Y a pas que l’essence qui nous enfume

L’écologie est une idée bienveillante récupérée par des personnes malveillantes dans un but destructeur.

Les « informations » sur le climat ont pour but de terroriser la population.

Cette intox présente les jeunes comme des dommages collatéraux de l’égoïsme des plus vieux, ces « boomers » qui ont profité des ressources de la planète sans ce soucier des générations futures : diviser pour mieux régner.

Cette manipulation est expliquée dans Covid-19, l’écoterrorisme.

Ce terrorisme médiatique pousse certains militants écologistes à des actions désespérées…

Une célèbre victime, mais aussi porte-parole de cette manipulation, fut Greta Thunberg.

Un peu de légèreté dans ce monde de brutes… plus sérieusement, c’est louable de se soucier de l’état de notre maison, la Terre.

Sauf que les analyses, études « scientifiques » et discours médiatiques sur l’environnement sont une mélange habile de vérités et de mensonges visant à faire accepter des « remèdes » qui sont pires que le mal.

De nombreuses ONG « bienveillantes », comme PETA [Personnes pour le Traitement Éthique des Animaux], sont financées par Tides Fundation et Open Society Fundations de George Soros (voir India News, Dr Vedika sur Twitter, Peta : le boucher des animaux, en anglais).

Le mouvement végan est, comme toutes les sections d’assaut social, poussé par les Open Society Fundations de George SSoros (voir cet article en français). Le diable est partout et l’on peut repérer son odeur sulfureuse à l’hystérie de ses activistes, comme ces végans qui renversent du lait dans les supermarchés anglais pour protester contre la consommation de produits lactés.

Dans la même veine, voici un exemple typique de l’enfumage écologique, le carburant :

Autre arnaque séduisante, la voiture électrique :

Et pour ceux qui ne comprennent pas que les mesures prônées par ces élites enrichies grâce aux industries polluantes, c’est du vent…

On pourrait, à juste titre, me rétorquer : « Mais alors, vous proposez de faire quoi, concrètement ? »

Pour commencer, dénoncer la fausse écologie des médias à la botte des élites.

Nous ne sauverons pas l’environnement en s’appuyant sur de fausses vérités.

Ce sont les mensonges qui protègent tout le mal qui infecte cette planète.

Autrefois, c’était le travail des journalistes de dénoncer les scandales, escroqueries, ententes illicites, conflits d’intérêt, mensonges d’État et autres « weathergate » [climatgate].

Les « journalistes » et « fact-checkers » d’aujourd’hui se prostituent à ces lobbies qui financent leur organe de presse déficitaire.

Et ces lobbies sont aux mains des mêmes hyper-riches sans foi ni loi qui font fortune grâce à l’exploitation irresponsable, criminelle, des ressources planétaires.

Exemple récent :

Quelqu’un croit-il vraiment que ces 140 départs de feu sont le fruit du « hasard » ?

Ces indices de corruption sont si extrêmes, si monstrueux, si machiavéliques qu’il peuvent aisément faire passer celui qui les pointe du doigt pour un « complotiste ».