
Les évènements Cygne noir sont des évènements imprévisibles et rares, mais d’une portée majeure, planétaire.
Quand un évènement imprévisible se produit à l’échelle mondiale, certains vous diront, après coup, qu’ils se doutaient « que ça arriverait » ou que « ça devait se produire tôt ou tard ».
Il est facile de se prétendre prophète d’un évènement lorsqu’il est passé.
Ces évènements Cygne noir sont « imprévisibles » parce que :
1. Le public est nourri de fausses informations par les médias, l’éducation, l’environnement, et même ceux qui font des recherches sont parfois leurrés par les médias indépendants et les réseaux sociaux, moins que le grand public qui prend ce que disent la télé ou les médias corrompus pour parole d’Évangile, mais assez pour ne pas reconnaître leurs vrais alliés de leurs vrais ennemis ;
2. Les citoyens journalistes et lanceurs d’alerte manquent d’informations clefs que seules détiennent des agences de renseignement militaire. Savoir ce que tout le monde ignore, c’est leur métier ;
3. La logique consiste à associer les faits passés aux faits présents pour en déduire des faits futurs, mais entre les fausses données et les données manquantes, la logique ne suffit pas pour analyser la géopolitique, car pour prédire les évènements futurs, il faut connaître des faits seulement accessibles aux personnes munies d’accréditation élevée dans les agences de renseignement.
Face à une telle situation, l’attitude la plus rationnelle consiste à faire preuve d’humilité, accepter son ignorance dans certains domaines, tout en continuant de faire des recherches, vérifier les faits, comparer, trier, revérifier, en gardant à l’esprit que puisque nous vivons dans un univers spirituel, c’est-à-dire régi par les lois de la physique quantique, rien n’est jamais gravé dans le marbre, mais uniquement probable, avec des taux de probabilité qui changent constamment.
L’attentat sous faux drapeau du 11 septembre (2001), l’élection de Trump (2016), la fraudémie du covid (2019), la guerre en Ukraine (2022), l’offensive du Hamas contre Israël (2023)… étaient des évènements Cygne noir. Personne ne les a vu venir et ils ont eu des conséquences majeures.
Il arrive forcément des évènements « imprévisibles » sur une planète dirigée par les adeptes d’une secte qui fait jurer le secret sous la menace et qui travaille à mettre en place des agendas pour réduire l’humanité en esclavage, sachant que ceux qui se sont élevés aux plus hauts degrés de la pyramide sont tenus par chantage aux crimes rituels à caractère pédophile.
Le mot « pyramide » n’est pas anodin. Ces gens sont obsédés par la symbolique de l’Égypte antique qu’on retrouve jusque dans les spectacles des stars et l’architecture mise en place par les élites : pyramide du Louvre, obélisque du Capitole, du Vatican, de la Concorde, etc.
Le message est clair : nous sommes les pharaons maîtres d’œuvre de la grande pyramide sociale et vous êtes les esclaves qui se tuent à la tâche pour la bâtir. Nous sommes en haut, vous êtes en bas, écrasés par le poids de l’édifice.
Le « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » du nazi Klaus Schwab et ses laquais mondialistes…
Qui ne possède rien ? Un esclave.
Leur vision archi-élitiste de la société future fait passer les rois de France de l’Ancien Régime pour des humanistes et les serfs du Moyen Âge pour des coqs en pâte.
Et en une parfaite inversion accusatoire, typique des pervers narcissiques, ces malades accusent les libertariens populistes, les vrais partisans du bas peuple, d’être d’extrême droite !
L’Œil de Râ fait aussi partie de leur symbolique (voir fichier SSORCELLERIE). Est-ce la raison pour laquelle on trouve ces grandes roues de fête foraine dans diverses métropoles, comme le London Eye (Œil de Londres), pas seulement à Londres, mais aussi à Paris, dans des villes autrichiennes, japonaises, chinoises, américaines ?
Cependant, d’autres acteurs furtifs, ennemis de cette Cabale, luttent pour faire échouer leurs plans, mais pour que l’ennemi ne puisse anticiper leurs contre-attaques, ils sont contraints, eux aussi, de dissimuler ou mentir.
Une stratégie d’autant plus nécessaire qu’ils s’efforcent de rallier une population désinformée, réfractaire aux vérités indigestes. Malheureusement, leur manque de transparence décevra certains de leurs partisans, exaspérés qu’on leur mente, même « pour la bonne cause ».
Le 10 décembre 2022, j’avais posté un commentaire où j’expliquais qu’Elon Musk était un red hat (chapeau rouge, protagoniste ayant changé de camp, dans une guerre entre chapeaux blancs, les alliés, et chapeaux noirs, les ennemis). Il aura fallu attendre presque deux ans pour connaître la raison probable de son revirement.
Elon Musk a récemment lâché une information qui explique pourquoi il s’est retourné contre le Deep State : l’un de ses fils a été détruit par le transgenrisme.
Poutine, Elon Musk et Trump sont des alliés apparents de l’humanité, puisque les élites psychopathes s’acharnent à les détruire, mais ils cachent, eux aussi, tellement d’informations que leurs déclarations, attitudes ou motivations sont souvent incompréhensibles.
Pour ne rien arranger, tous trois sont en communication étroite avec des services de renseignement militaire, même Elon Musk du fait de sa société d’exploration spatiale SpaceX et son réseau satellitaire Starlink :
Consciente de l’importance stratégique que constitue le réseau Starlink, la Chine s’intéresse de près à ce système, dans un objectif de surveillance et possiblement de destruction des satellites le composant. Starlink est en effet utilisé par l’armée américaine pour augmenter la vitesse de transmission des données dans l’armée de l’air ainsi que pour le contrôle des drones. Par ses 2 000 satellites en orbite basse en 2022, Starlink représente un important potentiel militaire.
Twitter s’appelle désormais X, d’après les logos de SpaceX et Starlink : X comme eXploration… spatiale.

De quoi faire grincer des dents aux platistes et autres partisans de la Terre boule à neige.
Des informations avaient circulé prédisant qu’un attentat sous faux drapeau, éventuellement nucléaire, se produirait durant les Jeux Olympiques de Paris… Ça n’aurait pas été un évènement Cygne noir, puisque beaucoup l’avaient anticipé, mais ça ne s’est pas produit.
Au lieu de quoi l’inattendu est arrivé avec la cérémonie sataniste que l’on sait, qu’on pourrait qualifier d’évènement Cygne noir, car imprévisible, mais ses conséquences ont été plus psychologiques, spirituelles, que matérielles.
La Théorie du chaos suggère qu’un battement d’ailes de démon à Paris peut provoquer une tempête à Washington et que des évènements mineurs peuvent modifier le futur par un effet domino, mais un évènement Cygne noir doit avoir des conséquences d’une portée considérable et exceptionnelle. C’est un bouleversement visible, immédiat.
Alors que l’information semble s’être installée dans un calme routinier durant les vacances d’été, on peut se demander : Quel sera le prochain évènement Cygne noir ?
Dans une déclaration récente, Trump a évoqué un crash économique mondial qui ferait passer la Grande Dépression de 1929 pour un pique-nique.
Mais là encore, c’est une catastrophe que beaucoup prédisent depuis des années, donc pas un évènement de type Cygne noir.
En 2017, le magazine Slate publiait déjà cet article : Les milliardaires de la Silicon Valley se préparent à la fin de notre civilisation.
Suite à la participation de Tom Cruise à la cérémonie de clôture des Jeux Olympiques de Paris, des internautes ont relayé l’information selon laquelle la célébrité scientologue aurait dépensé 10 millions de dollars dans un bunker souterrain de 5 étages, afin de protéger sa famille d’une invasion alien imminente, ainsi que d’autres informations sur Tom Cruise et la Church of Scientology qui montrent que beaucoup de lanceurs d’alertes et d’internautes ne font pas de recherches : ils se contentent de relayer ce que d’autres lanceurs d’alerte postent, qui le tiennent eux-mêmes d’autres lanceurs d’alerte, etc.

Quand on remonte à la source de ces rumeurs, on trouve des journalistes payés par le gouvernement. Les mêmes qui nous ont menti au sujet d’Obama, Trump, le covid, George Floyd et BLM, le réchauffement climatique, l’Ukraine, la variole du singe, etc.
Si ces lanceurs d’alerte avaient fait des recherches approfondies, ils auraient pu se poser des questions telles que…
Pourquoi la franc-maçonnerie a-t-elle déclaré la guerre à l’Église de Scientologie française ? Comme le député franc-maçon Vivien qui était à l’origine d’une série de procès intentés à cette « église », avec l’aide du juge Fennec et l’UNADFI, remplacée plus tard par la MIVILUDES, financée par le gouvernement.
Pourquoi le Président du Conseil de Church Of Scientology, David Miscavige, apparaît-il sur la Crowley list des « civils » recrutés par la CIA ? Tout comme le President of Church Of Scientology, Heber Jentzsch, lequel fut pourtant mis au « Trou » (The Hole), un camp disciplinaire où David Miscavige plaçait les cadres rebelles à son autorité ?
Pourquoi les articles qui relayent l’information sur Tom Cruise et son bunker, affirment que d’après lui, l’invasion de la Terre sera menée par un alien maléfique, alors que les documents confidentiels de Church Of Scientology publiés par L. Ron Hubbard, fondateur de l’organisation, expliquent que cet empereur galactique régnait il y a moins de 75 millions d’années, et qu’en 1967 (date de la publication), son esprit était toujours prisonnier d’un piège électronique ? Deux informations inconciliables. Ces documents sont sur Internet, téléchargeables en PDF, publiés par des scientologues dissidents de l’organisation mère.
Pourquoi le même fondateur de cette « église », couverture juridique contre les procès pour pratique illégale de la médecine, était un ennemi acharné de Big Pharma, de Rockefeller pro-dépopulation-LGBT et de la CIA qu’il a tournés en ridicule dans sa série de science-fiction, Mission Terre ? Tandis que le FBI l’a traqué, le contraignant à vivre dans un camping-car, sans cesse en mouvement, puis reclus dans un ranch de Californie, sous un faux nom, mais sous la surveillance de MisCIAvige jusqu’à ce qu’Hubbard décède dans des circonstances suspectes et que MisCIAvige fasse incinérer son corps en toute hâte, sous prétexte « religieux ».
Autre exemple de désinformation sur les réseaux sociaux. Pourquoi les explications complexes de scientifiques et médecins dissidents, démontrant que les virus (ces débris d’ARN) ne sont PAS la source des maladies, de fil en aiguille, de bouche à oreille, sont devenues cette affirmation simpliste « Les virus n’existent pas », relayée par une foule d’internautes qui n’ont pas pris la peine d’étudier le sujet en profondeur ?
Pourquoi le tournage de Stanley Kubrick d’un faux reportage de voyage sur la lune, agrémenté de déclarations hors contexte de quelques astronautes, a balayé en quelques mois des dizaines d’années de témoignages de lanceurs d’alerte, ex-employés de la NASA ou ex-agents de la CIA, et toutes les preuves qu’il y a bien eu des voyages sur la lune, que la station spatiale internationale est en orbite terrestre et que les Chinois, les Russes et Elon Musk conduisent leur propre programme spatial ?
Cui bono ? comme dirait Alexis Cossette de Radio-Québec : « À qui cela profite-t-il ? » Qui tire avantage du fait que les « complotistes » publient des théories outrancières aussi peu crédibles ? À la CIA qui contrôle Pédollywood et toute la presse occidentale ? Souvenez-vous de l’Opération Mockingbird.
Pourquoi, alors que de nombreux mathématiciens et astronomes ont démontré depuis l’Antiquité que la Terre était ronde, observations et calculs à l’appui, tant d’internautes se sont laissé convaincre par quelques vidéastes illettrés qu’elle était plate, en contradiction avec les travaux de Newton et Einstein sur la gravitation universelle, « parce que c’est la NASA et les gouvernements qui nous mentent » ?
Pourquoi Trump, qui n’a jamais rendu la vaccination obligatoire, a pourtant fait 13 déclarations en faveur de la fabrication d’un vaccin « sans danger », de 2020 à 2021, la fameuse Opération Warp Speed (terme humoristique signifiant « vitesse éclair ») ? Une trahison que beaucoup de patriotes ne lui ont jamais pardonnée, alors que beaucoup de médias grand public ont critiqué cette Opération « Vitesse Éclair », car elle décrédibilisait ce vaccin fabriqué à la hâte. Là encore, deux phénomènes médiatiques contradictoires.
Le web journal de Radio-Québec (Qui sème le vent récolte la tempête – Radio-Québec 1.09.2024) fournit une explication claire de ce qui motivait ces déclarations scandaleuses.
Pourquoi Poutine, s’il est un ennemi de la dictature mondialiste, semble-t-il suivre le mouvement du contrôle numérique de la population (carte d’identité numérique, monnaie numérique, etc.) ? Une politique aussi suspecte que celle de son acolyte Xi Jinping qui a laissé/fait appliquer une dictature sanitaire impitoyable, voire cruelle, durant les années covid… certes, sous l’œil impitoyable du Parti Communiste Chinois qui n’attend qu’un faux pas de sa part pour le jeter en prison.
Pourquoi tant d’incohérences et d’informations contradictoires sur nos prétendus alliés ou ennemis dont, finalement, nous savons peu de choses, faute d’avoir une discussion face à face, en les interrogeant sur les questions qui fâchent ? En admettant qu’ils acceptent de fournir des réponses qui pourraient les mettre en danger, les torpiller dans les médias ou en faire des cibles pour la justice.
Regardez ce qui est arrivé à Rémy-Daillet Wiedemann, au professeur Christian Perrone, à l’avocat Reiner Fuellmich, au capitaine Juving-Brunet, à Pavel Durov… sans parler de ceux qui, comme John Fitzgerald Kennedy ou Claire Séverac, ont été éliminés pour avoir « trop parlé ».
Les réseaux sociaux et les médias déversent un fleuve d’informations partielles sur des situations, personnes, phénomènes divers, mais il y a une sacrée différence entre connaître « quelques vérités » et savoir « toute la vérité » sur un évènement ou une personne.
Les recherches approfondies demandent du temps, du travail et un niveau d’éducation supérieur aux capacités de lecture et de compréhension de beaucoup.
Souvent, le courage fait défaut :
« Ton article était trop long, j’ai eu la flemme de le lire. »
« Où veux-tu que je trouve le temps de regarder une vidéo d’une heure ? »
Savez-vous quelles sont les informations les plus partagées et qui obtiennent le maximum de vues et de « J’aime » sur les réseaux ?
Les mèmes : une image, avec un peu de texte ou pas de texte du tout. Raison pour laquelle ce blog a publié des articles de plus en plus courts, au fil des années.
Si vous êtes parvenu jusqu’à ce paragraphe, vous appartenez à deux espèces en voie de disparition : les lettrés, capables de lire une grande quantité de texte en le comprenant ; les personnes dotées de courage, cette énergie de l’âme pour surmonter les obstacles.
Un lecteur qui ne comprend pas ce qu’il lit finit par décrocher, lit de moins en moins, jusqu’à ne plus lire du tout : pas le temps, pas envie, pas le courage, la « flemme »…
Or, s’informer demande de grandes capacités à la lecture. Les vidéos ne suffisent pas. L’intuition non plus. Un citoyen journaliste n’est ni médium ni prophète. On peut, à la façon d’un enquêteur de police, utiliser son « flair » pour suivre des pistes, mais au bout du compte, il faut réunir des preuves.
Comme disait l’ex-reporter à la Maison-Blanche, Liz Crokin, dans le film Out Of Shadows (à partir de 14:08) :
« Puis j’ai travaillé pour le Chicago Tribune, et là mon patron m’a dit que tout ce que je recueillais devrait être vérifié encore et encore et encore et vérifié à mort. C’est ainsi que j’ai été formée et c’est ce qu’un vrai journaliste honnête fait. »
Peut-on qualifier de vérité une information qui n’est pas prouvée ?
Sans une connaissance suffisante de vérités passées et présentes, il est impossible de prédire les évènements futurs qui en découleront. Impossible d’anticiper le prochain évènement Cygne noir qui va redistribuer les cartes de la géopolitique, en mal ou en bien, car un évènement Cygne noir peut être positif. Ce qui fut le cas de l’élection de Trump, en 2016 et du mouvement Qanon qui a démarré un Niagara de journalisme citoyen qui perdure aujourd’hui sur l’ensemble du Web, sous d’autres étiquettes.
Aucun politicien ou militaire ne se risque à rendre public certaines informations essentielles. Les politiciens mentent ou dissimulent, quant à l’armée, ce n’est pas un hasard si on l’appelle la « grande muette ».
De façon générale, on devrait dire la vérité à ses amis et mentir à ses ennemis. Une règle applicable dans les relations personnelles.
Mais est-ce faisable, si vous êtes un personnage public s’adressant à des centaines de millions de gens via les canaux médiatiques, et que tandis que vous serez applaudi par vos partisans, vos ennemis pourront se servir de ces mêmes paroles contre vous ?
Nos ennemis aussi bien que nos alliés mentent ou retiennent des informations.
Quiconque ne comprend pas pourquoi devrait faire ce test : durant vingt-quatre heures, qu’il ne dise que la vérité et n’agisse que d’après la vérité, en étant totalement sincère et sans retenir la moindre information à ses proches, ses collègues de travail, ses amis, ses ennemis…
La première conséquence de ne dire que la vérité et de n’agir que selon la vérité, c’est que vous découvrirez qui sont vos vrais amis, vos vrais alliés. Ceux qui vous soutiennent envers et contre tout.
La seconde conséquence de votre extrême sincérité, c’est qu’elle va faire du ménage dans vos fréquentations. Beaucoup en ont fait l’expérience durant « le covid » : une majorité d’amis et de proches leur ont tourné le dos ou ils se sont retrouvés sans travail.
« Vous pouvez dire tout ce qui vous plaît, faites juste attention de ne pas déplaire à trop de gens », disait un philosophe.
La prochaine fois que vous douterez d’une personne que vous aviez prise pour une alliée, que vous questionnerez sa sincérité, son honnêteté, que vous la soupçonnerez d’appartenir à « l’opposition contrôlée »… souvenez-vous de ces fois où vous avez été contraint de mentir, de ne pas dire toute la vérité, de faire semblant, de cacher vos sentiments, d’être « diplomate », en bref, de vous renier vous-même, parce que vous saviez que si vous ne disiez que la vérité, en n’agissant que d’après la vérité, sans la moindre compromission, vos interlocuteurs vous prendraient pour un fou ou vous auriez à gérer un conflit… ou alors, vous devriez vous expliquer encore et encore, pour raconter en long, en large et en travers ce qui vous a conduit à agir comme vous l’avez fait… si vous avez la chance de vous adresser à des personnes intelligentes, compréhensives.
Dire ou ne pas dire la vérité est un casse-tête permanent qu’il appartient à chacun de solutionner en fonction d’un grand nombre de paramètres. Personne ne peut le résoudre à sa place.
Si vous dites la vérité, rien que la vérité, en toute circonstance, il se pourrait que vous perdiez beaucoup de gens.
Par contre, à chaque fois que vous mentez ou que vous vous abstenez d’être totalement sincère, authentique, c’est vous même que vous perdez.
Être ou ne pas être soi-même, telle est la question.

