Ce professeur courageux, intègre, intelligent est mon héroïne du mois, voire de l’année.
Je regrette juste qu’elle n’ait pu se débarrasser d’un sentiment latent de culpabilité.
On pourrait croire, au premier coup d’œil, que la cause de son chagrin réside dans la perte de son travail, mais aussi étonnant que cela puisse paraître, ce n’est pas la raison ici.
Son travail l’oblige à manipuler depuis 20 ans… bigre, quelle persistance ! une matière hautement explosive : le bien et le mal.
Pour couper court à tout débat, disons que le bien est un choix d’action optimum qui contribue majoritairement au bien-être et à l’épanouissement à long terme d’un maximum d’êtres vivants.
Quant au mal, c’est l’inverse.
Exterminer 15/16e de la population pour « sauver la planète », alors qu’il y a mille et une solutions pour résoudre le saccage environnemental effectué par les élites archi-milliardaires qui dirigent ce monde depuis des décennies… c’est mal.
Mais revenons à notre admirable professeur.
Quand vous voyez une personne avoir une bouffée de tristesse, les larmes aux yeux ou se mettre à pleurer parce que vous venez de lui dire quelque chose de gentil, de la féliciter, la valoriser ou parce qu’elle assiste à une scène émouvante qui souligne ce qu’il y a de bon en elle, même de façon indirecte (film, livre), c’est que cette personne a été injustement dénigrée, accusée à tort ou dévalorisée dans le passé.
Dans la vidéo ci-dessus, c’est la personne qui filme notre brave professeur : « C’était génial, Julie. »
Revoyez la vidéo, le déclenchement des pleurs est instantané, à la seconde même où cette phrase est prononcée.
J’ai travaillé avec ce mécanisme durant des dizaines de milliers d’heures et peux déclencher ce type de chagrin à volonté chez les personnes affligées de ce syndrome.
Ce n’est pas du sadisme, bien au contraire, car cela provoque une libération des bouleversements antérieurs.
Ne pas reconnaître quand on fait quelque chose d’incorrect est source de mal-être, d’insécurité et nous condamne à répéter l’erreur jusqu’à ce que la vie nous mette son poing dans la figure pour nous rappeler à la raison.
S’accuser, se rabaisser à tort ou laisser autrui nous dévaloriser injustement est pire : c’est source d’effondrement émotionnel, nervosité (stress), insomnie et maladie.
Accepter ou reconnaitre chez soi un mal qui n’existe pas, c’est mal.
La vérité libère, toujours, par le rire ou par les pleurs.
Une réponse sur « Ces larmes qui nettoient l’âme »
***INFORMATIOJN TECHNIQUE***
Je viens de faire une mise à jour importante de l’article Immunité collective bientôt atteinte, vidéo censurée de Sylvano Trotta, 22 août 2021.
Par ailleurs, je continue mon parcours du combattant pour réparer les liens du blog que la censure de Blogger-Google a brisés.
J’en profite pour peaufiner certains détails, corriger les infos dépassées, remettre des fichiers manquants.
Je travaille du présent vers le passé, donc à mesure que j’avance, les articles plus anciens seront corrigés, améliorés, embellis.
Tout a été réparé et restauré jusqu’au 4 août 2020 ; les articles et vidéos antérieurs sont aussi accessibles et lisibles, mais leur mise en forme est plus brouillonne et certains liens redirigent vers l’ancien blog, donc susceptibles de tomber sur une page vide.
Si vous recherchez quoi que ce soit et ne le trouvez pas, demandez-(e par commentaire, je vous le fournirai aussitôt.
En ces temps d’Apocalypse, que peut-on faire de mieux que de travailler à la Révélation de la vérité ?
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