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#Sexploitation

L’esclavage n’a pas de couleur

Le trafic d’enfants devant une commission sénatoriale – 25 oct. 2023

Dans un monde idéal, où tous les humains seraient de vrais êtres « humains », nous pourrions abolir les frontières et vivre heureux en nous tenant la main et en chantant Kumbaya

MAIS nous ne sommes pas dans un monde idéal.

Et n’allez surtout pas croire que ce qui est dévoilé dans cette vidéo ne concerne que les États-Unis.

Ça se passe aussi ici, en France, au nez et à la barbe de la PAF (Police Aux Frontières) dont les policiers sont désabusés, dégoûtés de ne pouvoir faire leur travail de contrôle de l’immigration, parce que tout est fait pour laisser entrer n’importe qui, avec l’aide, je devrais dire la complicité, d’organisations « humanitaires » et d’un système juridique pourri jusqu’à la moelle.

Rappelez-vous la chanson Combattez le silence, du groupe For Today, qui soutenait une association de lutte conttre l’esclavage moderne (A21)…

21 millions de personnes sont exploitées comme esclaves sexuels ou dans des ateliers de misère.

Le trafic humain est la deuxième source de profit mondiale, juste après le trafic de drogues.

L’industrie du trafic humain génère 32 milliards de dollars par an.

L’âge moyen d’une victime de trafic sexuel est d’environ 12 ans.

Le trafic humain est en expansion et se pratique dans les 50 États américains.

La victime peut être forcée d’avoir du sexe 20 à 48 fois par jour.

Seulement 1 à 2 % des victimes de trafic humain sont éventuellement sauvées.

Les complices de ce trafic immonde sont plus nombreux qu’il n’y paraît : les ONG, associations faussement humanitaires, réellement criminelles, mais aussi les mondialistes et leurs complices qui se réjouissent de la disparition des frontières, les partisans de l’Europe, les gauchistes, socialistes et autres France InSoumise, qui réclament toujours plus d’immigration, sous la bannière mensongère de « lutte contre le racisme »… combien d’entre eux accepteraient de vivre dans des logements sans serrure à leur porte ?

Complices, aussi, ces lanceurs lenteurs d’alerte qui, à la sortie du film SOUND OF FREEDOM, l’ont accusé d’être de l’opposition contrôlée, eux qui ne font rien, mais critiquent ceux qui ont réalisé un film de sensibilisation plus largement diffusé que jamais auparavant.

Complices, bien sûr, les journalistes des médias grand public qui ont, tout comme les précédents, craché sur ce film.

Quand vous voulez savoir qui appartient VRAIMENT à l’opposition contrôlée, regardez « qui crache avec qui dans la même direction ».


Glossaire

libérés : (released) remis entre les mains de

Joshua David Hawley, dit Josh Hawley, est un homme politique américain, membre du Parti républicain, sénateur des États-Unis pour le Missouri depuis 2019. Début 2021, il est le premier sénateur à annoncer qu’il portera objection à la certification des résultats de l’élection présidentielle de 2020 par le Congrès, réuni au Capitole, qui doit officialiser la victoire de Joe Biden. Ce même Biden, pédophile notoire comme son fils Hunter, transformant la frontière sud en passoire qui laisse passer un flots massifs de migrants, dont beaucoup d’enfants qui finissent entre les mains des trafiquants.

plant : usine

assembly line : chaîne de montage, travail à la chaîne

ORR [extrait de Weakypedia] : l’Office of Refugee Resettlement (ORR ou Bureau d’Insertion des Réfugiés) est un programme de l’Administration des Enfants et Familles au Département de la Santé et des Services Humains aux États-Unis., créé avec la Loi sur les Réfugiés de 1980 aux États-Unis (Loi publique 96-212). Le Bureau d’Insertion des Réfugiés aide les réfugiés à trouver un refuge sûr au sein des États-Unis, ce qui inclut les victimes de trafic humain, ceux qui fuient la persécution, ceux qui ont survécu à la torture et la guerre, et les enfants étrangers non accompagnés. La mission et le but du Bureau de Réinsertion des Réfugiés est d’assister le processus de relocalisation et de fournir les services nécessaires aux individus auxquels ont a accordé l’asile aux États-Unis.

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