Voici une séquence du film I… comme Icare, d’Henri Verneuil, qui met en scène Yves Montand (procureur Volney) et Roger Planchon (professeur Nagarra).
Cette explication brillante n’est pas sans évoquer la situation actuelle où nous avons une cohorte de responsables qui exécutent leur tâche de petit tyran.
Responsable, le politicien qui vote les lois conduisant à un désastre sanitaire.
Responsable, le journaliste, présentateur ou « médecin » de plateau télé qui affirme que le produit est non seulement sans danger, mais nécessaire et, comble du cynisme, qu’il peut sauver des vies !
Responsable, le fact-checker [vérificateur de faits, en réalité, propagandiste payé], modérateur des réseaux « sociaux », censeur de la liberté d’expression, qui bloque la publication ou le compte d’un lanceur d’alerte s’efforçant désespérément de sauver des vies en faisant un travail bénévole de citoyen journaliste pour lequel il n’est ni formé ni payé.
Responsables, les CRS, policiers et gendarmes, BRAV, casseurs infiltrés dans les manifestations, qui commettent du vandalisme ou des violences malveillantes sur des citoyens manifestant simplement leur droit de vivre décemment et librement, sans excès ni abus.
Responsables, les députés qui votent des lois fascistes, dans un hémicycle d’Assemblée nationale ou Sénat souvent désert, ou qui se contentent d’être absents pour ne pas se dresser sur le chemin de la dictature en marche.
Responsables, tous ceux qui promeuvent, de quelque façon que ce soit, des poisons qui font actuellement des centaines de milliers de morts et encore plus d’handicapés ou malades sous traitement à vie.
Responsables, tous ceux qui s’en prennent aux résistants opposés à cette montée d’un néo-nazisme sournois, mais ô combien réel, en se moquant d’eux, les ridiculisant ou les appelant « complotistes ».
Responsables, les « médecins » qui ont signé des clauses de non-divulgation et d’exonération de responsabilité pour les laboratoires et membres du gouvernement, et qui pratiquent une omerta, une loi du silence digne de la mafia, et qui, lorsque les victimes d’effets désastreux viennent à eux pour de l’aide, les envoient promener, les culpabilisent en leur faisant croire que « tout ça c’est dans leur tête » ou les congédient avec une prescription absurde de Doliprane ou d’Aspirine, alors que ces malheureux sont atteints de graves troubles iatrogènes qui ne feront qu’empirer.
Responsables, tous responsables… et au regard de la quantité de désespoir, de souffrance et de morts causée par ces actes d’une irresponsabilité criminelle, COUPABLES.