
Je rajoute ce deuxième témoignage qui est presque un copier/coller du premier. J’ai caviardé ce profil facebook, faute de joindre la personne pour lui demander sa permission d’inclure sa publication dans l’article.

Et il y a 10 minutes, je suis tombé sur ce tweet…

Cela fait près de neuf mois, depuis que j’ai publié l’article Le Grand Réveil… par la douleur, que j’ai ces visions…
Partout dans notre village, on entend des cris, des lamentations, des pleurs, des hurlements qui résonnent depuis les habitations alentour, comme au temps de la peste noire.
Sauf que cette fois-ci, ce n’est plus une épidémie, mais la vilaine potion qui accomplit son œuvre funeste.
Parfois, je me raisonnais, essayant de me persuader que mon imagination extrapolait à l’excès et qu’on n’en arriverait jamais là.
Par ailleurs, j’ai beaucoup discuté avec une infirmière qui s’étonnait que sur sa trentaine de patients réguliers, pourtant âgés et atteints de pathologies courantes (diabète, arthrose, tension), tous fakecinés deux doses, aucun n’avait d’effets secondaires depuis le début de cette généreuse distribution de venin.
Elle se demandait s’ils avaient tous eu droit au placebo. Un miracle !
Mais si c’était un miracle, il semblerait que depuis la troisième dose, Dieu ait renoncé à veiller sur leur santé.
L’hécatombe commence…
Entre ses patients et ses proches, cette infirmière a pu constater : un cancer généralisé foudroyant déclaré en 15 jours, un AVC, une maladie de Parkinson doublée d’un cancer du sein et du cerveau, des reins atteints qui ne fonctionnent plus qu’à 30 %, une inflammation du cervelet entraînant une sclérose en plaques en plus d’une masse suspecte au sein, une soudaine incontinence déclarée du jour au lendemain…
On retrouve tous ces effets indésirables, le mot est faible, sur la page Ils ont testé pour vous… le fakecin !
Depuis ces neufs mois passés, j’ai aussi cette certitude profonde que la potion de la mort qui tue, l’arme fatale des mondialistes eugénistes, est un boomerang qui va leur revenir en pleine face et précipiter leur chute.
Je verrais bien les Macron, Véran, Castex et quelques complices s’enfuir en Argentine ou autre pays n’ayant pas d’accord d’extradition avec la France.
À leur place, je commencerais à parcourir l’annuaire pour y trouver les meilleurs chirurgiens esthétiques. Une opération transgenre serait le parfait déguisement.
Je sais aussi, ne me demandez pas pourquoi, que la médecine allopathique et ses médecins vont disparaître.
Par quoi seront-ils remplacés ?
Je vois des thérapeutes utilisant des remèdes naturels, des techniques d’acupression, massages énergétiques, remise en communication corporelle, élimination du stress, des traumas et pensées toxiques qui sont la cause réelle des maladies, des technologies avancées agissant sur les fréquences et le taux vibratoire des cellules et des organes, et des aliments sains, vivants et vitaminés, en guise de remèdes.
Cependant, je m’interroge : ces visions dantesques de mort que j’ai eues, tout droit sorties du Moyen Âge, sont-elles prémonitoires ou bien ai-je été marqué par cette scène tant comique qu’effroyable de Sacré Graal ! des Monty Python ?
Si vous tapez la requête rire en temps de guerre dans un moteur de recherche, vous serez surpris par le nombre de réponses et de documents prouvant que ces deux phénomènes, en apparence incompatibles, ont souvent coexisté.
Dans les pires moments de ma vie, et Dieu sait que j’ai traversé des enfers dont beaucoup de mes camarades ne sont jamais revenus, le rire s’est avéré une soupape de sûreté, et même un puissant remède.
J’ai souvent dit, à propos d’épreuves douloureuses passées : « Sans le rire… je pense qu’aujourd’hui, je serais mort. »