, sont-elles d’aussi mauvaise qualité, comparées à celles disponibles sur l’Apollo Image Gallery ?
NASA AS14-66-9250-54
(Cliquez sur l’image pour l’agrandir)
Par ailleurs, je suis tombé sur cette photo de l’agence spatiale chinoise, prise au cours d’une mission en 2013.
(Cliquez sur l’image pour l’agrandir)
Que sont ces deux points lumineux dans le ciel lunaire, à droite du module ? Des étoiles ? Dans un ciel entièrement noir ?
Je n’ai jamais aperçu d’ovni, mais j’ai connu quelqu’un qui en avait vu un, stationné dans un champ. La machine, un disque typique, a décollé avec une accélération si brutale que n’importe engin conventionnel, s’il avait fait un départ aussi instantané, se serait démantelé, tuant les pilotes ou passagers.
Ce témoignage, observation d’un ovni à moins de 150 mètres, ce qui constitue une Rencontre Rapprochée du 1er type (RR1) dans la classification de Hynek, m’a paru d’autant plus crédible que son auteur, un sceptique endurci, n’aurait jamais raconté cette histoire si sa femme n’avait insisté pour lui faire avouer ce dont il avait été témoin, chose qu’il fit avec un certain embarras.
L’auteur de Pénétration nous livre son propre témoignage de Rencontre Rapprochée du 1er type. Je ne m’étendrai pas sur cette partie du livre pour ne pas spoiler (gâcher) le suspens. Les aventures de cet homme, embauché tour à tour par l’Institut de Recherche de l’Université de Stanford, la CIA, puis un groupe encore plus occulte que cette dernière, en vue d’effectuer un repérage sur la face cachée de la Lune avec sa technique de Remote Viewing (vision à distance), se lisent comme un roman d’espionnage.
Prouver la présence d’extraterrestres, sur la Lune ou sur Terre, n’est pas l’objet du livre de Swann. Son propos est plus subtil. C’est ce que j’ai le plus apprécié chez l’auteur, sa finesse d’esprit, et sa capacité à soulever des questions inattendues, étayées par des raisonnements cohérents.
Par exemple, la NASA a transporté sur la Lune des hommes, du matériel, des véhicules. Puisqu’il y a de l’eau sur cette planète (document sauvegardé ici en PDF), pourquoi ne pas installer des bases lunaires ? Sachant que l’eau, en plus d’être source d’alimentation (culture de végétaux sous serre), permet la production d’oxygène et d’hydrogène, ce qui rendrait les modules habitables sur de longues périodes. Sans oublier que l’hydrogène et l’oxygène sont des carburants.
À l’époque où Swann a écrit son livre, les campagnes médiatiques du gouvernement américain invoquaient comme prétextes le refus du Congrès, le désaccord des contribuables, la baisse d’intérêt du public pour le programme lunaire.
Pourtant, le programme spatial qui a succédé au programme lunaire, sondes et vaisseaux envoyés vers Mars, est plus coûteux que son prédécesseur. De plus, le programme d’exploration lunaire russe (sauvegardé ici en PDF) n’a pas été abandonné. Pas plus que le programme d’exploration lunaire chinois.
Quant à l’intérêt du public… comme disait une directrice en marketing dans Les secrets du marketing alimentaire :
« Je vais vous révéler certains secrets, sur la façon dont nous vous faisons acheter ce que nous voulons que vous achetiez. En tant que responsable marketing, quand je lance un nouveau produit, en quoi consiste mon travail ? Eh bien, mon travail est de faire en sorte que vous le vouliez, le désiriez, que vous en ayez absolument besoin. »
Les chargés de marketing ne réalisent pas que des campagnes publicitaires pour le pain tranché ou autres biscottes. Quand ils sont employés par les gouvernements, on les appelle « chargés de communication ».
« Le programme lunaire américain a été interrompu pour des questions de budget et de baisse d’intérêt du public. »
Vous achetez ?
On a balayé sur la Lune
Ingo Swann conseille de se procurer un télescope puissant, plus de 600 X, pour observer soi-même la surface lunaire. Bon nombre d’anomalies lunaires, comme une légère couronne atmosphérique à ras de la surface, des lumières, des structures apparaissant et disparaissant, ayant été rapportées par des astronomes utilisant de puissants télescopes, et ce depuis le XIXe siècle.
Alors que je cherchais des informations sur la puissance des télescopes actuels (le livre de Swann date de 1998), j’ai découvert que plusieurs astronomes amateurs avaient mis ce conseil en application, avec des résultats étranges.
L’un deux, Crrrow777 (Corrrbeau777), a filmé une espèce de couverture optique, qu’il appelle Lunar Wave (vague lunaire). Ce phénomène a été filmé par d’autres astronomes amateurs.
La vidéo est en anglais, mais les images, d’une bonne définition, parlent d’elles-mêmes. Dans cette vidéo, Crrrow777 explique qu’il a fait appel à des ingénieurs et graphistes pour comprendre cette ligne optique qui balaye la Lune, selon un modèle sphérique, légèrement gonflé au centre, indiquant que le phénomène recouvre bien la surface de la planète et ne déborde pas de la sphère. Selon ces spécialistes, cette déformation optique n’est pas due à la caméra.
(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)
Les prises de vue des vidéos de Crrrow777 sont excellentes. Dans ses clips, l’astronome amateur explique que ce qu’il dit n’est pas « la vérité », mais seulement ses opinions ou conjectures. Mais c’est là où le bât blesse, car il affirme quantité de déductions non prouvées, comme « la Lune est une illusion », « toutes les photos NASA sont truquées » et « la station spatiale ISS n’existe pas ». Dommage d’utiliser un travail de prise de vue aussi pointu pour aboutir à des conclusions infondées.
La question ovnis-extraterrestres devrait être traitée avec de la logique, pas des opinions, sous peine d’apporter de l’eau au moulin de ses détracteurs. Les « mauvaises preuves » agissent comme une critique à l’encontre du sujet, génèrent de la confusion mentale, même dans l’esprit des personnes ayant l’esprit ouvert.
La solution à cette avalanche de fausses informations, désinformation, canulars sur le sujet de l’ufologie, c’est de concentrer de l’information de qualité dans un même endroit.
Seul, le soufre est sans grand effet. Tout comme le salpêtre et le charbon de bois. Mélangés dans les bonnes proportions, ils peuvent faire décoller un projectile : balle, boulet de canon, fusée.
C’est l’objectif de cet article que j’enrichirai à mesure que je trouverai des informations convaincantes sur le sujet.
Toc ! toc ! la Lune sonne creux
Les bizarreries de notre « satellite » ont aussi été pointées du doigt par des scientifiques.
La densité de la terre est 5,5 g/cm3, tandis que la densité lunaire n’est que 3,34 g/cm3.
En 1962, le docteur Gordon Mac Donald, scientifique à la NASA, affirmait :
Si l’on résume les données astronomiques, on s’aperçoit que l’intérieur de la Lune est creux, et non une sphère homogène.
Le prix Nobel de chimie Dr Harold Urey a suggéré que la densité réduite de la Lune est due à de vastes cavités à l’intérieur de la Lune.
Le Dr Sean C. Solomon, du MIT, a écrit :
Les analyses du Lunar Orbiter ont grandement amélioré notre connaissance du champ gravitationnel de la Lune… indiquant la possibilité effrayante que l’intérieur de la Lune puisse être creux.
Considérant la taille de la Terre et son champ magnétique, un satellite de la Terre devrait être d’une taille inférieure. Par exemple, les deux lunes de Mars, Phobos et Deimos ont des diamètres respectifs de 21 km et 22,5 km. Pourtant, la Lune a un diamètre d’environ 3476 km !
Un satellite creux, d’une taille 100 fois trop grande pour la planète dont il est soi-disant issu, peut-il être naturel ?
Essai français, botté en touche
Le GEIPAN, Groupe d’Études et d’Informations sur les Phénomènes Aérospatiaux Non Identifiés, affilié au CNES, Centre National d’Études Spatiales, avait remis, en 1999, le rapport COMETA (COMité d’ÉTudes Approfondies) au Premier ministre Lionel Jospin : Rapport Cometa – Les OVNIs et la défense : À quoi doit-on se préparer ?
Témoignages de pilotes, militaires, rapports de gendarmerie, en France et à l’étranger, avec un avant-propos qui suggère discrètement le manque de transparence de l’administration américaine sur la question des ovnis.
Il est possible que les États-Unis en sachent beaucoup plus que nous, et qu’ils aient effectivement récupéré une épave (à Roswell ?), voire des cadavres. Leur politique de secret, voire de désinformation sur les OVNI peuvent avoir diverses causes, mais la plus importante est probablement leur désir de conserver pour eux le bénéfice technologique des recherches sur le sujet.
On trouve ce rapport au format PDF téléchargeable ici. On le trouve aussi en librairie chez J’ai Lu et aux Éditions du Rocher, vendu sur Amazon en format papier, ainsi qu’au format électronique, publié par Thriller Editions.
Ce qui est étonnant, dans ce rapport, c’est le flop médiatique, signe du peu de crédit accordé à ces pilotes qui ont vu des engins les prendre en chasse, tourner autour de leur avion, adopter des comportements tactiques, puis disparaître à des vitesses hypersoniques sans le moindre bang ni bruit de réacteur. Des témoignages évoquant des machines volantes dont la technologie surpasse haut la main les modèles dernier cri utilisés par l’armée la mieux équipée de cette planète.
Malgré la sévérité appliquée à la vérification des cas rapportés, la communauté médiatique officielle s’est comportée comme si ces témoins n’avaient pas vu ce qu’ils avaient vu, accueillant le rapport COMETA par des railleries ou de l’indifférence.
Enfin, comme vous le verrez dans la vidéo intitulée AU CŒUR DE L’ÉTRANGE, même le GEIPAN pratique la langue de bois en étouffant et en altérant des témoignages d’observateurs de bonne foi. Ils ont d’ailleurs revu à la baisse le pourcentage de PAN (Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés) de type D, pour lesquels aucune explication n’a été trouvée.
Même si l’on peut louer le courage de ceux qui sont à l’initiative de ce rapport, le département ufologue du CNES apparaît trop soumis au « qu’en-dira-t-on » officiel et au « médiatiquement correct », s’il n’a pas été placé sous une autorité de censure, dans une optique « d’objectivité scientifique ».
Dans son livre, Ingo Swann décrit la manipulation mentale effectuée par les trois pouvoirs en place : militaire, scientifique et médiatique. Ce qui s’est passé avec le rapport COMETA lui donne raison.
Rangez les éprouvettes, lâchez les pitbulls
Il y a trois approches possibles du sujet ovni.
La première est « scientifique », si tant est qu’on puisse qualifier de science une étude qui se contente de rapporter des observations de véhicules aériens, sans technologie disponible pour l’étude, sans axiome, sans principes vérifiables, sans expérience reproductible en laboratoire. Tout sujet dont l’intitulé se termine par -logie n’est pas une science. Les véhicules entraperçus ne restent pas suffisamment en place pour qu’on puisse les étudier.
La seconde est journalistique, la plus courante, car la plus facile, celle qui demande le moins de rigueur. À l’exception de quelques journalistes, la majeure partie de la presse rédige des articles qui font plus appel aux émotions qu’à la logique, en mettant les rieurs de leur côté, en accord avec la politique éditoriale de leur journal. Un journaliste n’est pas supposé écrire ce qu’il sait, ou ce qu’il observe, mais plutôt ce qu’on lui demande.
Les journalistes des organes de presse majeurs ne sont pas libres, ils obéissent aux ordres du rédacteur en chef, qui reçoit ses instructions de la direction du journal, laquelle direction du journal est subordonnée à des groupes financiers et des lobbies.
Prenez un magazine culturel comme Science & Vie, et regardez dans cet article de Wikipédia qui le finance :
Mondadori France (précédemment EMAP France) est un éditeur de presse française, filiale du groupe italien Arnoldo Mondadori Editore (dont la maison mère est Fininvest) Avec plus de 30 publications, c’est le troisième éditeur de magazines en France.
Donc, Science & Vie appartient à Mondadori qui appartient au holding Fininvest.
Si on regarde la définition de holding, on lit ceci :
… la société holding est une société mère. Elle permet à une personne ou à un groupe de personnes de détenir et/ou de contrôler une multitude de sociétés nationales et internationales sans avoir besoin d’apparaître en tant que dirigeante de toutes les sociétés « filles ».
Qui détient et/ou contrôle Fininvest qui détient et/ou contrôle Arnoldo Mondadori Editore qui détient et/ou contrôle Mondadori France qui détient et/ou contrôle la politique éditoriale de Science & Vie ?
La troisième approche des enquêtes sur les ovnis est juridique. L’attitude de certaines autorités laisse transparaître des violations constitutionnelles, des dissimulations d’informations, de faux témoignages, comme on le voit dans des vidéos en fin d’article, malgré le recours à des avocats pour obtenir des documents, grâce au Freedom of Information Act, de l’US Air Force, de la CIA ou la NSA, lesquelles agences cèdent avec réticence, quand elles les cèdent, des pages tellement caviardées que ce sont des aveux de dissimulation de preuves.
À quand, une observation d’ovni appuyée par constat d’huissier ?
Les témoignages, bien qu’appartenant à la catégorie des « preuves imparfaites », seraient recevables dans le droit civil français.
Un enquêteur sur les phénomènes aérospatiaux devrait être tenace, dépourvu de complaisance face à l’hypocrisie des autorités ou de la presse, rigoureux dans ses enquêtes, et écarter de sa méthodologie toute présomption qui ne serait pas recevable devant une cour de justice.
Tout est relatif, même l’impossible
Une autre tendance s’est dessinée, depuis des années, la thèse selon laquelle des ovnis (soucoupes, triangles, cigares, etc.) pourraient être des projets de vaisseaux ultra-secrets, américains, russes ou autres, construits par rétro-ingénierie de vaisseaux extraterrestres, avec des moteurs antigravitationnels. Vous prenez un vaisseau extraterrestre qui s’est crashé, vous le démontez, puis vous essayez d’y comprendre quelque chose pour en construire de semblables. Ou alors, vous recevez un coup de main des extraterrestres supposément infiltrés dans la population humaine ou travaillant dans des bases secrètes.
Toujours dans le but d’étayer ma documentation, je me suis procuré un livre qui traite ce thème. La couverture évoque un film de SF des années 60. Le titre est Programmes spatiaux secrets et alliances extraterrestres, de Michael E. Salla. Ce livre est bien noté sur Amazon. Je n’en suis qu’au premier tiers, mais il se pourrait que je fasse un article sur cet ouvrage quand je l’aurai fini.
Les informations contenues dans ce livre ramènent le livre d’Ingo Swann à un témoignage terre à terre. Il y est question d’engins à la technologie ultra-avancée, dotés de moteurs à antigravitation, capables d’atteindre des vitesses de Mach 12 en quelques secondes, utilisant la magnétohydrodynamique, ainsi que d’autres technologies encore plus exotiques, fabriqués secrètement par des compagnies aérospatiales connues. Les témoins seraient d’ex-membres du personnel, embauchés avec des contrats d’une durée de 20 ans, puis renvoyés dans le passé avec régression d’âge (l’employé est « renvoyé »… à l’âge de l’adolescence) et effacement de leur mémoire. Dans ce livre, notre monde apparaît comme un vaste Truman Show orchestré par un complexe militaro-industriel surpuissant, ayant ses ramifications dans tout le système solaire et au-delà.
Plus une affirmation est invraisemblable, plus elle devrait être étayée par des preuves solides. Des témoignages de personnes connues, qui s’avancent courageusement et s’expriment en leur nom, sont recevables par une cour de justice. Pas des témoignages d’inconnus ou de gens désignés par des pseudonymes, ni des »preuves » par ouï-dire, Machin a dit à Bidule que Truc lui avait rapporté… sachant qu’aujourd’hui Truc est décédé.
Sans compter les paradoxes engendrés par le voyage temporel. Pas seulement les contradictions habituelles qu’on trouve dans les romans de SF, du style « si je vais dans le passé pour tuer ma grand-mère, je ne serai jamais né et n’écrirai donc pas cet article. » Non, le problème, c’est l’interférence entre champ de conscience et matière, telle qu’elle apparaît dans la physique quantique (voir l’article Cantique des quantiques : un coup de pied dans les particules). Un voyage temporel présuppose que ladite conscience se scinderait en deux, à vivre une réalité sur une ligne temporelle 1, tout en vivant une seconde réalité sur la ligne temporelle 2.
Le livre Programmes spatiaux secrets et alliances extraterrestres se lit comme un thriller, mais sa crédibilité est entachée de lacunes et d’incohérences.
La réalité, en accord avec les lois quantiques, est probabiliste. Les probabilités sont affaire de pourcentage. Quelles sont les probabilités pour que le scénario dépeint par Programmes spatiaux secrets et alliances extraterrestres soit vrai ? Étant donné le nombre de témoignages, recoupements, informations cohérentes, indices, nombres de témoins impliqués appartenant à des sources et époques distinctes, preuves circonstancielles (et non directes), je dirais pas plus de 20 %. Mais je n’en suis qu’au premier tiers de l’ouvrage, donc histoire à suivre…
De plus, quand deux faits paraissent contraires, ce qui est la définition même d’incohérence, il reste la possibilité qu’un troisième fait survienne, qui les réconcilie.
Exemple :
1. La Terre est ronde.
2. Impossible, les gens dans l’hémisphère sud marcheraient la tête en bas.
3. Le bas et le haut ne sont pas des notions absolues, mais relatives. La force gravitationnelle, exercée depuis la surface vers le centre de la Terre, est parallèle à la direction « haut/bas » en tous points de la sphère terrestre.
Ou pour le dire plus simplement : qui sait de quoi demain sera fait ?
(Mise à jour le 7 janvier 2018)
Je viens de finir le livre de Michael E. Salla, Programmes spatiaux secrets et alliances extraterrestres, et plutôt que d’écrire un article à son sujet, je vous mets le commentaire que j’ai posté sur Amazon. Je n’écrirai pas d’article, car pour valider les « preuves circonstancielles » présentées dans cet ouvrage, je devrais faire un travail d’investigation et de vérification des liens et ressources qui me demanderaient des mois de travail, peut-être plus.
Je viens de voyager dans l’espace… et au-delà
Cinq étoiles, non pas parce que je suis persuadé que tout ce qui est dit dans ce livre est parole d’évangile, mais parce qu’il est bien écrit et constitue un travail d’investigation colossal, très bien référencé, avec des centaines, si ce n’est des milliers de liens et ressources.
D’autre part, que tout ce qui est rapporté par l’auteur soit vrai ou non, ces témoignages de quatre dénonciateurs (avec celui de la postface) sont passionnants et laissent entrevoir des horizons extraordinaires. Je pourrais donner des raisons, des pourquoi et des comment, pour justifier ces appréciations, mais cela m’obligerait à « spoiler » des éléments clefs du livre, or une grande partie de mon plaisir de lecture a reposé sur le suspens, la surprise et la découverte de choses dont je n’avais même pas idée.
Certaines certitudes étaient déjà acquises, témoignages d’observation de vaisseaux, présences de spatiaux dans notre système solaire. Surtout que je lisais ce livre en même temps que je rédigeais un article sur les observations d’ovnis, après avoir lu le tout aussi passionnant « Pénétrations » d’Ingo Swann (la version originale anglaise), donc j’étais déjà dans l’ambiance. Mais avec le livre de Michael E. Salla, je dois dire que ma mâchoire s’est décrochée et mes yeux ont jailli de leurs orbites.
Je reste dubitatif (je ne dirais pas sceptique, car face au sujet ovnis et ETs, c’est presque synonyme de fermeture d’esprit) sur trois aspects : les incroyables avancées technologiques nazies dès les années 30, la thérapie génétique de rajeunissement, et surtout, le voyage temporel, lequel heurte ma compréhension de la physique quantique. En effet, si une même personne se retrouve à vivre deux lignes temporelles parallèles conjointes, que devient son « champ de conscience » ? Il se scinde en deux moitiés réduites ? Il se dédouble en deux parts égales ? Dans ce cas, les deux consciences ne sont-elles pas intriquées (entremêlées) ? Donc, en communication l’une avec l’autre.
De plus, ces voyages dans le temps conduisent à toutes ces joyeusetés qu’on voit dans la SF, où chacun intervient sur la ligne temporelle pour détourner le cours de l’histoire (par exemple, étouffer bébé Adolph Hitler dans son berceau) et on se retrouve avec une patrouille du temps qui fait la police pour empêcher les intervenants maladroits de « déchirer la trame spatio-temporelle », comme dans les romans de Poul Anderson…
Mais comme disait le physicien Richard Feynman : » Je crois pouvoir dire sans risque de me tromper que personne ne comprend la mécanique quantique. » Alors, quant à prétendre avoir une idée cohérente de ses implications spatio-temporelles… Et tandis que je me pose ces questions, une petite voix me souffle : « Qu’est-ce que la réalité ? »
Ne serait-ce qu’un détail significatif, ces fameuses « plaques de verre intelligentes » mentionnées par le dénonciateur Corey Goode… si on y réfléchit bien : c’est quoi, un smartphone, une liseuse ou une tablette, à part de vieux modèles 1.0 des susdites plaques de verre ?
Ce qui est sûr, c’est que le futur est déjà là, en train de frapper à notre porte, et cet excellent livre de Michael E. Salla, contribue à ouvrir quelques verrous.
Des pépites dans le bazar
Cela m’a pris des heures de recherche, avant de constater qu’il existait, noyées au milieu des « preuves » non fondées et des canulars, des ressources cohérentes sur le sujet de la Lune et la présence extraterrestre dans notre système solaire.
J’ai retenu ces reportages vidéo que j’ai regroupés en un best of . Si j’en trouve d’autres, je les rajouterai au fur et à mesure.
On s’aperçoit, en visionnant ces témoignages non seulement crédibles, mais évidents, que le mur qui entoure le sujet ovnis et extraterrestres est en train de se fissurer un peu partout dans le monde, que ce soit dans les sphères militaires, du renseignement, ou de certains gouvernements.
Les derniers informés de ce changement de tendance semblent être nos journaux et médias officiels. Ce n’est pas un scoop. De tout temps, les nouvelles idées ont dû se frayer un chemin dans le goulet étroit du retard culturel.
Témoignages sur les technologies extraterrestres
Sujets traités :
- Témoignages de pilotes, militaires ou civils.
- Vagues d’observations aux USA en 1952.
- Opération Blue Book de l’armée américaine, visant à discréditer le sujet des ovnis et les témoignages.
- Investigation du professeur d’astronomie Allan Hynek (l’homme qui a donné son nom à la classification des types de rencontres d’ovni).
- Point de vue des scientifiques sur la vie ailleurs dans l’univers.
- Centre SETI de recherche d’intelligence ET.
- L’incident de Roswell.
- Témoignages d’abductions.
- Points de vue scientifiques sur le voyage intersidéral.
- Peter Davenport et l’UFO National Reporting Center.
(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)
OVNIS – Lorsqu’il n’y a plus rien à prouver
Sujets traités :
- Témoignages de pilotes, militaires ou civils.
- Intervention de Jacques Patenet, Directeur du GEIPAN.
- Interventions d’Yves Sillard, ancien Directeur général du CNES.
- Intervention de Claude Poher, Directeur en astronomie-astrophysique.
- Interventions de Jean-Luc Bruneau, conseiller scientifique du Général de Gaulle.
- Témoignage de Jean-Charles Duboc, Commandant de bord d’Air France.
- Interview d’opérateurs radar.
- Rapport COMETA.
- Intervention du Général Letty, général de division de l’armée de l’air.
- Lumières d’Hessdalen et analyses des échos radar.
- Observations radar de 1952 aux USA.
- Allocution du Major General John A. Samford.
- Explication de la « poche d’air chaud » pour des ovnis faisant des pointes de vitesse de 200 km/h à 12 000 km/h.
- Croquis effectués par des militaires américains.
- Annonce officielle des USA « qu’ils arrêtaient d’enquêter sur les ovnis. »
- Peter Gersten, avocat américain, obtient des documents CIA, US Air Force et NSA.
- Rapports du NARCAP (National Aviation Reporting Center on Anomalous Phenomena, Centre de signalisation aérienne des phénomènes anormaux).
- Harcèlement moral contre Emma Baroud, ancienne adjointe au maire de Phoenix, Arizona, et faux témoignage de l’US Air Force.
- Aveux du gouverneur de l’Arizona quant à son faux témoignage.
(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)
OVNIS – Les nouveaux dossiers secrets
Sujets traités :
- Drones repérés au-dessus de centrales nucléaires.
- Témoignages de militaires, personnages politiques, scientifiques et ex-agents de services secrets.
- L’ovni de Kumburgaz, en Turquie.
- Vidéos d’ovnis du monde entier.
- L’ovni du volcan Popocatepetl, au Mexique.
- Photo NASA d’Apollo 15, d’un être humanoïde photographié sur la Lune.
- L’ovni de Santa Monica, en Californie.
- Le GEIPAN, Groupe d’Étude et d’Information sur les Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés.
- Points de vue scientifiques sur le voyage intersidéral.
- Témoignage sur l’ovni survolant la centrale nucléaire de Golfech, dans le Tarn-et-Garonne, le 6 octobre 2010.
- Le GEIPAN étouffe le témoignage de la centrale de Golfech avec un mensonge, puis rouvre l’enquête, trois ans plus tard.
- Ovnis repérés au-dessus de 15 centrales nucléaires françaises.
- Témoignage du Lieutenant Colonel Robert Salas, neutralisation des missiles nucléaires sur la base de Malmstrom, Montana.
- Témoignages d’Haravilliers, Val-d’Oise, 10 janvier 1998.
- 300 témoignages annuels en France, jamais reconnus par le GEIPAN.
- 21 septembre 1987, allusion de Reagan devant l’ONU.
- 7 décembre 2012, le Premier ministre russe, Dimitri Medvedev, dévoile l’existence du dossier secret remis au président russe, concernant les extraterrestres présents sur la Terre.
- Conférence de Washington, en mai 2013, 40 militaires et ex-agents secrets révèlent ce qu’ils savent sur le sujet ovnis et extraterrestres.
- Témoignage du lieutenant-colonel Richard French sur sa mission Blue Book, visant à discréditer le sujet ovnis.
- Divulgation des rapports concernant la révélation de Richard French, par l’armée de l’air US.
- Découverte de la planète Kepler 186F par la NASA.
(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)
Témoignage de Donna Hare, prestataire de la NASA, sur les dissimulations de photos classifiées
Sujets traités :
- Falsification de photos prises sur la Lune.
- Menaces et sanctions à l’encontre de ceux qui ne respectaient pas les consignes de secret.
- Projection de simulation et suivi en temps réel des déplacements d’un vaisseau extraterrestre dans le centre de contrôle de la NASA.
(Le texte, anglais et traduit en français, de cette vidéo est téléchargeable à ce lien.)
(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)
Un sergent de l’Air Force témoigne sur les bases lunaires extraterrestres
Sujets traités :
- Historique de carrière du Sgt Karl Wolfe.
- Niveau de sécurité top secret crypto, accréditation d’accès à des informations top secret cryptographiées, nécessitant un stockage et un traitement particuliers.
- Description de la nature du travail effectué dans le laboratoire de la NSA et révélations concernant une base lunaire.
(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)
(Cliquez sur l’icône paramètres de la vidéo
4 réponses sur « OVNIs – Lorsqu'il n'y a plus rien à prouver »
Je tire mon chapeau, très beau vôtre travail, je vous garde dans mes contacts préférés. Un grand merci à vous d'avoir partagé votre temps précieux.
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Excellent article! (encore une fois…)Le fait le plus inquiétant! Et j'insiste…! (Au moment même ou je l'écris je ressens une appréhension…) Réside dans le fait! Le simple fait!Que nous n'avons plus d'image de la Lune. Nous ne sommes officiellement jamais retourner sur la Lune!Nous faisons des reportages, des documentaires dans tous les pays du monde!Nous sommes en 2020! Et nous n'avons pas d'image de la Lune!En 4K!Etrange! Vous ne trouvez pas? Personne ne se pose la question!?
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Les images de la Lune de l'agence spatiale chinoise sont de 2013 (voir plus haut), image bizarre qui montre deux vaisseaux dans le ciel vide en arrière-plan.Avec le recul, je me dis qu'il se pourrait que les Américains aient été interdits de séjour sur la Lune aux alentours d'Apollo XIII, ce que Swann explique dans son livre comme étant une mission militaire qui transportait une arme nucléaire, raison de l'avarie et du retour en catastrophe, tandis que le programme chinois a continué de bénéficier d'un droit de visite.Ce qui cadre assez bien avec le plan d'invasion PCC-Blackrock et tout ce qu'on sait aujourd'hui.Trudeau et Biden étant des agents chinois, Hunter Biden impliqué dans du chantage sexuel avec Liu Yifei (agent chinois), voir LE PLAN DES KLEPTOCRATES et LE BIDENGATE : LES BIDEN LIBIDINEUX.C'est une analyse fragile, il faudrait creuser plus.
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« Trudeau et Biden étant des agents chinois, Hunter Biden impliqué dans du chantage sexuel avec Liu Yifei (agent chinois), voir LE PLAN DES KLEPTOCRATES et LE BIDENGATE : LES BIDEN LIBIDINEUX. »Je vais voir tout ça!Merci.
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