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Voilà ce que peut donner le journalisme indépendant, non financé par des groupes médiatiques à la solde des lobbies, comme le journal Le Monde auquel la Fondation Bill et Melinda Gates a versé en 2019, sous le terme racoleur Informer et engager les communautés, $ 2 126 790.
Quelle différence y a-t-il entre être « payé », « acheté » et « vendu » ?
De nos jours, le métier de journaliste dans les grands médias s’apparente à de la prostitution : « Alors, chéri, qu’est-ce que tu veux que je t’écrive ? Tu vas voir, tu vas aimer ça. »
Sans liberté de la presse, pas de liberté d’expression et, au bout du compte, pas de liberté tout court, car un gouvernement sans presse ne peut être qu’une dictature.
Guillaume Bigot publie des articles dans le collectif Atlantico, sur la page duquel on peut lire :
UN MÉDIA LIBRE D’ESPRIT
Nous ne prétendons pas détenir la vérité, pas plus que nous ne souhaitons nous substituer à la réflexion et aux choix d’idées de nos lecteurs.
Nous sommes là pour éclairer du mieux possible les ressorts et les dessous de l’actualité de notre époque où se renforce le sentiment que la marche du monde comme celle de nos destins nous échappe de plus en plus.
Nous sommes peut-être parfois insuffisants voire dans l’erreur. Mais sur Atlantico, jamais ce que vous lisez ne relève d’arrangements avec les uns ou les autres, politiques, intellectuels, patrons ou annonceurs…
UN MÉDIA INDÉPENDANT
Nous ne dépendons d’aucun grand groupe.
Puissent-ils rester libres à jamais.