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[mini-glossaire : Ivanka Trump – ICE]
Trump a déclaré la guerre au trafic humain depuis le début de son mandat.
Cette lutte inclut le trafic d’enfants, la pédophilie et les odieux crimes sexuels des pédo-satanistes qui ont infiltré la haute finance ainsi que les milieux politiques, artistiques et médiatiques.
C’est l’unique raison pour laquelle les médias et les stars d’Hollywood s’acharnent contre Trump.
C’est pour cette même raison que les démocrates et gauchistes haïssent tant Trump : leur vision « libérale » des mœurs sexuelles les incite à « normaliser » les dépravations, en entraînant peu à peu les enfants dans cette dérive.
Quand vous entendez qualifier QAnon ou Trump d’extrême droite ou fasciste, cela signifie « empêcheurs d’abuser en rond ». Abuser de qui ? Des enfants.
Les pervers impliqués dans ces actes sordides deviennent vulnérables au chantage.
Qui exerce ces chantages ? Ceux qui contrôlent ces réseaux de trafic humain comme la Fondation Clinton qui faisait transiter les enfants d’Haïti vers l’île d’Epstein, la « pedo-Island » de sinistre renommée où de nombreuses célébrités sont venues se compromettre.
Les noms de célébrités françaises ont aussi été retrouvés dans les carnets d’Epstein.
Ici, nous avons une industrie mondiale qui, en plus de rapporter des centaines de milliards, maintient un grand nombre d’élites sous contrôle.
Cependant, grâce à ce travail de l’administration Trump, partout dans le monde, nous voyons des réseaux de trafic humain et de pédophilie tomber les uns après les autres.
Le trafic humain, c’est aussi la prostitution, infantile ou adulte, la pédophilie et le trafic d’organes.
Si vous cherchez des informations sur le trafic humain dans la presse française, vous ne trouverez pas grand-chose. Ce n’est pas pour rien qu’on a coutume de dire que la France est le paradis des pédophiles.
Et les médias ont une bonne part de responsabilité dans cette situation, car si on avait des journalistes honnêtes et sains d’esprits, ce seraient eux qui enquêteraient et rédigeraient des articles comme celui-ci.
Pour contourner cette omerta complice des médias français, j’ai tapé dans mon moteur de recherche « human trafficking » : un défilé d’horreurs, comme cette vente d’esclaves rapportée par un média grec reprenant une info de CNN.
Personnes à vendre : où les vies sont mises aux enchères pour 400 dollars
(Sauvegardé ici en PDF)
Tripoli, Libye (CNN) — « Huit cents », dit le commissaire-priseur. « 900… 1000… 1100… »
Vendus. Pour 1 200 dinars libyens, l’équivalent de 800 $.
Ce n’est pas une voiture d’occasion, un bout de terrain ni un meuble. Ce ne sont nullement des « marchandises », mais deux êtres humains.
L’un des deux hommes inconnus qui viennent d’être vendus, sur la vidéo de smartphone pixelisée obtenue par CNN, est nigérien. Il a l’air d’avoir la vingtaine et il porte une chemise pâle et un pantalon de jogging.
Il a été mis en vente comme faisant partie d’un lot de « grands gars forts pour les travaux de ferme », d’après le commissaire-priseur, lequel reste hors caméra. Seule sa main, posée de façon possessive sur l’épaule du jeune homme, est visible dans le clip de courte durée.
Après avoir vu l’enregistrement de cette vente aux enchères d’esclaves, CNN a entrepris d’en vérifier l’authenticité et ils ont fait le voyage jusqu’en Libye pour enquêter davantage.
Le mois dernier, portant des caméras cachées dans une propriété située à l’extérieur de la capitale Tripoli, nous avons été témoins d’une douzaine de personnes vendues aux enchères en l’espace de six à sept minutes.
« Est-ce que quelqu’un a besoin d’une terrassier ? C’est un terrassier, un homme grand et fort, il va bien creuser », dit le vendeur, habillé en tenue de camouflage. « Quelle offre me fait-on ? Quelle offre me fait-on ? »
Les acheteurs lèvent la main tandis que les prix montent, « 500, 550, 600, 650… » En quelques minutes, tout est terminé et les hommes, complètement résignés à leur sort, sont remis à leurs nouveaux « maîtres ».
Après la vente aux enchères, nous avons rencontré les hommes qui avaient été vendus. Ils étaient si traumatisés par ce qu’ils venaient de vivre qu’ils n’arrivaient pas à parler, et si effrayés qu’ils se méfiaient de tous ceux qu’ils rencontraient.
En voici un autre exemple rapporté par le journal The Guardian…
Descente dans une « ferme à bébés au Niger – 32 filles enceintes sauvées
(Sauvegardé ici en PDF)
On suppose que les mères adolescentes étaient forcées de donner leurs nouveau-nés aux trafiquants du sud de la ville d’Aba
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Les filles, la plupart en âge d’être scolarisées, étaient enfermées dans la clinique de la Cross Foundation où elles pouvaient produire des bébés qui étaient vendus pour de l’adoption illégale ou utilisés dans des rituels de sorcellerie.
… … …
L’estimation d’âge des filles varie. Geoffrey Obgonna, un autre porte-parole de la police, a été cité par CNN : « Il y a environ 30 jeunes filles enceintes ; la plus âgée avait 20 ans. Certaines sont en âge d’aller à l’école secondaire, et d’autres à l’école primaire. »
Ces nouveau-nés utilisés dans les rituels de sorcellerie nous renvoient au film documentaire Tiré des ténèbres.
Voici un autre cas de trafic humain, rapporté par un média africain.
Les troupes du général libyen Haftar ont libéré 2500 Africains (hommes, femmes, enfants et bébés)
(Sauvegardé ici en PDF)
21 novembre 2019
Ils étaient retenus en captivité dans une ferme, enfermés dans des petites cages limitant leurs mouvements comme des bêtes sauvages.
Certains n’avaient pas d’yeux et tous portaient des cicatrices témoignant de grossières interventions chirurgicales.
Le récit de ces pauvres bougres est au-delà de tout entendement. La barbarie la plus extrême digne de l’enfer exécutée par des démons incarnés.
Aucun être humain ne peut commettre de telles atrocités sur de tels autres êtres humains et dormir tranquille.
Avec la bénédiction de l’Union européenne, ils ont créé le marché noir de toutes les parties du corps humain.
Ils ont statué que le peuple noir était de la carrosserie humaine.
Sans se donner la peine de leur administrer la moindre anesthésie, des médecins leur prélevaient les organes dont la riche clientèle occidentale avait besoin.
On séquestre des êtres humains.
On nie leur humanité et on les enferme dans des cages comme réserve pour les besoins de la médecine occidentale.
Un abominable business en plein essor au Moyen-Orient.
Les fermes humaines deviennent de plus en plus nombreuses.
Un rein de nègre maintenant coûte 262 000 dollars (131 millions de francs CFA) ; le cœur coûte 119 000 dollars (60 millions de francs CFA) et un foie coûte 157 000 dollars (79 millions de francs CFA).
Pendant que les antifas et Black Lives Matter mettent les rues des états américains à feu et à sang, pillant, brûlant, tuant, saccageant tout ce qu’ils peuvent, avec la bénédiction de leurs gouverneurs démocrates, parce qu’un délinquant noir a été tué par un policier blanc ripou, des centaines de milliers, peut-être des millions de noirs vivent un enfer d’une atrocité sans nom.
Et ce, dans le silence complice de la presse française qui est bien trop occupée à cracher sur Trump pour empêcher sa réélection à tout prix…
Trump qui se bat bec et ongles pour libérer les esclaves du monde entier, quelle que soit leur couleur.