Dépopulation : jusqu’au dernier Ukrainien, Israélien, Palestinien… qui d’autre ?

En 2021, le gouvernement israélien a tenté d’effectuer le génocide de son propre peuple en l’empoisonnant, « pour sa santé »…

MAIS en 2023, ce même gouvernement veut venger ce même peuple, massacré par « l’armée de libération de la Palestine », en transformant la bande de Gaza en champ de ruines ?

Durant la montée du nazisme et la Seconde Guerre mondiale, les Juifs ont été dépossédés de tout en plus d’être exterminés. Alors, en 1946, les Nations-Unies ont offert aux Juifs une « compensation »…

MAIS ce « cadeau » était une terre aride, inculte, bien à l’écart des centres commerciaux de l’Europe où les Juifs excellaient, au milieu de peuplades arabes potentiellement hostiles à leur installation. Le Plan de partage de la Palestine consistait à imposer aux Palestiniens des migrants débarqués par bateaux entiers, « une chance pour les Palestiniens », comme disent les mondialistes. Autrefois, quand on voulait se débarrasser d’indésirables, on les exilait dans un bagne au bout du monde… là, on a fait cadeau aux Juifs de la « Terre promise ».

Le Hamas, mouvement de résistance islamique responsable de l’attaque lancée le 7 octobre 2023, a été créé en 1987, il affirme que la Palestine est une terre islamique et prône « la destruction de l’État d’Israël et l’instauration d’un État islamique palestinien sur tout le territoire de l’ancienne Palestine mandataire« …

MAIS depuis sa création, ce mouvement a tué, torturé ou fait tuer de nombreux civils israéliens ET palestiniens, suscitant des représailles faisant toujours plus de morts et de blessés, sans avoir récupéré un seul arpent de terre en 39 ans. Ce groupe terroriste a été condamné par le Centre palestinien pour les droits de l’homme après qu’au moins 32 Palestiniens ont été tués et des dizaines d’autres torturés par des membres du Hamas.

Depuis le début de l’opération du Hamas, baptisée Déluge d’Al-Aqsa (d’après le nom d’une mosquée de Jérusalem), beaucoup de gens prennent parti pour condamner ou soutenir Israël ou la Palestine…

MAIS ces « deux » protagonistes sont plutôt quatre : 1. le gouvernement israélien ennemi du peuple israélien ; 2. le peuple israélien qui ne comprend pas la politique tordue de son gouvernement ; 3. le Hamas ennemi supposé des Israéliens, mais dont les actes n’apportent que davantage de souffrance aux Palestiniens ; 4. le peuple palestinien qui croit que le Hamas mène un juste combat dans son intérêt.

Lorsque nous décrivons les acteurs de ce conflit, nous disons, sans réfléchir et pour simplifier, Israël, la Palestine, les États-Unis…

MAIS le gouvernement israélien opprime les Israéliens, tout comme le gouvernement français opprime le peuple français. Tout comme le pseudo-gouvernement de Biden détruit l’Amérique et opprime les Américains, comme Trudeau opprime les Canadiens en détruisant le Canada, etc., puisque ce sont les marionnettistes mondialistes qui tirent les ficelles de ces gouvernements, financent le terrorisme et orchestrent les calamités qui s’abattent sur des populations ignorantes. Dans un monde archi-globalisé, contrôlé par des lobbies ou des titans financiers comme BlackRockefeller, Soros, le clan Rothschild ou Gates, croire que les « élus » par fraude électorale ou leurs nations ont encore du pouvoir est has been.

Poutine affiche une attitude calme, posée, d’appel à la raison, il affirme vouloir réinstaurer la paix dans ce conflit israélo-palestinien…

MAIS le Hamas a aussi été créé et financé par l’Iran et cette attaque de grande ampleur a été planifiée et appuyée par l’Iran qui a récemment appelé les pays musulmans à « se coordonner » face à l’État hébreu. Or, la Russie est partenaire militaire de l’Iran (récentes livraisons de missiles en échange de drones) et les discours « neutres » de Poutine proposent comme solution au conflit de reconnaître un État palestinien, sans proposer de garantie de sécurité pour Israël. Si bien que nous n’avons plus seulement quatre protagonistes, dans ce conflit, mais six.

À première vue, il semble évident que reconnaître aux Palestiniens le droit de posséder leur propre État est raisonnable et la seule voie vers la résolution de ce conflit centenaire…

MAIS la surpopulation croissante en Israël, poussée par des motivations religieuses et sécuritaires (voir Les enjeux démographiques en Palestine après le retrait de Gaza) s’ajoute à l’islamisation croissante des pays du Moyen-Orient, lesquels soutiennent la Palestine en finançant des groupes terroristes islamiques comme le Hamas. Lorsque deux adversaires sont engagés dans un conflit « insoluble », soyez assuré qu’il y a toujours un troisième acteur caché (ou plus) qui sème la zizanie et alimente les querelles.

On pourrait croire que l’administration de Biden et l’OTAN sont avec l’Israël, comme on pourrait croire que l’Iran est du côté des Palestiniens…

MAIS Biden (sous l’emprise de son âme damnée Obama) incite l’armée israélienne à riposter de façon démesurée, génocidaire, contre les Palestiniens, tout comme le gouvernement iranien a probablement donné des directives au Hamas pour l’attentat du 7 octobre 2023. Ont-ils aussi planifié le massacre de civils agrémenté de tortures sur des femmes et meurtres d’enfants, afin de provoquer un engrenage de vengeance impitoyable de part et d’autre ?

Conclusion

Chaque « allié » des Israéliens et Palestiniens les incite à se massacrer à qui mieux mieux. Comme l’OTAN pousse les Ukrainiens à continuer de se faire exterminer, après avoir contraint les Russes à entrer en guerre (bombardement des territoires russophones et projet d’installation en Ukraine de missiles nucléaires à portée de tir de Moscou). L’invasion de l’Ukraine étant la version russe du débarquement de la Baie des cochons, sur un territoire bien plus vaste et plus armé que Cuba.

Ces conseilleurs ne sont pas les payeurs des pots cassés. Par exemple, le Chef d’état-major du Pakistan a déclaré : « Si Israël lance une opération terrestre contre la bande de Gaza, nous fournirons un soutien balistique au Hamas. »

Il n’a pas réalisé qu’en disant cela, il avouait fournir des armes à un groupe terroriste notoire. Il aurait pu ajouter : « Et si Israël vous atomise, les retombées radioactives seront pour leur pomme. »

Les Georgia Guidestones ont été détruites, mais le programme génocidaire qui était inscrit sur ses pierres continue.

La stratégie appliquée au conflit israélo-arabe est la même que pour le covid et l’Ukraine, éliminer un maximum d’êtres humains en s’enrichissant au passage, comme on peut le voir avec les marchands d’armes qui enregistrent des profits records depuis l’attaque du 7 octobre 2023.

Quels que soient les fléaux utilisés, destruction des services de secours (infirmiers, pompiers, police), injections toxiques, pauvreté, famine, catastrophes « naturelles », guerres… le Grand Reset de Klaus Schwab est toujours d’actualité : réduire la population mondiale à 500 millions d’esclaves soumis à une petite élite de dépravés qui ont renoncé à toute notion morale.

Ils n’ont aucune empathie avec la race humaine qu’ils considèrent comme du bétail consommable.

Si vous croyez que c’est exagéré, rappelez-vous que ce sont les mêmes qui ont placé des millions de Juifs dans des camps où ils effectuaient sur eux des expériences médicales, faisaient du savon avec leur graisse, des abat-jour avec leur peau.

Réussiront-ils à nous réduire en esclavage et nous exterminer ?

Le plandémie (génocide vaccinal) a échoué au bout de quelques millions de morts.

Le plan pour détruire la Russie anti-mondialiste au profit d’un État nazi ukrainien touche à sa fin après avoir fait près d’un million de morts et d’estropiés, surtout dans le camp ukrainien, mais pas que.

La « dictature climatique pour sauver la planète » fait peu d’adeptes, comme l’a reconnu une responsable du Forum Économique Mondial, malgré tous les incendies volontaires allumés aux quatre coins du globe pour faire gober le scénario « réchauffement » aux climatocrédules.

Il était donc temps de déclencher une nouvelle attaque sous fausse bannière afin de relancer l’abattage du troupeau humain.

Combien de morts faudra-t-il, aussi bien du côté juif qu’arabe, pour que le combat s’arrête faute de combattants ?

Les « maîtres du monde » ont un vrai problème : dans l’idéal, ils aimeraient bien déclencher une bonne guerre nucléaire qui remplirait leur objectif de dépopulation en quelques heures…

Sauf qu’en cas de fin du monde, ils n’auraient plus personne à dominer.

Pire encore, ils ne sont pas sûrs d’y survivre.

Sinon, ils leur reste un joker, le tsunamigration qui est censé provoquer, à terme, des guerres civiles dans tous les pays occidentaux où déferlent les migrants par centaines de milliers, millions, aussi bien aux États-Unis qu’en Europe.

Ce plan est le bébé des nazis Soros (père et fils), auquel participent des organisations pseudo-humanitaires comme la Croix-Rouge, les ONG financées par l’Open Society Foundations, sans oublier la vaste opposition contrôlée que constitue la gauche qui collabore avec les mondialistes pour détruire son propre pays tout en se persuadant qu’elle est « pour le peuple, parce que sinon, t’es un facho raciste ».

Mais si le suicide national contribue à dégrader le niveau de vie, les salaires, l’accès à l’emploi, la sécurité, l’éducation, l’unité culturelle, la propreté des villes, etc., dans les pays cibles, son potentiel génocidaire reste faible, comparé aux guerres de 3^e génération (bombes, missiles, etc.)

Maintenant, l’inefficacité des plans diaboliques concoctés par les élites pour exterminer la race humaine est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle.

Bonne, parce qu’à l’allure où vont les choses, ils ne seront toujours pas venus à bout des milliards d’êtres humains qui peuplent cette planète en 2030, date butoir de leur agenda criminel.

Mauvaise, parce que cela signifie qu’on en a encore au moins pour 7 à 12 ans avant que cette guerre secrète contre les peuples s’achève et qu’on aperçoive le bout du tunnel.