
Voici une traduction améliorée de la Déclaration de l’Archevêque Carlo Maria Viganò à la suite des scandales et sacrilèges des Jeux Olympiques de Paris. Cet appel à la croisade contre les forces du mal est si percutant, si lucide, qu’il méritait d’être retranscrit avec une parfaite clarté.
Avant cela, en juin 2018, l’Archevêque Viganò avait dénoncé publiquement le cardinal Theodore McCarrick pour avoir abusé sexuellement de mineurs et de séminaristes adultes.
Suite à quoi McCarrick démissionna de ses fonctions de cardinal en juillet, mais le 25 août 2018, Viganò publia une lettre de onze pages qui affirmait que l’affaire était plus grave encore et que les autorités vaticanes et plusieurs évêques étaient au courant, voire complices. La publication appelait à la démission des plus hautes instances du Vatican et du pape lui-même.
Une accusation d’autant plus sérieuse que le pape François avait rétabli McCarrick dans ses fonctions, le nommant « son conseiller de confiance ».
Cependant, seul contre un Vatican corrompu qui avait l’appui de médias complices, l’Archevêque Viganò avait peu de chances de remporter cette bataille.
Le 5 juillet, le pape LGBTQ+ lui fit le coup du père François en l’excommuniant définitivement de l’Église maçonnique.
Ce n’est pas une faute de frappe. Tapez dans un moteur de recherche les mots : église, franc-maçonnerie, infiltration, infiltrer.
Maintenant, retour à l’architecture de l’auditorium pontifical…
Situé près de la Basilique Saint-Pierre, l’auditorium papal de la Cité du Vatican, inauguré en 1971, est appelé familièrement l’Aula Nervi (Hall Nervi) du nom de l’ingénieur concepteur Pier Luigi Nervi.
L’autel installé entre les crochets du reptile est décoré d’une fresque sculpturale cauchemardesque, créée en 1977, toute de bronze et de cuivre, censée représenter « Jésus sortant du cratère d’une explosion nucléaire ».

Quant au bâtiment de l’auditorium, il évoque une tête de serpent, aussi bien à l’extérieur…

Qu’à l’intérieur.

Où sont les images pieuses de saints au visage bienveillant ? Où sont les anges auréolés de lumière qui terrassent le serpent diabolique ?
Soit, ce n’est que de l’architecture et, comme on a pu le voir à la cérémonie d’ouverture des Macroniades, l’art a bon dos pour excuser l’irrespect et l’injure.
Le pape François, en plus de s’être rendu complice de crimes pédophiles, a décrété que les prêtres pouvaient bénir les couples homosexuels et baptiser les enfants de couples homosexuels et les trans.
Une position contraire à la Bible, si on se base sur le chapitre 19 de la Genèse qui relate la destruction de Sodome et Gomorrhe par le feu divin, en châtiment de ces mêmes péchés auxquels le pape accorde bénédiction et baptême.
Est-ce que des catholiques, fidèles aux Saintes Écritures, oseront interroger le prêtre de leur paroisse sur ces cas de conscience : pédophilie, homosexualité, bénédiction et baptême des LGBT, cérémonie satanique des J.O., déclaration de l’Archevêque Carlo Maria Viganò et son excommunication ?
Auront-ils le courage de lui demander quel camp il soutient, dans la guerre spirituelle qui fait rage entre la Lumière et les forces des ténèbres ?
Jésus a chassé les marchands du temple à coups de fouet…

« Il trouva dans le temple les vendeurs de bœufs, de brebis et de pigeons, et les changeurs assis. Ayant fait un fouet avec des cordes, il les chassa tous du temple, ainsi que les brebis et les bœufs ; il dispersa la monnaie des changeurs, et renversa les tables ; et il dit aux vendeurs de pigeons : Otez cela d’ici, ne faites pas de la maison de mon Père une maison de trafic. » (Évangile de Jean, chapitre II, versets 14-16)
Que ferait-il aujourd’hui avec les pédophiles et sodomites qui font de son Église un temple du vice et du blasphème ?
