Cette vidéo d’Anna qui se présente comme officière de « l’armée dans l’armée », un département si confidentiel qu’il échappe à toutes les normes, et qui divulgue des informations classifiées extraordinaires, a fait 67 000 vues et suscité près de 1000 commentaires sur la chaîne Seed of Investigator [NdT : Graines d’enquêteur].
Environ 65 % des intervenants accordent foi au témoignage d’Anna tandis que 30 % sont sceptiques ou/et soulignent des illogismes, les 5 % restants postent des commentaires hésitants, neutres ou hors sujet.
Donc, la majorité « croit » Anna, alors qu’elle pourrait être un personnage imaginaire. Aussi contradictoire que cela puisse paraître, cette confiance « aveugle » est salutaire. Si l’on en croit cette citation d’Albert Einstein…
L’imagination est plus importante que la connaissance, car la connaissance est limitée tandis que l’imagination englobe le monde entier, stimule le progrès et suscite l’évolution.
Cela nous explique aussi pourquoi la majorité des humains ne voient jamais de preuves évidentes, irréfutables, de l’existence des extraterrestres ou de leurs vaisseaux.
L’explication tient dans ce principe : La réalité n’est pas ce que nous voyons, mais ce que nous sommes d’accord de voir, selon nos émotions.
Un grincheux ou un dépressif sera toujours sceptique, même face à des évidences.
Inversement, une personne positive, dont l’énergie émotionnelle vibre sur de hautes fréquences, s’enthousiasmera ou fera confiance à des projets irréels, irréalisables, impossibles. Des idées dites « folles », des chimères.
Connaissez-vous cette citation ? Comme ils ne savaient pas que c’était impossible, ils l’ont fait.
La question que l’on peut se poser, maintenant, est celle-ci : Dans quel monde voulons-nous vivre ?
Un monde matérialiste, cynique, désenchanté, rempli de gens désabusés qui ont « les pieds sur terre » au point de s’y embourber, enlisés comme ils le sont dans un désespoir ordinaire ?
Ou bien souhaitons-nous vivre dans un monde qui serait non pas ce que des individus richissimes, matérialistes et malveillants ont prévu pour nous (Deep State, Cabale), un monde de cauchemar, mais une réalité qui serait NOTRE création.
La guerre de l’information n’est pas, en dépit des apparences, la lutte du réel contre l’irréel, de la vérité contre les mensonges, car il n’est de vérité que celle que l’on crée.
La guerre de l’information, c’est la guerre des corps de viande contre les êtres spirituels.
C’est la lutte des « réalistes » qui vouent un culte à l’univers physique, matériel, rationnel, solide, contraignant, impitoyable, contre les croyants, ces « doux rêveurs » qui prennent leurs désirs pour des réalités et que les autres appellent « crédules ».
Et si croire c’était créer…
Si les rêveurs étaient ceux qui avaient su garder dans leur âme des traces de leur divinité d’autrefois et s’efforçaient de concrétiser leur rêve d’un monde où tout redeviendrait possible, un monde d’innocence, de féérie, de magie bienveillante, de miracles.
Si un adulte, au fond, n’était qu’un enfant abîmé, infecté par des décennies de propagande toxique made in Deep State, d’éducation familiale limitée et limitante, de bourrage de crâne scolaire, en passant par les études dites « supérieures », puis la formation débouchant sur le carcan de l’environnement professionnel, sans compter la fréquentation d’amis tout aussi formatés que, finalement, nous le sommes tous, à des degrés variables, car qui peut se vanter d’avoir totalement effacé les centaines de milliers d’heures d’enregistrement mémoriel téléchargés bon gré mal gré par l’hypnose des stations radio, chaînes de télé, films, livres, messages publicitaires, communications verbales ?
Tout cela étant lu, vu, écouté dans des états de vigilance amoindrie, quand on sait que des substances comme le cannabis et bon nombre d’anti-douleurs et médicaments psychotropes sont des hypnoïdes. C’est la CIA qui a poussé l’usage du cannabis et des drogues psychotropes des années 60 à nos jours, ces drogues que tant de naïfs formatés voient comme un symbole d’émancipation, de liberté.
Elon Musk pense que nous vivons dans une réalité virtuelle, une illusion numérique, et il a investi dans la recherche sur ce sujet (voir Keanu Reeves : l’humanité est sur le point de se libérer de la Matrix). L’acteur Keanu Reeves croit plutôt que cette réalité virtuelle n’est pas numérique (informatique), mais spirituelle.
L’interprétation d’Elon Musk et des geeks de la Silicon Valley suppose que la réalité est une simulation virtuelle informatique, mais dans ce cas, quelle réalité 3.0 est la source de l’ordinateur inclus dans une réalité-matrix 2.0 qui projette la simulation de notre réalité 1.0 ? Et ainsi de suite…
On se retrouve alors avec un système dit « récursif », comme les boîtes de Vache qui rit sur lesquelles on voit une vache qui porte des boucles d’oreilles qui sont des boîtes de Vache qui rit, sur lesquelles on voit des vaches qui portent des boucles d’oreille…

C’est tout le problème de la conception matérialiste : quelle matière a créé la matière ? De l’œuf ou de la poule, qui était là en premier ?
Seule une conception spiritualiste, hors matière, hors espace, hors temps, peut expliquer ces enchaînements de causalité.
Qu’on l’appelle Dieu, les dieux ou Dieu sait quoi d’autre, la Source de toute chose ne peut pas être une « chose ». C’est forcément une CAUSE extérieure, libre des contraintes et règles de l’univers physique.
Et cette liberté implique de ne pas obéir aux lois de l’espace et du temps.
Le ou les artistes ne peuvent pas être leur propre œuvre.
Un matérialiste pourrait dire : « Oui, mais la logique est indissociable de toute recherche de vérité…
— Certes, mais la logique est l’assemblage de données passées avec des données présentes, pour en déduire des données futures… Or, on peut toujours trouver de NOUVELLES données présentes, à mesure que le temps passe et qu’une situation évolue, pour aboutir à de nouvelles conclusions futures. Ce qui fait que la réalité change constamment. Ce que les gens du siècle dernier prenaient pour parole d’évangile fait sourire, avec les connaissances d’aujourd’hui. Pourquoi nos certitudes présentes échapperaient-elles à cette évolution future ? »
Me faisant l’avocat du diable, dans la section ci-dessous intitulée Analyse logique de la vidéo, j’ai répertorié plusieurs illogismes dans les réponses d’Anna.
Ces erreurs semblent donner raison aux sceptiques pour qui Anna serait une affabulatrice, mythomane ou manipulatrice souhaitant détourner l’attention des vraies divulgations en les décrédibilisant.
Son engouement pour la série de livres Anastasia, romans décrivant la rencontre du narrateur avec une chamane surréaliste, ses erreurs de culture générale, notamment en histoire, montrent une personne peu lettrée, peu compatible avec le profil d’une généticienne ayant travaillé au CNRS…
Cela dit, autrefois abonné à des groupes Facebook de militaires, j’ai été étonné par l’illettrisme, le nombre de fautes d’orthographe et syntaxe commises par ces soldats, par ailleurs loyaux, dévoués et probablement compétents dans leur corps de métier et spécialité.
Mais la chronologie développée par Anna quant à ses études de généticienne et sa carrière au CNRS (8 ans) et son âge d’entrée dans l’armée, 20 ans, laisse supposer qu’elle a passé son bac à 11 ans.
D’un autre côté, les réponses au tac au tac d’Anna sur beaucoup de questions posées par Kevin, concernant l’armée ou la carrière de soldat, reflètent une connaissance de certains aspects de la carrière militaire.
Autre point : beaucoup de sceptiques, dans les commentaires sur la vidéo, ont qualifié les rires incessants d’Anna d’insupportables, les voyant comme un indice du manque de sérieux de son personnage.
On pourrait continuer de relever des illogismes possibles, mais faute de données suffisantes, dans cette vidéo somme toute superficielle malgré sa durée, nous resterons dans le flou, partagés entre incertitude et frustration de tant d’incohérences.
Anna pourrait aussi être une militaire espiègle qui a monté un canular pour ses camarades de régiment dont elle sait, au moment où elle parle, qu’ils sont en train de l’écouter sur YouTube.
D’où ses rires et même fous rires incessants, tant elle a du mal à garder son sérieux.
Mais on pourrait aussi trouver des arguments qui expliquent ces incohérences…
À commencer par celui-ci, les mensonges quant à sa carrière militaire, ses grades, son CV, brouillent les pistes sur son identité… une incohérence supplémentaire que les sceptiques lui ont reprochée : « C’est impossible qu’elle soit incognito, avec tous les renseignements qu’elle donne sur elle ! »
Sauf si bon nombre de ces renseignements sont là pour induire en erreur et lui conférer un anonymat relatif vis-à-vis du public. Pas de sa hiérarchie qui n’aurait aucun mal à la retrouver. D’ailleurs, elle affirme bénéficier d’une autorisation de divulguer ces informations. En fait, Anna pourrait être n’importe qui, avoir fait n’importe quoi, ça n’altère pas forcément la validité des sujets qu’elle aborde, même les plus délirants.
Astrid Stuckelberger, scientifique renommée à l’impressionnant CV, avait posté sur sa chaîne Telegram des témoignages de ses collègues du CERN validant les Stargates et le franchissement de ces portails par des êtres extra-dimensionnels. L’un d’eux aurait même laissé une écharpe avant de retourner dans son monde à travers le portail.
Ces information sur les stargates ont aussi été confirmées par Anna Paulina Luna, Présidente de la Task Force on the Declassification of Federal Secrets [Groupe de Travail sur la Déclassification des Secrets Fédéraux] (voir Les vaisseaux extraterrestres arrivent, mais ça bouchonne sur le périph solaire).
Mais comme je le dis plus haut, qu’Anna de la vidéo soit ou non ce qu’elle prétend est secondaire. L’important, c’est qu’à mesure que nous voyons passer de plus en plus de témoignages, valides ou non, sur cette réalité extraterrestre, il y aura de plus en plus en plus d’accord de la population sur ces phénomènes.
Et cet accord croissant contribue à matérialiser, créer, concrétiser une divulgation officielle, assortie de preuves indiscutables.
C’est assez étrange, n’est-ce pas ? que des mensonges participent à faire éclore la vérité.
Parce que fondamentalement, LA vérité, c’est-à-dire LA réalité, n’existe pas. Il n’y a que des réalités relatives autour desquelles des groupes d’êtres s’accordent pour dire qu’elles sont réelles.
Dans ce contexte, un fou est simplement un individu minoritaire. Ralliez suffisamment d’autres gens à son « hallucination » et la réalité se transformera pour s’accorder sur sa folie qui deviendra la norme.
Tous les changements de notre civilisation, bons ou mauvais, ont suivi ce principe tout au long de l’histoire.
Une réalité se crée peu à peu, peu à peu, peu à peu. Avec des vagues de flux et reflux produites par les êtres qui ont des points de vue « pour » et d’autres des points de vue « contre ».
La réalité est l’accord global, la moyenne, la résultante, dirait-on, de toutes ces idées, rêves, images, imaginations, considérations.
La réalité est la « résultante » des intentions, pensées, croyances de tous les êtres intriqués à un espace. Tout ce qui existe dans cet espace est le produit de ces croyances. Raison pour laquelle celui qui contrôle les médias contrôle ces pensées et modèle la réalité collective.
Ce qui fait des guerriers de la lumière, distributeurs de pilules blanches, pas seulement des croyants, mais les créateurs d’un monde meilleur. 🙏🏻🌏
Ce point de vue sera taxé de « New Age » par les adeptes de la pensée unique, mais on retrouve ce discours dans la parole de Jésus, ses sermons et paraboles sur la foi. Ainsi que dans le bouddhisme zen japonais, le bouddhisme traditionnel, l’hindouisme, le Temps du rêve des aborigènes d’Australie, etc.
D’ailleurs, le terme réducteur New Age, comme l’a employé Kevin dans la vidéo ou Grok à propos de ce blog, est devenu à la spiritualité ce que le mot complotiste est à la politique. Il est acceptable d’être chrétien, juif, musulman, bouddhiste, voire athée, mais tout écart de la bien-pensance religieuse ou matérialiste, c’est caca boudin.
Qu’on s’appuie sur les philosophies orientales, les Évangiles ou la physique, quand on comprend la nature fluide, mouvante, relative, de la réalité, on se rend compte que la vérité des informations (et ça vaut aussi bien pour JP dans l’article précédent que pour Anna) est un ensemble de probabilités quantiques mouvantes, fluctuantes, et que la foi est plus importante que la logique.
La question que l’on doit se poser n’est donc pas : « Mais bon Dieu ! qu’est-ce que la réalité ? »
Mais bien plutôt : « Ô Dieu qui est en moi ! Quelles réalités ai-je envie de créer ? Quelles réalités vais-je imaginer et partager avec d’autres pour qu’elles deviennent la réalité ? »
La plupart des gens, surtout ceux qui se considèrent « éveillés », vous diront qu’ils veulent être libres… mais ils ne réalisent pas que pour obtenir la liberté de corps, il faut commencer par acquérir la liberté d’esprit, la liberté de penser ?
Maintenant, un être peut-il être libre, s’il se contente de regarder le monde à travers le sombre trou de serrure d’une porte de prison : cette psychorigidité où ses geôliers l’ont enfermé au moyen d’un formatage culturel et médiatique continuel ?
Depuis le 25 août 2025, nous continuons, tous les soirs, en famille, religieusement, sous le regard interrogateur du chien qui gémit de perplexité, à 21h21 précises qui sonnent sur le téléphone de notre fille, quel que soit le plat en train de refroidir dans nos assiettes, en fixant un sablier de 3 minutes posé bien en vu sur la table, de penser à l’unisson : « NOUS SOMMES LIBRES, NOUS DÉCIDONS, MAINTENANT ! » 🙏🏻🙏🏻🙏🏻
Ne croire que ce que l’on voit, c’est limiter sa vision à la réalité contraignante fabriquée par d’autres.
En cette veille de Noël, faites-vous un cadeau qui sort de l’ordinaire : créer une réalité différente de celle que vous croyez voir… faites exister ce en quoi vous croyez. Offrez-vous à vous même, ainsi qu’à ceux que vous aimez, la foi qui sauve ou déplace des montagnes.
Joyeux Noël à tous ! Pas « bonnes fêtes », non, Joyeux Noël, joyeuse naissance (le sens du mot Noël) de celui qui est venu nous enseigner l’amour du prochain, la foi qui fait des miracles et ce Dieu, qui est en chacun de nous, dont le sens premier signifie « Lumière ».
Analyse logique de la vidéo
00:03:06:24 Avant de rentrer dans l’armée, j’étais généticienne
Elle serait donc, d’après les données ci-dessous sur la durée d’étude nécessaire, rentrée dans l’armée à l’âge de 28 ans, au plus tôt 25 ans. Pas 20 ans comme elle l’affirme.
00:37:40:00 : Vous allez dans n’importe quel pays, y compris la France, vous y trouverez des pyramides
Il n’y a pas de pyramide ancienne en France, comme celles d’Égypte ou d’Amérique du Sud. Seulement des petites constructions pyramidales récentes (XIXe siècle et plus tard).
00:46:12:19 : J’ai été au CNRS, avant de rentrer dans l’armée.
Pour devenir généticienne au CNRS, il faut au minimum 5 ans d’études après le baccalauréat pour obtenir un master en génétique ou une spécialisation équivalente. Ce master, qui correspond à un niveau Bac+5, est la formation de base requise pour accéder à un poste de chercheur dans les organismes publics comme le CNRS. Toutefois, la plupart des postes de chercheurs au CNRS exigent généralement un doctorat, qui représente 3 ans supplémentaires d’études après le master, soit un total de 8 ans d’études après le bac. Le doctorat est donc indispensable pour une carrière de recherche à long terme au CNRS, bien que le master soit le seuil d’entrée minimum pour commencer une carrière dans la recherche.
00:49:55:10 : C’est aussi ce pourquoi la Chine a massacré les moines Shaolin.
Révolution culturelle (1966) : Les gardes rouges ont attaqué le monastère, emprisonné les moines et humilié publiquement les religieux, laissant les lieux à l’abandon pendant des années. Cependant, les Chinois n’ont pas massacré les moines shaolin, ce génocide concerne plutôt les moines tibétains.
01:03:39:17 : (chez les peuples autochtones) Et là, il y a pas d’histoire de chef de tribu.
Les Chefs : Les peuples autochtones d’Amérique du Nord et d’Amérique du Sud ont traditionnellement des chefs de tribu ou des leaders reconnus au sein de leurs structures sociales et politiques. En Amérique du Nord, les chefs de nation sont souvent désignés après des réunions de conseil avec les chefs des clans qui composent la tribu, et certains groupes, comme les Haudenosaunee (Confédération iroquoise), ont établi des gouvernements démocratiques influencés par ces structures. Des chefs célèbres incluent Sitting Bull, chef des Sioux, et Geronimo, chef apache. En Amérique du Sud, la société mapuche, par exemple, s’organisait autour d’un lonko, qui était le chef de tribu et qui soumettait son autorité en cas de guerre importante à un commandant appelé toqui. De plus, des groupes comme les Yanomami, présents en Amazonie, ont également des leaders reconnus au sein de leurs communautés. Il n’existe pas de chefs de tribu dans les peuples autochtones d’Afrique au sens des structures tribales traditionnelles d’Amérique du Nord ou du Sud, car les sociétés africaines ont des systèmes de gouvernance différents, souvent basés sur des royaumes ou des lignées de chefs locaux, mais pas sur des tribus au sens amérindien.
01:04:34:15 : parce que les mariages, ça n’existe pas chez les autochtones…
Les mariages : les peuples autochtones d’Afrique, d’Amérique du Sud et d’Amérique du Nord ont des mariages qui sont au cœur de leurs traditions et rituels, souvent profondément ancrés dans la spiritualité, la nature et la communauté.
Chez les Maasaï au Kenya, le mariage est marqué par une bénédiction symbolique : le père de la mariée crache sur son visage et sa poitrine avant qu’elle ne quitte son village pour rejoindre son mari, et l’union n’est considérée comme effective qu’une fois qu’elle a franchi la porte de sa nouvelle hutte. En Afrique, la tribu Neur au Sud-Soudan considère qu’un mariage n’est pas complet tant que la femme n’a pas donné naissance à deux enfants, et le mari peut demander le divorce si elle ne lui en donne pas.
En Amérique du Sud, les peuples comme les Quechua du Pérou célèbrent leurs mariages avec des rituels riches en symbolisme. Pendant le repas, des boîtes de bière sont placées de chaque côté de la table pour représenter les familles respectives, et les hommes dansent en cercle autour d’elles, partageant les bouteilles. Le père du marié danse ensuite autour des mariés pour leur remettre de l’argent en cadeau, et les invités continuent à danser autour du couple tout au long de la réception. Les peuples Tujia en Chine, bien que non situés en Amérique du Sud, pratiquent un rituel unique où la mariée pleure une heure par jour pendant un mois avant le mariage, accompagnée progressivement par sa mère puis sa grand-mère, et toutes les femmes de la famille se réunissent à la fin pour pleurer ensemble, ce qui est censé exprimer la joie et former une chanson.
01:16:18:19 : Mais quand je parle du numéro 1 russe de l’époque.
Référence probable à Mikhael Gorbatchev.
01:16:30:12 : Quand au numéro 1 de l’époque aux États-Unis.
Référence probable à Ronald Reagan.
01:19:55:08 : … et les pingouins et les ours polaires (en Antarctique)
Il y a bien des pingouins en Antarctique, mais pas d’ours polaires qui ne sont présents qu’au Pôle Nord.
01:31:08:12 : (les Suisses) ils parlent trois langues, déjà…
La Suisse reconnaît quatre langues nationales : l’allemand, le français, l’italien et le romanche, qui sont toutes officielles au niveau fédéral.
01:58:45:03 Donc à l’époque, j’ai mon mon grade de capo chef
J’ai interrogé l’IA de Brave sur ce fait étonnant, qu’une généticienne ayant travaillé au CNRS n’ait que ce grade subalterne…
« Un universitaire diplômé peut-il commencer sa carrière militaire à un grade aussi bas que caporal chef ?
Un universitaire diplômé peut effectivement commencer sa carrière militaire dans l’armée de Terre à un grade inférieur, comme caporal-chef, bien que ce ne soit pas la voie la plus courante pour les diplômés. Le recrutement comme militaire du rang, qui inclut les grades de soldat, caporal et caporal-chef, ne nécessite pas de diplôme particulier. Ainsi, un diplômé peut choisir de s’engager en tant que militaire du rang, même s’il possède un diplôme supérieur.
Cependant, les diplômés, notamment ceux titulaires d’un Bac+2 ou plus, ont généralement accès à des parcours plus rapides vers des grades supérieurs, comme officier, en fonction de leur niveau d’études. Par exemple, un diplôme Bac+2 permet de devenir officier d’encadrement sous contrat, tandis qu’un diplôme Bac+3 ou plus ouvre la possibilité de devenir officier spécialiste dans une spécialité correspondant à sa formation. Pour les diplômés Bac+5, une formation d’officier sur titre est possible, conduisant au grade de lieutenant après un concours sélectif.
Bien que le grade de caporal-chef soit accessible sans diplôme, il est important de noter que ce grade est atteint après une ancienneté moyenne de 10 à 11 années de service effectif, ainsi que par la réussite d’examens internes et l’obtention de certifications techniques. Un universitaire pourrait donc théoriquement commencer à ce niveau, mais cela impliquerait de suivre le parcours classique du militaire du rang, ce qui est peu probable pour un diplômé qui peut opter pour une voie plus rapide vers des responsabilités supérieures.
En résumé, oui, un universitaire peut commencer à un grade inférieur comme caporal-chef, mais il est plus courant qu’il accède à des grades plus élevés, notamment officier, en fonction de son niveau d’études. »
02:03:47:19 Donc, quand on a 20 ans, ça part vite, hein
Anna aurait donc eu 20 ans quand elle était caporal chef et qu’elle fut promue sergent, en récompense de son insubordination face au numéro un de la base.
Or, il faut 8 ans d’étude (doctorat) pour devenir généticienne confirmée au CNRS, selon ses dires précédents. Elle aurait donc passé son bac à 12 ans !
Glossaire
Somatide : Les somatides sont des particules vivantes extrêmement petites, considérées comme l’élément organisationnel fondamental des organismes vivants, selon la théorie développée par le biologiste Gaston Naessens à partir des années 1960.
Haim Eshed : ancien chef de la sécurité spatiale israélienne, a affirmé en 2020, à l’âge de 87 ans, qu’une Fédération Galactique avait conclu des accords avec Israël et les États-Unis, une coopération qu’il a qualifiée de secrète pour éviter l’hystérie humaine, estimant que l’humanité n’était pas encore prête à connaître l’existence des extraterrestres.
Selon ses déclarations, cette collaboration inclurait une base souterraine secrète sur Mars où des représentants américains et extraterrestres travailleraient ensemble.
Il a également indiqué que le président américain Donald Trump était au courant de ces accords et qu’il était sur le point de les révéler, mais que la Fédération Galactique l’avait dissuadé de le faire.
Ces révélations ont été faites dans une interview accordée au journal Yediot Aharonot, et Eshed a précisé qu’il avait appris des informations sur les programmes américains concernant les ovnis et les extraterrestres lors de sa collaboration avec le National Reconnaissance Office (NRO), la CIA et la NSA, notamment durant son service au sein de l’Unité 81.
Il a également affirmé que des extraterrestres avaient empêché des catastrophes nucléaires, des détails qu’il a promis d’approfondir dans son livre publié en hébreu, intitulé L’univers au-delà de l’horizon, Conversations avec Haim Eshed.
Haim Eshed a un doctorat en génie aéronautique et a supervisé le lancement de vingt satellites israéliens (voir Selon l’ancien directeur du programme spatial israélien, les extraterrestres ont conclu un accord avec les Etats-Unis _ le360.mag)
Noël : mot issu du latin chrétien natalem (diem) ‘(jour) de la naissance du Christ’, décomposable en natalem, de natalis, ‘naissance’, et diem, dies, ‘jour’ ; du latin classique natus ‘né’, participe passé de nasci, ‘naître’.
Dieu : du latin Deus, Dieu, issu de la racine indo-européenne dei-, « briller » qui, élargie en deiwo- et en dyew- a servi à désigner : a) Le ciel lumineux considéré comme divinité, les êtres célestes, par opposition aux hommes, terrestres par nature ; c’est la plus ancienne dénomination indo-européenne de la divinité ; elle est liée à la notion de lumière ; elle a été remplacée en grec par un mot exprimant à l’origine la notion d’esprit, Théo-, qui a donné enthousiasme, signifiant « avoir Dieu en soi » ; b) La lumière du jour, et le jour.

