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#Compréhension

Banzaï ! monde cruel

(Cliquez sur l’image pour voir la vidéo)

« Ne chantez pas la mort, c’est un sujet morbide.
Le mot seul jette un froid, aussitôt qu’il est dit.
Les gens du show-business vous prédiront le bide,
C’est un sujet tabou, pour poète maudit.
La mort… la mort… je la chante et dès lors, miracle des voyelles,
Il semble que la mort est la sœur de l’amour.
La mort qui nous attend est l’amour qu’on appelle,
Si lui, il ne vient pas, elle viendra toujours… »

C’est par ces vers émouvants que Léo Ferré évoquait la grand faucheuse dans sa chanson Ne chantez pas la mort.

Poésie à part, j’aimerais adresser un message à ceux qui ont songé ou songent encore à mettre fin à leurs jours en ces temps difficiles.

Je suis bien placé pour en parler, car j’ai vécu une expérience de « mort imminente ».

Je vous épargne les détails de cet épisode qui eut lieu suite à l’ingestion d’un produit toxique, mais tandis que mon corps tanguait comme une barque dans la tempête, je me suis senti monter vers le plafond avec une forte sensation de vertige.

C’est une expérience inoubliable, de se retrouver à quelques centimètres du plafond blanc crépi d’une salle à manger, tandis qu’on entend quelqu’un pousser un cri un mètre cinquante plus bas.

Qui ?

Feu soi-même.

Je suis finalement « redescendu », sinon vous ne seriez pas en train de lire cette histoire, mais j’ai acquis, au cours de cette aventure, un autre point de vue sur la vie et la mort.

Plus tard, ayant suffisamment gagné en sagesse pour ne plus avaler n’importe quoi, mon métier me permit d’enrichir cette connaissance d’un savoir supplémentaire : d’autres que moi avaient vécu cette expérience.

Étant d’une nature curieuse et studieuse, j’ai lu pas mal de littérature sur le sujet.

Donc, amis suicidaires, avant de commettre ce qu’on appelle à tort l’irréparable (rien n’est irréparable), j’aimerais vous expliquer ce que j’ai appris sur la vie après la vie après la vie, processus où la mort n’est qu’un déménagement au cours duquel on ne peut même pas emporter une valise, un pyjama et une brosse à dent…

Avant l’apparition des religions classiques, tous les peuples, tribus et cultures de la Terre étaient animistes, du latin anima, âme.

Diverses religions et spiritualités reprirent cette idée : l’être humain est un esprit, une énergie de conscience capable d’imprégner et percevoir la matière à travers un organisme vivant, ou sans.

Les iconographies hindouistes, puis bouddhistes et enfin chrétiennes représentaient l’âme sous la forme d’un halo doré qui enrobait la tête (auréole) ou le corps tout entier (gloire).

Le Nouveau Testament (Évangiles) raconte que Jésus avait pratiqué un exorcisme (chasser un esprit mauvais d’un être vivant), comme des millions de chamans l’ont fait depuis l’aube des temps.

Ce n’est qu’en 553 que le deuxième concile de Constantinople déclara hérétique la croyance dans la réincarnation des âmes d’une vie à l’autre. Ce concile avait été convoqué par l’empereur Justinien, tandis que le pape Vigilius fut jeté au cachot parce qu’il avait refusé de présider ce concile.

Beaucoup d’éveillés ont des impressions de « déjà vu » ou des souvenirs d’avant leur dernière naissance. Notamment les enfants qui n’ont pas ces blocages dont sont affligés les adultes.

Certains courants de pensée issus de la physique quantique professent que la conscience n’évolue pas dans l’univers physique. C’est l’inverse. Chaque esprit conscient est un miroir dans lequel se reflète une part de cette illusion collective qu’on appelle « réalité ».

« Ne vous sentez pas seul, l’univers tout entier est en vous. »
Djalâl ad-Dîn Rûmî

Maintenant, même si vous faites abstraction du mysticisme et de la métaphysique, il y a une chance sur deux pour que, une fois décédé, vous vous retrouviez en train de contempler votre cadavre, sans pouvoir expliquer à vos proches et amis éplorés les raisons de votre geste.

Après cela, combien de temps allez-vous tenir sans parler à personne ?

Je ne vous donne pas trois mois avant que vous filiez à la clinique la plus proche pour vous jeter dans la tête d’un nouveau-né.

Mais par les temps qui courent, il ne fait pas bon être un enfant : vaccinations à outrance, masque, distanciation sociale, contraintes, privation de liberté ou de jeu, famille covidiste moutonnière, une dose tous les six mois, effets indésirables, myocardites, péricardites et plus si affinités… il paraît même que beaucoup de jeunes pensent au suicide.

Ça, c’est seulement si vous avez la chance de vous réincarner dans un endroit où les gosses mangent à leur faim, ne vivent pas dans la rue, ne sont pas enrôlés de force comme soldats ni exploités sexuellement.

À titre indicatif, regardez le clip Fight The Silence – Combattez Le Silence.

Par ailleurs, nos conditions de vie se sont dégradées à ce point depuis deux ans parce que les élites ont décidé d’exterminer 15/16e de la race humaine.

La « vaccination » est un génocide camouflé sous une fausse crise sanitaire. La page faites un geste pour la planète, faites-vous vaQcider regorge de preuves à ce sujet.

Les malades mentaux qui vous dirigent ne rêvent que d’une chose, que vous débarrassiez le plancher.

Les Georgia Guidestones affichent en toutes lettres, et dans plusieurs langues, cette intention de réduire la population mondiale à 500 millions et ce plan est reproduit, plus détaillé, dans l’Agenda 21 et 2030 de l’ONU.

Vous avez vraiment l’intention de leur mâcher le travail ?

« Clark Kent, je te déteste ! Je ne supportais déjà plus de vivre, mais par ta faute, je ne peux même plus mourir tranquille. »

C’est tout moi, ça, empêcheur de mourir en rond.

Écoutez, des enquêtes furent réalisées auprès de personnes qui, ayant sauté depuis le Pont de Brooklyn (New York) et du Golden Gate (San Francisco), en avaient réchappé. Dans une majorité de cas, leurs témoignages révélèrent que, arrivés à mi-course de leur chute, ils s’apercevaient que leur « problème » qui, juste avant de sauter, leur paraissait catastrophique et insurmontable, était d’une importance toute relative et qu’il aurait pu être résolu par des actions très simples.

Alors, plutôt que de commettre ce geste inutile qui pourrait même déboucher sur une existence bien pire que la précédente, histoire de vous apprendre à vivre, j’ai mieux à vous proposer…

Pourquoi ne pas noyer votre chagrin dans la lutte pour la liberté et la vérité ?

Rejoignez la résistance.

Et si vous avez besoin de vous défouler contre quelqu’un ou quelque chose, plutôt que de vous en prendre à ce corps qui ne vous a rien fait, vous pourrez toujours constituer un bataillon de kamikazes.

Tant qu’à mourir, autant mourir utile.

2 réponses sur « Banzaï ! monde cruel »

Il y a de nombreuses années j’avais eu vent d’une histoire d’un jeune homme qui s’était défenestré. Arrivé en bas, juste avant de mourir il avait confié à la personne qui était accourue et dans les bras de laquelle il est mort quelques instant plus tard : « Si vous saviez la belle vie qui m’attendait si je n’avais pas fait ce geste ! »

Et pour avoir beaucoup lu d’histoire de gens éveillés, pour la plupart, ils ont touché le fond avant de se relever comme jamais ils n’auraient imaginé.

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