Dieu : 3 – diable : 0

Je ne « crois » pas en Dieu, je le vois.

Le mot Dieu, du latin Deus, signifie lumière du jour.

La Lumière permet de voir, d’être conscient de ce qui nous entoure.

Sans lumière, on est aveugle, privé de cette intuition, perception, que certains appellent la foi.

Dans un éclair de lucidité, John Lennon avait dit :

Je crois en Dieu, mais pas comme une chose, pas comme un vieil homme dans le ciel. Je crois que ce que les gens appellent Dieu est quelque chose qui se trouve en chacun de nous. Je crois que ce que Jésus, Mohammed et Buddha et tous les autres ont dit était vrai. C’est simplement que quelque chose a été de travers avec les traductions.

La conscience est divine et, comme le suggérait la vidéo de Rupert Sheldrake qui fit scandale dans la communauté scientifique, la conscience imprègne l’univers, chaque être vivant, chaque chose.

Je ne crois pas en Dieu, je le perçois dans la conscience qui imprègne les êtres, les choses, l’espace.

Je vois les êtres vivants, mais aussi les choses, luire, scintiller, vibrer, en permanence.

Une lumière surnaturelle semblable aux auréoles et gloires qui ornent les vitraux d’église et les icônes bouddhistes ou hindouistes.

Dans le film Le Sixième Sens, le jeune Cole Sear voyait des gens qui sont morts… je vois tout ce qui vit.

La Vie est partout.

La Conscience est partout.

Certains disent « Dieu est partout », d’autres « Allah est grand ».

Qu’importe la formule, pourvu qu’on ait l’Éveil. Dieu se traduit dans toutes les langues.

Le mot religion, du latin religare, signifie être relié.

Relié à Dieu, « connecté » à la Vie, en communication avec la Conscience.

La vérité, sœur de la conscience, est divine.

Le mensonge est diabolique.

On appelle le diable Prince des ténèbres ou Prince des mensonges.

Les mensonges occultent la conscience, plongent le monde dans l’obscurité.

Nos gouvernements et leurs laquais, comme la secte à laquelle ils appartiennent, pratiquent le culte du secret.

Le secret est l’ennemi de la vérité, ennemi de la conscience, ennemi de la lumière.

Pas étonnant que ces adorateurs de l’obscurité, obsédés de la dissimulation, soient ennemis de Dieu.

Ils se disent « laïques », du latin laicus, qui signifie « du peuple », du grec laikos, qui veut dire « ordinaire ».

Pourtant, ces élites ne font pas partie de ces gens ordinaires qu’ils méprisent, des gens qui ne sont rien.

Comme on peut s’en rendre compte dans le film Vaincre ou mourir, le Siècle des Lumières a plongé la France dans les ténèbres.

L’Histoire, toujours écrite par les vainqueurs, n’aura gardé que les mensonges.

Mais l’obscurité ne peut pas éteindre la lumière, tandis que la lumière peut éclairer la nuit.

Le film Tiré des Ténèbres avait fait un accroc dans la camisole de mensonges qui étouffe le monde et le maintient prisonnier.

Vaincre ou mourir fait la lumière sur cette Révolution française, ce massacre fratricide orchestré par des francs-maçons et des nobles renégats… le film est un succès, malgré les cris et protestations des médias grand public, ces menteurs professionnels.

Prions pour que ce nouvel outil d’éveil, Les Secrets des Nations Unies, ouvre encore plus les yeux du monde sur ces êtres diaboliques qui, tels des vampires, créatures de la nuit, nourrissent leur demi-vie malsaine avec le sang des vivants.